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Georges Seurat
Baigneurs à Asnières

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Plainte pour faux et usage d'une note des RG présumée falsifiée

FIL AFP PARIS, 15 déc 2006 (AFP) -

Un chef d'entreprise a déposé plainte mardi au tribunal de Paris pour "faux et usage de faux", estimant qu'une note des Renseignements généraux (RG) falsifiée aurait été utilisée par la mairie d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) dans une campagne de diffamation.

Selon la plainte, après "une campagne de presse (...) lancée à l'encontre de Mayetic et son président, dénonçant leur prétendue affiliation à une secte", la société a connu "de graves difficultés".

Contacté par l'AFP, le maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, a réfuté ces accusations. Il admet avoir eu en main deux notes, mais il ne les a en aucun cas communiquées à la presse, affirme-t-il, précisant: "les deux notes m'ont été fournies par la DCRG après leur parution dans la presse".

La plainte contre X avec constitution de partie civile a été déposée par Bruno de Beauregard, président de l'ex-société de télétravail Mayetic liquidée en décembre 2005, et ex-habitant d'Asnières proche de l'opposition municipale.

La "secte" serait la fondation reconnue d'utilité publique Ostad Elahi, qui promeut les "principes éthiques et sociaux" du philosophe kurde iranien éponyme "sur le concept du spirituel et les droits et devoirs de l'homme", selon un arrêt de la cour d'appel de Versailles.

La Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) a confirmé son caractère non sectaire en octobre, relevant néanmoins un "communautarisme exacerbé". Plusieurs organes de presse, citant deux notes RG datées des 7 et 29 septembre 2005, avaient publié fin 2005 des articles prétendant que la fondation présentait des dérives sectaires.

Fin avril 2006, la commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN) avait déclassifié la note RG datée du 7 septembre 2005. Dans une lettre de juillet 2006, le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy indiquait ensuite que "la DCRG (Direction centrale des renseignements généraux, ndlr) n'a (...) identifié aucune deuxième note" portant sur la fondation Elahi.

Ainsi, déduit le rédacteur de la plainte, la note RG du 7 septembre 2005 "constitue la seule et unique note de ce service concernant la fondation" et cela "conduit à penser que la note de la DCRG du 29 septembre 2005 constitue un faux".

Selon le même document, "la distribution de deux notes par la mairie d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine, ndlr) entre les mains de journalistes est aujourd'hui confirmée par plusieurs organes de la presse" (Le Monde, Marianne, L'Express). Ce que nie, donc le maire d'Asnières, interrogé par l'AFP.

mba/ed/il/nd

AFP

Affaires en cours
COLLUSION MAGISTRATURE ET POLITIQUE ?
MANUEL AESCHLIMANN, DEPUTE MAIRE D'ASNIERES ET SON STAFF SURPRIS AU RESTAURANT DU CONSEIL GENERAL
DES HAUTS DE SEINE AVEC LE PRESIDENT DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE VERSAILLES...

( à voir, en exclusivité sur le site www.massol.org, les autres photos de l'insolite rencontre et les échos dans la blogosphère asniéroise )


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LIRE EGALEMENT , REPRIS PAR LES AUTRES SITES ASNIEROIS


Société

Quand un juge passe à la table du maire d'Asnières

Une photo immortalise l'édile déjeunant avec le magistrat alors que la ville est en pleine polémique procédurière.

Par Renaud LECADRE
LIBERATION jeudi 30 novembre 2006

Le Ruban Bleu, restaurant du conseil général des Hauts-de-Seine (présidé par Nicolas Sarkozy), est très couru. Lundi midi, Manuel Aeschlimann, maire d'Asnières et conseiller du président de l'UMP, déjeunait en compagnie de Gérard Corouge, président du tribunal administratif. Un photographe amateur, fils d'un élu MNR, a immortalisé la scène. Dans la foulée, les opposants au sein du conseil municipal d'Asnières (PS et divers droite) rédigeaient un «appel au président de la République», en vue de faire «respecter le principe de la séparation des pouvoirs».
Suspicion. Plus de cent cinquante délibérations municipales de la commune d'Asnières, paralysée par les procédures judiciaires en tout genre ( Libération du 27 novembre), sont actuellement contestées devant le tribunal administratif de Versailles. Suite à ce déjeuner, l'opposition entend introduire une requête en suspicion légitime contre le président du TA. Selon Aeschlimann, ce déjeuner était purement protocolaire, sans aborder les procédures judiciaires en cours : «D'autres élus que moi déjeunent régulièrement avec des magistrats, ou les croisent dans des cocktails. Ces magistrats ne sont pas interdits de relations publiques.» Le principal intéressé, Gérard Corouge, promu au printemps dernier à la présidence du tribunal administratif de Versailles, met également les choses au point : «J'ai des contacts avec tout un tas de décideurs locaux, mais nous ne sommes pas dans une République bananière. Cela fait partie de mon boulot : relancer nos gros clients, comme la mairie d'Asnières, les asticoter afin qu'ils respectent les délais.»
Polémique. Le président Carouge, qui personnellement ne juge aucune des procédures de la mairie d'Asnières, se définit comme «l'emmerdeur» de service, simplement soucieux de faire tourner sa juridiction. Aeschlimann, reconnaissant que la polémique est «de bonne guerre», retourne le compliment : «Qu'aurait-on dit si moi, le mal incarné, j'avais fait photographier mes opposants au restaurant ?»


Le déjeuner qui révolte l'opposition municipale

Asnières

LE COMBAT ne cesse décidément jamais à Asnières. Depuis mardi, c'est un déjeuner partagé par Manuel Aeschlimann, le député-maire d'Asnières (UMP) avec un magistrat du tribunal administratif de Versailles, mardi au restaurant du conseil général, qui provoque l'émoi. Et même une véritable fronde de la part des opposants municipaux qui s'apprêtaient hier à solliciter Jacques Chirac en personne.

Dans un « appel au président de la République », les opposants, toutes tendances politiques confondues, lui demandent « d'intervenir afin que soit respecté le principe de séparation des pouvoirs, fondamentale pour les garanties du citoyen asniérois ».

« Ah, parce que je n'ai plus le droit de déjeuner avec un magistrat asniérois ? », s'indignait Manuel Aeschlimann hier soir. « La séparation des pouvoirs judiciaire et politique est un fondement de la République, et ce déjeuner peut le remettre en cause », s'insurge de son côté l'un des signataires de l'« appel au président de la République », le socialiste Sébastien Pietrasanta. Les élus de l'opposition (PS, UMP, UDF, DVD) « s'interrogent sur le risque réel de partialité objective ». « Si le maire avait déjeuné seul avec ce magistrat, cela aurait pu être anodin, ajoute Francis Pourbaghere, l'ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann remercié voici quelques semaines et passé, depuis dans l'opposition. Mais avec la présence du directeur général des services et son adjoint, on ne me fera pas croire que ceci n'est pas en lien avec les affaires. »

« Tout cela devient hallucinant »

Rappelons que des dizaines de procédures de recours contre les délibérations du conseil municipal sont traitées par le tribunal administratif. Sans compter la contestation par Francis Pourbaghere de son propre licenciement, les recours contre le parking municipal, etc. « Tout cela devient hallucinant, commente Manuel Aeschlimann, mais ceci caractérise fort bien les méthodes de l'opposition asniéroise », qui, selon ce dernier, espionnerait littéralement le moindre de ses déplacements. Deux de ses détracteurs l'auraient « suivi » jusqu'à ce restaurant situé au dernier étage d'un bâtiment du conseil général, avant de le surprendre, avec ses convives, à la sortie du Ruban bleu. Tels des paparazzi, ces opposants auraient alors mitraillé le groupe de photos. « Nous avons déposé une main courante au commissariat », précise Manuel Aeschlimann.

Valérie Mahaut
Le Parisien , mercredi 29 novembre 2006

SECURITE... Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire...

Constat d'un administré du quartier Voltaire à Manuel AESCHLIMANN

Jean-Claude EUDES

 

à Monsieur le Maire d’Asnières

place de l’Hôtel de Ville

92600 ASNIERES 92600 ASNIERES

le 20 novembre 2006

Monsieur le Maire,


Je me réfère à vos dérives sécuritaires et vos statistiques farfelues y relatives.

Nous sommes un petit immeuble de dix appartements et nous nous connaissons tous. Depuis quelques semaines nous avons été victimes d’infractions, l’un d’un cambriolage, un autre -moi, en l’occurrence - d’une agression nocturne à domicile, et , la semaine dernière, de la dégradation et du vol de correspondances . Trois victimes.

Pour grèver le budget asniérois, vous savez vous y entreprendre. Par exemple, pour communiquer sur format A3 recto-verso, distribué par La Poste, afin de nous dire que tout va bien en matière de sécurité grâce à vous.

Vous savez entretenir de juteux marchés avec les caméras de vidéosurveillance tout en laissant, place Voltaire, un groupe de trafiquants de cannabis se livrer à leur commerce tout aussi lucratif qu’illicite, en toute impunité.

Alors, Monsieur le Maire, pouvez-vous me dire, concisément et solennellement, comment vous comptez agir pour remédier aux actes de petite délinquance qui ennuient quotidiennement vos administrés.

Avec mes remerciements pour une réponse prompte, veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de ma considération.

Copie : Monsieur Michel BART, Préfet des Hauts-deSeine

Monsieur Mathieu FABIANI, Commissaire divisionnaire

Monsieur Yves LAFOURCADE, Police Municipale

Monsieur Jack DAUPHIN, Maire-adjoint

Messieurs BERARD de MALAVAS, CASARI, MARTIN SAINT LEON, MASSOL, SEMOUN, Conseillers municipaux

extrait en pdf de :
ATLAS DES "ZONES URBAINES SENSIBLES" EN FRANCE
pour ASNIERES sur SEINE

source : http://i.ville.gouv.fr/divbib/doc/chercherZUS.htm

Insécurité, la série continue...
encore une voiture brûlée et un local déterioré dans le quartier des Courtilles
Heureusement que la Mairie nous rabache - par pure coîncidence ? - dans son bulletin municipal de novembre 2006,
doublé d'un coûteux mailing ( format A3 recto -verso), le tout adressé à l'ensemble et aux frais des Asniérois, que l'insécurité baisserait fortement sur Asnières...

Quelques exemples, non limitatifs, qui apportent un démenti catégorique à l'optimisme de facade qui prévaut en Mairie en ce qui concerne les questions d'insécurité :

- 11 novembre 2006 vers 22 h 00 :

On nous signale qu'une voiture appartenant à la Régie de quartier et faisant suite à l'incendie des locaux de cette association en juillet dernier, a encore brûlé dans le quartier des Courtilles.
Deux personnes auraient été interpellées par la police municipale et nationale...

- 14 novembre 2006 :

Toujours dans le quartier des Courtilles, dans la nuit, la structure municipale "Trait d'Union" ( sic ! ), située Place Le Vau a eu ses vitres brisées par des jets de pierre.

Ces actes de vandalisme ont une fâcheuse tendance à se multiplier cette année dans le quartier des Courtilles, notamment ( et surtout ? ) en dépit du discours lénifiant, autosatisfait, genre "langue de bois" qu'accoutume en la matière Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières. A croire qu'il ne connait pas sa ville, ni sa circonscription...Au fait, à quoi servent donc concrètement les dispendieuses caméra de vidéosurveillance qui quadrillent la ville et annoncées comme élément déterminant dans la lutte contre la délinquance ?

Du côté des nantis de la " République " et de la " France d'en haut " :

Manuel AESCHLIMANN, un député fantôme ? ...

( Voir, classement paru dans L'Express du 28/09/2006 )


Sur 577 députés que compte l'Assemblée Nationale, Manuel AESCHLIMANN,
Maire d' Asnières et député de la 2 ème circonscription des Hauts-de-Seine
se fait une haute idée de son mandat. En effet, celui-ci avec seulement 3 interventions effectuées depuis son élection,est classé dans le peleton de queue des députés.!

Et dire qu'il va avoir le toupet de se représenter aux législatives en 2007 !

Députés Nombre d'interventions en séance
(de janvier 2004 au 13 mai 2006)

Manuel Aeschlimann UMP Hauts-de-Seine 3


http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/assembleenat/
dossier.asp?ida=451849&p=2

 

ON NOUS FAIT PARVENIR :


12/11/06 - COMMUNIQUE DE PRESSE

Asnières s/Seine - statue du monuments aux morts de l’Hôtel de ville :

une gerbe déposée sans l’accord de tous les anciens combattants


Le 11 novembre 2006, lors de la cérémonie d’inauguration du nouvel emplacement très controversé de la statue du monument aux morts, il a été procédé - en présence du député-maire d’Asnières, Manuel AESCHLIMANN, à un dépôt sauvage de gerbe annoncé verbalement au nom de la F.N.A.C.A.


Le comité d’Asnières de la F.N.AC.A. tient à élever une solennelle protestation contre cet agissement malhonnête moralement et constitutif d’une usurpation de titre caractérisée émanant de la municipalité.


D’autant plus que la F.N.A.C.A., ainsi que d’autres associations d’anciens combattants sont fermement opposées à ce déplacement abusif du monument aux morts qui porte atteinte à la mémoire des morts de la commune et à l’environnement du site.


Nous rappelons que ce transfert précipité de la statue a été effectué en vue de la construction d’un parc de stationnement souterrain devant la poste, alors que la procédure a été récemment annulée par la Justice en appel sur demande du Préfet et que des recours, déposés par des élus pour entorse à la loi dans l’attribution de marché public, sont toujours à l’instruction.

Comité F.N.A.C.A d’ ASNIERES S/Seine

La presse locale n'en fait même plus état...
DELINQUANCE ET INSECURITE SUR LA VILLE, CA S' AGGRAVE
ASNIERES - Nord - quartier des Courtilles


et "Asnières infos" qui continue de nous distiller imperturbablement le scandaleux mensonge de la supposée baisse générale de la délinquance depuis 2001... sic ! ( date du début de la mandature de Manuel Aeschlimann )
- cf. journal de la Mairie dans sa livraison de novembre 2006 n° 247, consacrée à la "sécurité", voir l'éditorial du Maire, désolant d'autosatisfaction, et sequitur pour des chiffres et courbes des délits pour le moins discutables -


On nous signale - à la suite de la recrudescence des braquages des commercants, de la destruction récente de la régie de quartier, des incendies de voitures et de poubelles quasi-quotidiens à Asnière- Nord ( rebaptisé récemment et plus pompeusement pour des raisons de basses spéculations immobilières par la Mairie "les hauts d'Asnières" ! ) que l'unique parc pour enfants situé dans le quartier des Courtilles, situé près de la piscine, a brûlé dans la soirée du dimanche 05 novembre 2006. La police et les pompiers dépêchés sur les lieux du vandalisme ont découverts une voiture model 104 qui brulait a l intérieur du parc, plusieurs habitants auraient même entendu des explosions !

Quartiers abandonnés par les pouvoirs publics, livrés à la pègre locale, aux traffics illicites, aux sectes et devenus des zônes de non-droit pour leurs habitants quoique puissent dire les batteleurs politiciens, a fortiori en période électorale...


Les quartiers nord, un enjeu des prochaines élections

Asnières LEURS NOMS résonnent comme autant de contestations : Courtilles, Mourinoux, Freycinet... les quartiers nord d'Asnières sont aujourd'hui l'objet de toutes les attentions préélectorales.

Et pour cause, à cet endroit vivent près de 25 000 habitants de condition modeste, soit un peu moins d'un tiers de la population asniéroise : un creuset important d'électeurs potentiels à convaincre en vue des prochaines élections locales. Les politiques locaux l'ont compris. Du coup, cette partie du territoire communal est particulièrement bichonnée. C'est ainsi qu'une poignée de jeunes repentis des dernières violences urbaines, emmenée par un employé municipal, s'est retrouvée à appeler les habitants au pied des cités pour les inciter à aller voter aux prochaines élections, il y a quelques jours. Mais le petit jeu de séduction agace les gens du quartier, qui ne tardent pas à répliquer. A coup de tracts, Rachid Chetioui et Martial Makosso, deux citoyens des Courtilles, appellent à faire barrage à cette manoeuvre qu'ils estiment destinée à récupérer le vote communautaire : « Avec une forte population d'immigrés, nous sommes ciblés selon notre appartenance ethnique, religieuse ou sociale... Une politique menée afin de satisfaire chaque groupe selon ses intérêts, on manipule les électeurs. Stop au communautarisme, tous ensemble, refusons la relation clientéliste du citoyen en fonction de ses origines ou de ses appartenances. »

Et de dénoncer : « La régie de quartier a été incendiée, et ça continue avec les feux de voitures... en réponse, on promet un local pour les jeunes pour éviter le pire... quel avenir pour nos enfants ? » Les deux citoyens, qui sont rompus aux campagnes électorales - ils ont soutenu Mohamed Bentebra, un proche de Francis Pourbagher, ex-directeur de cabinet, aux dernières cantonales - mais en sont aussi revenus, n'ont pas encore décidé vers quel candidat ils porteront leurs voix. Mais si la mobilisation prend forme, les quartiers nord risquent de créer la surprise lors des prochaines élections.

Marisa Faion
Le Parisien , samedi 04 novembre 2006

Rachid Chetioui et Martial Makosso, deux citoyens natifs des Courtilles, entendent faire peser le vote des quartiers nord dans la balance des prochaines élections. Ils seront dimanche à partir de 10 heures sur le marché des Quatre-Routes.
(LP/MARISA FAION.)


Asnières

"Parking du centre : le marché public jugé illégal"
et
"Quatre années de procédures administratives et ... de recours"


>>>( lire en doc. pdf, la page - rubrique " 24 heures " du Parisien, édition des Hauts de Seine du 2 novembre 2006 ) <<<

EXCLUSION SANS EXPLICATION OFFICIELLE A L' UMP...
LAURENT MARTIN SAINT- LEON "PAYE" SON OPPOSITION AU MAIRE ACTUEL DANS L'AFFAIRE DU PARC DE STATIONNEMENT SOUTERRAIN EN CENTRE VILLE
POLITIQUE


L'UMP exclut deux élus d'Asnières
DEUX ÉLUS d'Asnières ont été exclus de l'UMP. Laurent Martin Saint Léon, conseiller municipal d'Asnières-sur-Seine, ainsi qu'un autre ancien adjoint au maire, Olivier Chazoule, ont été exclus du parti suite à un vote du comité départemental lors de sa réunion du samedi 21 octobre 2006. Laurent Martin Saint Léon, qui a été suspendu de l'UMP en mars 2006 alors qu'il était candidat au poste de délégué de circonscription dans le cadre des élections internes au mouvement, indique « qu'à aucun moment il n'a été informé de l'éventualité de cette exclusion, pas plus qu'il n'a été auditionné préalablement par les instances de l'UMP alors que cela est expressément prévu par les statuts.


» Ancien adjoint au maire débarqué en décembre 2004 pour s'être opposé au limogeage de cinq élus de la majorité municipale réintégrés depuis, Laurent Martin Saint Léon a créé son propre groupe Asnières Républicain au conseil municipal d'Asnières.

LE PARISIEN du 27 octobre 2006

ARTICLE AFFLIGEANT DE FLATTERIES ET DE DEMESURES A PROPOS DU " BINATIONAL" MANUEL AESCHLIMANN DANS LE JOURNAL "LE TEMPS" (JOURNAL SUISSE) ...
Les Asniérois apprécieront leur éventuelle "compatiblité hèlvétique" (récente grève des éboueurs et saleté chronique de la ville, insécurité croissante, faillite du petit commerce, inflation de procédures, crise de la majorité municipale etc.)


Le Temps – 27 octobre 2006

«Nicolas Sarkozy doit quitter le gouvernement au plus vite»

FRANCE. Originaire du canton de Berne, Manuel Aeschlimann est un expert de l'image et des sondages. Il est aujourd'hui conseiller du ministre de l'Intérieur. Rencontre avec un stratège qui affûte ses armes en vue de la campagne présidentielle.

Les échiquiers qui ornent son vaste bureau de la mairie d'Asnières, en banlieue parisienne, annoncent la couleur: le maître des lieux est avant tout un cérébral. Mais Manuel Aeschlimann, conseiller de Nicolas Sarkozy dans les arts délicats du suivi de l'opinion et de la maîtrise de l'image, nourrit aussi une passion plus discrète pour la Suisse, sa terre ancestrale.

«Je suis binational, mon père vient de la région de Berne», explique ce quadragénaire qui, en coulisses, joue un rôle clé dans la campagne présidentielle. «Depuis 2002, j'ai souhaité me rendre plus souvent en Suisse et je suis allé à Montreux, Genève, Gstaad... j'ai dû me contenter de regarder les chalets, parce que les prix sont assez «hard». La propreté, l'état d'esprit suisse, c'est tout ce que j'aime.» Les valeurs de l'Helvétie sont donc parfaitement «sarko-compatibles».

Dans sa commune d'Asnières, Manuel Aeschlimann a élevé la communication au rang de science presque exacte: il envoie des publications taillées sur mesure aux femmes, aux 18-25 ans, aux retraités. Il consulte les gardiens d'immeubles et les associations de locataires. Son discours «chirurgical» vise un électorat individualiste, qui ne vote plus en fonction de grandes idéologies mais d'enjeux précis.
Armes favorites

A l'échelle nationale, cette stratégie du «vote sur enjeu» pousse désormais Nicolas Sarkozy à intervenir sur des sujets comme l'agriculture, l'environnement ou le logement. «L'objectif n'est pas de faire plaisir à tout le monde, mais de parler à tout le monde», précise Manuel Aeschlimann. Cette méthode risque cependant de donner au candidat un air opportuniste et fluctuant. Pour y parer, il faut avoir «des éléments programmatiques plus fermes»: dans le cas de Nicolas Sarkozy, un discours musclé sur l'ordre et la sécurité. Sur ces thèmes, «son image est faite, il n'y a plus rien à y ajouter», estime Manuel Aeschlimann. Il croit même que Nicolas Sarkozy devrait quitter le gouvernement «le plus tôt possible».

Pour éviter les effets négatifs de nouvelles violences dans les banlieues, mais aussi pour rendre audible le reste de son message: «Aujourd'hui, il souffre d'un manque de lisibilité programmatique parce que, quoi qu'il dise, c'est toujours son statut de ministre de l'Intérieur qui domine.» Manuel Aeschlimann pense que les débats décisifs auront lieu dans les ultimes semaines de la campagne présidentielle, et il affûte déjà ses armes favorites en prévision de ce moment.

La première, ce sont les sondages qualitatifs qui mesurent l'état d'esprit de petits groupes d'électeurs. Ils ont permis à Manuel Aeschlimann - et Nicolas Sarkozy - de prédire l'échec de la Constitution européenne au référendum de mai 2005.

L'autre arme, c'est un esprit d'analyse impitoyable, entraîné par une longue pratique des échecs. «Après mon bac, j'aurais pu devenir joueur professionnel, mais j'ai choisi d'être sérieux en étudiant sciences po et droit», raconte le conseiller. Son heure de gloire échiquéenne est une partie nulle arrachée au grand champion Boris Spassky. «Les échecs permettent de rester zen, de ne pas réagir impulsivement aux attaques: dans ce jeu, tous les coups sont légitimes et il faut s'y préparer.»

En bon adepte de la raison pure, Manuel Aeschlimann estime que l'euphorie et l'excès de confiance sont les pires ennemis des candidats, comme aux échecs: «C'est lorsque vous êtes dans une logique de conquête que vous risquez le plus d'être battu.» Nicolas Sarkozy est prévenu: pour gagner, il lui faudra faire preuve, ces six prochains mois, d'une prudence de Sioux. "

Manuel Aeschlimann interviendra le 27 octobre aux Journées de la communication de Bienne. Rens. au 032/ 327 57 90 ou sur http://www.comdays.ch



"La région paie, mais n'est jamais invitée aux inaugurations"

Jean-Paul Huchon, président socialiste du conseil régional, est passablement furieux vis-à-vis du député maire UMP, Manuel Aeschlimann. Car si la région paie, elle n'est jamais invitée aux inaugurations. Dans une lettre qu'il a récemment écrite à Manuel Aeschlimann, il lui rappelle donc l'importance des subventions régionales dans les réalisations municipales. " Je suis extrêmement surpris de ne pas recevoir systématiquement de carton d'invitation aux inaugurations des équipements ayant bénéficié d'une subvention régionale et que la région ne soit jamais mentionnée sur vos cartons d'invitation alors qu'il me semble légitime que notre partenariat soit affiché" s'étonne Jean-Paul Huchon.

Et de citer aux passages quelques-uns des subsides: 122 137, 405 euros pour la restauration du château, notamment. "Je tiens à réaffirmer mon souhait de valoriser l'action régionale auprès de nos concitoyens que nous avons le droit d'informer sur l'utilisation des fonds publics et sur la part que prend la région dans la politique d'amélioration de leurs conditions de vie", rappelle au député-maire UMP, le président de région, qui ajoute: "Je souhaite qu'à l'avenir nos cabinets se rapprochent pour mener ensemble toute opération d'inauguration." Selon des proches du président de région, cette lettre serait restée pour l'instant sans réponse."

Le Parisien, 23 octobre 2006

 

L'ex-directeur de cabinet candidat aux législatives

Asnières

LIMOGÉ il y a quelques semaines à la suite d'une altercation avec une élue de la majorité municipale, Francis Pourbagher a du mal à digérer son éloignement de la mairie. Depuis quelques jours, il distribue un tract dans lequel il expose publiquement son ressentiment et même plus. L'ex-directeur de cabinet souligne notamment le « rôle majeur » qu'il a joué auprès du député-maire UMP, Manuel Aeschlimann, pour « gagner la confiance des électeurs » afin de mieux crier à l'injustice après son éviction.

Il annonce dans la foulée sa candidature aux prochaines élections législatives et dénonce pour mieux la justifier les dérives et les excès de la politique locale, reprenant un à un les dossiers déjà portés par l'opposition : augmentation des impôts ; coût exorbitant du parking du centre, frais d'avocats excessifs, communication tapageuse et mauvaise utilisation de la vidéosurveillance...

« L'expression du dépit et de l'amertume »

L'événement est accueilli indifféremment du côté de la majorité municipale qui ne voit là que « l'expression du dépit et de l'amertume » : « Chacun connaît les raisons qui m'ont amené à ne plus travailler avec lui, souligne simplement Manuel Aeschlimann. Je lui souhaite sincèrement de retrouver ses esprits avant de perdre définitivement sa dignité. » Et d'ajouter à propos de sa candidature aux législatives : « Si cela peut constituer pour lui une forme de thérapie, je n'y vois que des avantages. »

Ecarté, Francis Pourbagher considère pourtant que sa dispute n'est « qu'un prétexte et que la rupture a commencé au lendemain des élections régionales, quand Marie Dominique Aeschlimann (épouse du maire mais aussi conseillère régionale et maire adjoint aux côtés de son mari) s'est installée en mairie ». Il le dénonce d'ailleurs dans son tract : « Tu t'es éloigné des Asniérois et tu fais la politique de l'autruche en confiant la direction de la mairie à ton épouse, dit-il au maire en le tutoyant. Mais sache qu'une bonne épouse ne fait pas forcément un bon maire. »

Du côté de l'opposition, on regarde l'affaire avec amusement : « C'est l'hôpital qui se fout de la charité », résume, Sébastien Pietrasanta, conseiller municipal socialiste, en évoquant la personnalité équivoque de l'ex-directeur de cabinet, rappelant qu'il est à l'origine de nombreuses exactions, à commencer par l'utilisation illégale de la vidéosurveillance, celle-là même qu'il dénonce. Et d'autres élus de souligner encore sa condamnation à six mois de prison avec sursis et une forte amende pour dénonciation calomnieuse. Son implication dans l'affaire Ostad Elahi, une fondation qu'il accusait de dérive sectaire avant d'être contredit par la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) revient aussi à la surface : dans l'organisation de l'exposition culturelle iranienne très contestée ou même son interview faite à la télévision iranienne et gravée sur DVD qui a suscité nombre de questions.

Marisa Faion
Le Parisien , jeudi 12 octobre 2006

 

TRIBUNE LIBRE in "ASNIERES INFOS" novembre 2006

Mairie : le commencement de la fin

Dans une lettre ouverte au maire en forme de réquisitoire , F.Pourbagher, ancien directeur de cabinet de M. Aeschlimann, pourfend son ancien patron en reprenant nos arguments ( parc de stationnement devant la poste, impôts, sécurité, frais d‘avocats, vidéosurveillance etc.).

Nos idées feraient-elles école ? Rejoignez-nous !

www.massol.org

>>> ( A lire doc.pdf lettre ouverte de Francis POURBAGHER au maire distribuée en ville le 9 octobre 2006 )

>>> voir également un pastiche la lettre ouverte en réponse sur le site asnierois.free.fr

Le Parisien, le 11.10.06
ASNIERES Explosion d'une chaudière EN entretenant une chaudière à gaz, installée au sous-sol d'un bâtiment de la Poste, à Asnières, lundi après-midi, un technicien a été brûlé au visage. En s'échappant de la chaudière, le gaz a provoqué une explosion,...

Le Sarko-boy et la "secte" : le retour
L’étonnante vendetta de Manuel Aeschlimann, maire d’Asnières (Hauts-de-Seine) et conseiller pour l’opinion publique de l’UMP, contre la Fondation Ostad Elâhi qu’il accuse d’être une secte, intéresse la grande presse... avec un an de retard. Pas question bien sûr, pour elle, de rappeler que c’est la blogosphère qu’il l’avait révélée.

La semaine dernière, en lisant L’Express daté du 28 septembre-4 octobre 2006, (l’édition précédant celle que vous pouvez acheter en kiosque à partir d’aujourd’hui), je me suis demandé si mon kiosquier habituel ne m’avait pas vendu un vieux numéro de l’automne 2005...
L’édition nationale de l’hebdomadaire publiait en effet, sous la signature de Philippe Bidalon, une enquête de trois pages titrée Aeschlimann L’étrange croisade d’un Sarko-boy, dont l’essentiel des révélations remontait à plus d’un an. Quant à l’édition des Hauts-de-Seine, elle consacrait sa couverture et huit pages supplémentaires à Asnières Le système Aeschlimann (cliquez ici pour télécharger ce dossier en PDF).

Ce retard à l’allumage de plus d’un an surprend d’autant plus que plusieurs blogs, dont Carte de presse, avaient multiplié, durant l’automne-hiver 2005, les dénonciations et révélations dans cette affaire, sans vraiment éveiller l’intérêt de nos prestigieux confrères de papier sur les tribulations, avec une supposée secte, de Manuel Aeschlimann, maire d’Asnières et conseiller pour l’opinion publique de l’UMP, donc de Nicolas Sarkozy... Le journaliste de L’Express Philippe Bidalon ne fait évidemment aucunement référence au rôle premier d’information qu’a joué la blogosphère sur ce sujet.

Non seulement le dossier de L’Express ne contient que des faits réchauffés, mais, en plus, il est incomplet et ignore des aspects essentiels de L’étrange croisade d’un Sarko-boy.

Pour me limiter à mes contributions, je vous renvoie d’abord à l’article par lequel je révélais, le 20 décembre 2005, que Manuel Aeschlimann avait obtenu de la direction de l’Agence France-Presse la censure d’une dépêche qui le dérangeait (signée par Marc Bastian, correspondant de l’AFP dans les Hauts-de-Seine). Le maire d’Asnières avait considéré mon enquête comme suffisamment dérangeante pour m’envoyer le jour même un droit de réponse que j’avais mis en ligne.

Depuis la publication du dossier de L’Express, Gérard Davet, qui joue depuis le début un curieux rôle dans cette affaire (voir mon article du 20 décembre 2005 susmentionné), a publié un article dans Le Monde et Renaud Lecadre, dans Libération. Ils ne font bien sûr pas non plus référence au travail des blogueurs, que ces derniers soient ou non des journalistes professionnels.

Sans rancune, chers confrères...

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=14179

Le maire d'Asnières voyait des sectes partout
Le sarkozyste Manuel Aeschlimann a harcelé la fondation Elahi. A tort.

Conseil Municipal du jeudi 28 septembre 2006:
encore une image consternante pour la ville !



Climat pour le moins délétère... rappels incessants des condamnations en correctionnelle d'élus de l'actuelle majorité UMP et de la mise en examen récente du maire pour malversation dans la passation de marché public, chahuts divers puis , au final, intervention en séance d'agents en civil d'une société de sécurité suivie de celles de la police municipale et nationale !

Il est désormais notoire que Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières, ne sait manifestement pas tenir une séance publique d'un Conseil Municipal...alors pour sauver la face, il "se la joue" tardivement autoritaire !

A la vue de cette piteuse ambiance de "fin de règne", certains Asniérois facétieux et habitués des Conseils Municipaux comparaient ce soir là l'attitude du maire actuel M.AESCHLIMANN, à celle de son prédécesseur, Frantz TAITTINGER qui dans les années 90 avait fait appel au CRS en plein Conseil .... peu avant de démissionner !



AGENCE FRANCE PRESSE

Asnières: un opposant utilise un porte-voix au conseil municipal, la police intervient
[ vendredi 29 septembre 2006, 19h06 - AFP ]

Le député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), Manuel Aeschlimann, a fait intervenir jeudi soir la police nationale pendant le conseil municipal parce qu'un élu d'opposition utilisait un porte-voix en pleine séance, a-t-on appris vendredi de sources municipales.

"Nous n'avons pas eu à utiliser la force", a précisé une source policière.

Joint par l'AFP, M. Aeschlimann a expliqué qu'après des attaques personnelles contre lui et une adjointe de la part d'un ex-adjoint aujourd'hui dans l'opposition, Jean-Jacques Semoun (DVD), l'ambiance s'était "un peu échauffée".

A ce moment-là, l'ex-adjoint et deux autres conseillers d'opposition de droite "ont sorti un porte-voix, comme au précédent conseil municipal", a raconté le maire.

"J'avais prévenu le préfet à l'avance (...) qui m'a conseillé de faire une réquisition de police", a-t-il ajouté.

A l'arrivée de la police, les porteurs de mégaphone ont quitté la salle, rapidement suivis par le reste de l'opposition.

Sébastien Pietrasanta, élu PS et conseiller régional, affirme pour sa part que "le maire n'a cessé de provoquer des élus" et de "couper la parole et les micros de l'opposition".

"Je suis intervenu sur un projet de rénovation urbaine concernant 25.000 habitants. M. Aeschlimann a repris mes propos en les caricaturant. J'ai répondu, il a voulu en faire un incident. C'est là qu'est apparu le mégaphone. C'est évidemment déplacé, mais il faut se demander: pour quelle raison est-on obligé d'en arriver là?", a-t-il déclaré.

Bilan de la soirée: "c'est pitoyable", selon M. Aeschlimann, c'est une "escalade dans l'ignominie" pour M. Pietrasanta.

© 2006 AFP

Note de la rédaction



Asnières La police intervient au conseil municipal


UN HUISSIER de justice, des micros... et maintenant la police. Les conseils municipaux d'Asnières, qui se déroulent une fois par trimestre, ressemblent de plus en plus à des foires d'empoigne où chacun fourbit ses armes. Jeudi soir, lors du conseil municipal, malgré toutes les précautions techniques habituelles, le député-maire UMP, Manuel Aeschlimann, a fini par faire appel aux fonctionnaires de police après que des élus d'opposition eurent utilisé un porte-voix pour se faire entendre.

Le maire et ses opposants ne semblent d'accord que sur une seule chose : « Il est impossible de s'exprimer dans ce conseil. »

Mais chacun en renvoie bien sûr la faute à l'adversaire. « Nous étions en train de débattre sur le programme de l'Anru, un sujet important qui pèse 160 millions d'euros, lorsque le maire m'a coupé le micro », lâche Jean-Jacques Semoun, ex-maire adjoint passé dans l'opposition. « C'est insupportable, le débat est impossible. »

Manuel Aeschlimann détaille de son côté : « Des élus de l'opposition n'ont cessé de nous provoquer et conformément à ce que j'avais annoncé dès le début du conseil, nous n'avons pas polémiqué. Mais quand ils ont utilisé leur porte-voix, on ne s'entendait plus. Il a fallu se résoudre à appeler la police. C'est malheureux d'en arriver là, c'est pitoyable. »

« C'est pitoyable »

Les policiers municipaux sont donc intervenus vers 23 heures dans l'hémicycle pour « confisquer » le mégaphone, suivis peu de temps après par des policiers nationaux. Un beau capharnaüm qui s'est conclu par le départ de l'ensemble des 14 élus de l'opposition, droite et gauche confondues : « Le maire refuse de débattre sur le fond et il caricature les propos des élus de l'opposition, c'est lui qui créé l'incident », souligne à son tour le conseiller PS, Sébastien Piétrasanta.

Le conseil a finalement repris pour se terminer à minuit et demi, sans l'opposition, sur l'adoption du projet Anru. Un projet qui comprend notamment la destruction de la barre des Gentianes et le relogement de ses habitants qui a déjà commencé.

ASNIERES, JEUDI SOIR. Lors du conseil municipal, le député-maire UMP, Manuel Aeschlimann, a fait appel aux fonctionnaires de police après que des élus d'opposition eurent utilisé un porte-voix pour se faire entendre. (DR.)

Marisa Faion
Le Parisien , samedi 30 septembre 2006, édition Hauts-de-Seine, page II, rubrique 24 HEURES

Asnières La commission sur les liens de la mairie avec l'Iran dissoute

SUITE ET FIN ? La commission d'information et d'évaluation sur « les liens réels entretenus par la mairie d'Asnières et le gouvernement iranien », créée en décembre 2005, sera l'un des sujets abordés par le député-maire UMP, Manuel Aeschlimann, lors du prochain conseil municipal qui se déroulera demain soir en mairie. Le maire devrait officialiser à cette occasion la dissolution de ladite commission, sans pour autant avoir clos le débat.

Mise en place à la demande de treize élus (UMP, UDF, PS) à la suite d'une interview accordée à la télévision iranienne par le directeur de cabinet, Francis Pourbagher, récemment limogé par Manuel Aeschlimann, cette commission avait pour objectif de faire toute la lumière sur l'organisation et le financement d'une manifestation culturelle iranienne qui s'est déroulée à Asnières en janvier 2005, en présence de l'ambassadeur de la République islamique d'Iran en France. Une manifestation largement commentée par Francis Pourbagher dans une interview donnée en langue perse à la télévision iranienne qui avait suscité la mobilisation des élus d'opposition.

« La question du financement reste sans réponse »

Mais à ce jour, alors que le règlement intérieur stipule que sa durée de vie est achevée - elle n'était que de quatre mois - et que la commission composée de 16 élus représentant les différents groupes politiques du conseil ne s'est réunie qu'une fois, aucune conclusion d'enquête n'a encore été remise. Une omission qui devrait être réglée lors du prochain conseil. « On s'est posé la question d'un débat mais cela se limitera à la diffusion d'un compte rendu par le premier adjoint », lâche le directeur général des services, Bernard Loth.

« Jeudi, lors de la commission municipale (NLDR : réunion des présidents de groupe avant le conseil municipal) , nous avons demandé le rapport rédigé par la mission », souligne le socialiste Sébastien Pietrasanta. Et de préciser : « La question du financement de la manifestation iranienne par la ville reste pour nous toujours sans réponse. La commission a pour l'instant juste servi à étouffer les débats. On souhaite que cette mission soit prolongée sous une autre forme. » Peu probable que cette requête soit suivie d'effets. Les réponses ont été apportées aux élus présents lors de la réunion, assure le maire. Il s'agissait d'une exposition classique sur la culture iranienne qui est passée dans beaucoup d'autres villes avant Asnières et qui était financée par ces communes dans la plupart des cas, ce qui n'a pas été le cas à Asnières. Depuis, elle a été présentée dans d'autres communes, comme Neuilly. »

De son côté, Laurent Martin Saint-Léon, ancien maire adjoint passé dans l'opposition, s'estime satisfait de l'initiative qui a permis d'ouvrir les débats : « Il ne m'appartient pas de me pencher sur les relations qu'entretient l'ex-directeur de cabinet avec l'Iran. Il semblerait que Manuel Aeschlimann ne savait pas que la plus grande fête chiite qui commémore le martyre du prophète Hossein était célébrée sur sa commune... Je sais tout ce que je voulais savoir sur le sujet, le reste relève plus à mon sens de la DGSE ou des services spéciaux. Pas de la commune. »

Marisa Faion
Le Parisien , mercredi 27 septembre 2006
Edition Hauts-de-Seine

On nous fait parvenir ...

Communiqué

La Cour d’Appel de Versailles vient de condamner lourdement la Commune d’Asnières-sur-Seine (appelante) dans l’affaire qui l’opposait à Alix Chavanon, journaliste affecté pendant 15 ans à la rédaction du journal municipal.

Malgré le bien-fondé de la démarche de cette salariée, reconnu par les diverses juridictions interpellées successivement, il aura fallu près de 8 ans de procédure pour donner raison à cette journaliste, victime de la municipalisation de certaines associations asniéroises décidée en mai 1999, au début du mandat de maire de Manuel Aeschlimann.

Ces procès multiples et interminables coûtent fort cher aux contribuables asniérois.

On est en droit de se demander si la Ville aura la sagesse d’en rester là !

 

LES FAITS DIVERS EN FLASH

ASNIERES
Le directeur de cabinet convoqué au commissariat

LES ENNUIS de Francis Pourbaghere, directeur de cabinet du maire UMP d'Asnières, ne sont pas terminés. Lundi, il était convoqué par le maire Manuel Aeschlimann pour une sorte d'entretien préalable au licenciement. Et hier matin, c'est au commissariat de police qu'il était convoqué.

Francis Pourbaghere a dû s'expliquer sur les injures qu'il a proférées à l'encontre de l'adjointe au maire, Patricia Chavignier, mercredi dernier. Des injures d'un goût très douteux déversées devant témoins. « Il a complètement pété les plombs », commente un proche de cette affaire qui agite vivement le microcosme asniérois. Pour ces insultes, Patricia Chavignier avait porté plainte. C'est donc dans ce cadre que Francis Pourbaghere a été entendu hier au commissariat de police. « J'ai porté plainte », a-t-il confié hier, sans plus de précision. Une plainte pour injures également. Mais il n'est pas certain que des témoins aient assisté à l'agression verbale dont Francis Pourbaghere se dit victime. L'enquête permettra sans doute d'éclaircir les choses. En juin dernier, le directeur de cabinet remercié a été condamné pour « dénonciation calomnieuse » par le tribunal correctionnel de Nanterre. Il avait porté plainte contre un opposant municipal qu'il accusait d'avoir tenté de le renverser en voiture.

V.M.
Le Parisien, édition Hauts-de-Seine, page III, jeudi 21 septembre 2006

Fusible usagé : du rififi en interne à la Mairie d'Asnières

Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières
lâche son Directeur de cabinet Francis Ramine POURBAGHER


-
La rumeur trainait depuis ce jeudi 14 septembre, date d'un énième "incident" avec une élue UMP cette fois-ci . Le journal "Le Parisien" du 19/09/06 ( cf. ci-dessous ) croit pouvoir annoncer le limogeage du Directeur de cabinet bien qu'à ce jour Francis POURBAGHER nous confirme être toujours à son poste en Mairie dans l'attente de sa notification officielle d'éviction par son futur ex-patron et éventuellement motivation des griefs.

- Or, si la révocation d'un Dir cab peut se faire "ad nutum", il est permis cependant de se poser quelques questions quant aux "raisons imminentes" qui ont obligé le Maire à agir précipitamment de la sorte.Certains avancent en interne le profil caractériel et asocial de Francis Pourbagher ne permettant pas un travail convenable, d'autres se fondent sur l'image rendue négative dans l'opinion par ses condamnations en correctionnelle - " en service commandé" par le maire pourtant - notamment dans l'affaire d'un tract jugé diffamatoire ou comme en juin 2006 à 6 mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse ( appel interjeté ) ou encore en différents scandales émaillant la vie politique locale comme la venue de l'ambassadeur d'Iran dans le cadre d'une exposition organisée - et financée ? - par la ville en 2005, l'affaire de l'utilisation par du personnel non-habilité de la vidéosurveillance en périodes électorales... Encore d'autres invoquent enfin l'hostilité personnelle grandissante de F.POURBAGHER envers Bernard LOTH, l'actuel Directeur général des services, et le "clan" de Marie-Dominique AESCHLIMANN, née RISTORI et épouse du député-maire. Cette dernière étant accusée d'avoir des ambitions démesurées et de se comporter comme le Maire - et à la place de son époux de Maire - auprès des fonctionnaires de la ville.

- Les élections approchant et pressé par son entourage, il devenait manifestement urgent pour Manuel AESCHLIMANN ( fragilisé notamment par sa récente mise en examen dans une affaire de marché public ) de se séparer de ce fusible trop usé à la tâche, et véritable "homme à tout faire". Pas sur cependant qu'en se débarrassant ainsi "médiatiquement" de son Dir cab, il puisse conjurer certains dysfonctionnements persistants en interne et retrouver un si zélé serviteur payant de sa personne pour accomplir certaines (basses ?)besognes ...



ASNIERES Le directeur de cabinet du maire limogé

DANS n'importe quelle autre ville, la nouvelle serait passée inaperçue. Mais, à Asnières, le départ du directeur de cabinet du maire fait l'effet d'une véritable petite bombe. Personnage très contesté au sein de l'opposition comme de la majorité municipale, Francis Pourbagher a appris hier matin, lors d'un entretien avec son maire et mentor, Manuel Aeschli- mann, qu'il était « remercié ».

Véritable homme lige du député-maire UMP qui l'avait pris à ses côtés dès 1999, Francis Pourbagher, nommé directeur de cabinet en 2000, était rapidement devenu un personnage incontournable du microcosme politique local. Omniprésent, ne ménageant pas ses interventions auprès des élus comme des directeurs de services municipaux, l'homme, que certains n'hésitaient pas à surnommer « le vice-maire », s'était au fil du temps créé de nombreuses inimitiés. Trop depuis quelque temps.

« Le commandement est en panne aujourd'hui dans la ville »

« Le courant ne passait plus. Les élus de la majorité se plaignent de relations de plus en plus difficiles. La plupart des adjoints me disent : « On ne veut plus travailler avec lui », expliquait Manuel Aeschlimann, hier, ajoutant : « J'ai considéré longtemps qu'il était efficace dans ces différentes missions. Mais j'ai passé beaucoup de temps à recoller les morceaux. Aujourd'hui, j'ai d'autres choses à faire. Ça me peine à titre personnel, mais il ne pouvait pas rester. » C'est un récent incident avec une élue de la majorité qui semble avoir accéléré les choses. Mercredi dernier, lors d'une rencontre de quartier de la maison de proximité, Francis Pourbagher a eu une altercation avec Patricia Chavinier, adjointe au maire et conseillère générale. Jeudi, une nouvelle dispute entre le directeur de cabinet et l'élue a eu lieu dans la rue. « On peut se dire des choses en tête à tête, mais devant les Asniérois il y a des limites », souligne Manuel Aeschlimann. « Je ne suis pas le maître d'école qui siffle la fin de la récré. »

De son côté, Francis Pourbagher affirme avoir rempli « ses » missions. « Nous avions, avec le maire, des objectifs communs : garder la mairie en 2001, gagner les législatives en 2002 et récupérer le canton nord d'Asnières en 2004. Ça a été fait. Mais, depuis quelque temps, les élus interfèrent sur les décisions du maire. Le commandement est en panne aujourd'hui à Asnières », assure le directeur de cabinet, « On a fait un bon binôme avec le maire, mais je n'aurais pas continué dans ces conditions. Je ne peux pas me laisser soumettre à une poignée d'élus » conclut-il tout en affirmant qu'il est depuis trois ans l'objet d'attaques « personnelles et incessantes » sur ses origines (NDLR : Francis Pourbagher a la double na- tionalité française et iranienne).

Une chose est sûre : la nouvelle du départ du bouillant directeur de cabinet, condamné le 25 juin dernier à six mois de prison avec sursis pour « dénonciation calomnieuse », va ravir ses nombreux détracteurs. Particulièrement dans l'opposition municipale. « Je suis accablé qu' on ait attendu autant de temps » réagit Jean-Jacques Semoun, ex-membre de la majorité aujourd'hui dans l'opposition. « Il faut que les fonctionnaires restent à leur place. Il mérite ce qui lui arrive. Mais il a aussi agi sur ordre. Le maire presse ses collaborateurs comme des citrons, puis les jette… Ça va finir par exploser.»

Frederic Choulet
Le Parisien Hauts-de-Seine, page II, mardi 19 septembre 2006

Lycée Malraux , encore une autre honte pour Asnières !
Ce lycée n'en finit pas de plomber l'image de la ville tant en termes d'éducation que de sécurité

voir article du journal LE PARISIEN du 14/09/2006

page 2

page 3

page 4

ASNIERES dernière SUSPENSION DES TRAVAUX
(06 /09/ 2006)

Suite à la réunion d'expertise ( référé préventif ) qui s'est tenu ce mercredi 6 septembre 2006 à 9 h 00 au petit théatre, à propos du projet de construction du parc de stationnement souterrain de la place Aristide BRIAND, il a été annoncé par le représentant des services techniques de la ville, devant l'expert commis par le T.G.I. de Nanterre et les parties en présence, la suspension desdits travaux....

Vu l'état de l'affaire, la visite dans les appartements n'ayant pu se faire ce jour comme prévu, une autre convocation des parties a été décidé.

à suivre

Dernier tract sur le parking du centre ville

Affaire du parking souterrain de la place Aristide Briand


Le député-maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, mis en examen
20Minutes.fr avec AFP | 31.08.06 | 20h06

Le député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) Manuel Aeschlimann a été mis en examen dernièrement pour complicité de favoritisme dans l'attribution d'un marché public dans sa commune, a-t-on appris jeudi de source municipale.

Conseiller politique chargé du suivi de l'opinion publique à l'UMP, ce proche du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a été mis en examen par lettre recommandée avec accusé de réception fin juin, a confirmé le parquet de Nanterre.

M. Aeschlimann bénéficie en tant que député de l'immunité parlementaire et ne peut faire l'objet d'un contrôle judiciaire.

Il a dénoncé jeudi dans un communiqué "une instruction entachée de multiples irrégularités" et "l'insécurité juridique qui pèse sur les maires et leurs collaborateurs".

Il avait jusque-là été entendu plusieurs fois comme témoin assisté, dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en 2003 par le parquet de Nanterre pour "octroi d'avantage injustifié, recel et détournement de fonds publics".

Sa directrice de la communication Fabienne Van Aal, fille du maire UMP de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) Louis-Charles Bary, avait été mise en examen fin juin pour le même motif que M. Aeschlimann, soit précisément "complicité d'atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics".

Auparavant, l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998) Franz Taittinger était seul mis en examen depuis 2003 dans cette affaire pour "atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics".

En 1998, M. Aeschlimann, premier adjoint au maire, monte un projet de festival folklorique, dont l'organisation est confiée à la société CDA Production via un contrat d'environ 200.000 euros.

Le préfet des Hauts-de-Seine rejette le contrat pour non-conformité au code des marchés publics. Mais la mairie persiste à confier l'organisation à CDA Production gérée par Dominique Carbonnier, ami de M. Aeschlimann, et à une association paramunicipale, Asnières Communication, dirigée par Fabienne Van Aal.

M. Carbonnier a été entendu comme témoin assisté.

Finalement l'association Asnières Communication touchera la "subvention exceptionnelle" de 200.000 euros, montant "très largement surévalué", selon les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE).

© 2006 AFP

Libération d’Asnières : le maire brille par son absence
Le député-maire UMP et proche de Nicolas Sarkozy Manuel Aeschlimann a boudé comme l’année dernière la cérémonie commémorant la libération de sa ville.
30/08/2006

Les associations d’anciens combattants d’Asnières (Hauts-de-Seine) ne comprennent pas pourquoi leur maire n’a pas participé, comme c’est l’usage, à la cérémonie commémorant la libération de la ville, samedi 26 août 2006.
Ce n’est pourtant pas la première fois que Manuel Aeschlimann, député-maire d’Asnières et membre de la « garde rapprochée » du président de l’UMP Nicolas Sarkozy pour lequel il s’occupe notamment de décrypter les sondages en vue de l’élection présidentielle, décide de ne pas s’associer à cette manifestation. En fait, depuis qu’il a été élu premier magistrat de la ville, M. Aeschlimann a préféré rassembler sur la seule date du 8 mai la célébration de l’Armistice de 1945 et la libération d’Asnières en 1944. Une décision surprenante de la part d’un élu « gaulliste » de l’UMP. Lors de la cérémonie du 26 août 2006, seuls un conseiller régional socialiste et un ancien conseiller régional RPR avaient répondu à l’appel de l’UFAC et des différentes associations d’anciens combattants.

SUR LE SITE ANCIENCOMBATTANT.COM
http://www.anciencombattant.com/article.cfm?id=102195


Drôle de conseiller que ce Manuel AESCHLIMANN qui se répand dans la presse en déclarant, en substance, que .....DE NOUVELLES EMEUTES EN BANLIEUES ET LE DOSSIER DES CLANDESTINS PEUVENT FAIRE TOMBER SARKOZY AVANT LES PRESIDENTIELLES !


Le "monsieur sondages" de l’UMP presse Sarkozy d'avancer son départ du gouvernement
lefigaro.fr (avec Reuters).
Publié le 23 août 2006
Actualisé le 23 août 2006 : 19h01


Le député-maire d'Asnières, spécialiste des sondages, estime qu'en restant au gouvernement, Nicolas Sarkozy aura du mal à débuter sa campagne.
(AFP/Jean Ayissi)


Le député-maire d'Asnières, spécialiste des sondages, estime qu'en restant au gouvernement, Nicolas Sarkozy aura du mal à débuter sa campagne.
(AFP/Jean Ayissi).
Manuel Aeschlimann estime qu’une nouvelle crise des banlieues pourrait mettre à mal les ambitions du probable candidat à la présidentielle.

«Je pense qu’il devrait partir à l’automne, pas après». Chargé des sondages au sein de l’UMP, Manuel Aeschlimann presse à son tour Nicolas Sarkozy de quitter le gouvernement rapidement. Il emboîte le pas de bon nombre de proches du ministre de l’Intérieur, qui insistent sur le «risque permanent de l’exercice gouvernemental». Mais sur ce registre, Manuel Aeschlimann va plus loin encore dans son argumentaire.

Selon lui, si Nicolas Sarkozy ne quitte pas prochainement le gouvernement, il court le risque d’une fin d’année délicate. Le député-maire d’Asnières craint principalement de nouvelles émeutes en banlieues. «La dernière fois, Dieu merci, il n’y a pas eu de bavure policière. Mais imaginez un retour des violences et une exaction de la police, et les ambitions présidentielles de Sarkozy sont terminées», estime-t-il dans une interview à l’agence Reuters.

Nicolas Sarkozy avait indiqué en juin ne pas vouloir quitter le gouvernement avant janvier 2007. Pour son proche conseiller, Brice Hortefeux, le moment idéal, «où les français comprendront qu’il ne déserte pas ses responsabilités», se situait «entre novembre et janvier».

D’autres raisons poussent Manuel Aeschlimann à demander au plus tôt le départ du président de l’UMP. «Tant qu’il sera ministre de l’Intérieur, une partie de son programme sera inaudible». Ce spécialiste des sondages craint que Nicolas Sarkozy ne subisse, à l’instar de Jospin en 2002, l’inévitable usure du pouvoir, et cite en exemple sa légère baisse de popularité durant l’été. Pour Aeschlimann, celle-ci est due en partie au dossier des sans-papiers, «un cas typique de ce qui peut vous faire tout perdre». Selon lui, l’annonce de Nicolas Sarkozy de régulariser 6000 des 30.000 immigrés ayant demandé la nationalité française a «laissé insatisfaits les plus modérés tout en lui aliénant les votes d’extrême-droite».

Mais le député-maire va plus loin. Pour lui, le dossier des sans-papiers a fait perdre au président de l’UMP les voix des minorités ethniques et des jeunes, qui lui reprochent toujours les expressions employées à la veille des émeutes, en 2005. Or, estime Manuel Aeschlimann, tant que Nicolas Sarkozy restera au gouvernement, il sera vu comme «l’incarnation de la loi et de l’ordre» par les intéressés.

Selon lui, le président de l’UMP doit donner à ces jeunes et aux minorités «des signes, sinon de modération, du moins de ne pas chercher à obtenir les voix de Jean-Marie Le Pen». «Il est essentiel que Nicolas Sarkozy puisse rassurer les jeunes électeurs et ne pas les radicaliser… mais dans tous les cas, ils resteront son point faible pour l’élection», redoute-t-il.

Les dernières enquêtes d’opinion marquent une progression du président de l’UMP. Une enquête IFOP, à paraître jeudi dans Le Point, le donne vainqueur d’un duel contre Ségolène Royal, à 51% contre 49% pour la candidate socialiste.

STATUE D'ASNIERES ... en plein été (17 juillet 2006)... Le déplacement est désormais en cours !!!

En dépit des multiples recours en justice, du permis de construire attaqué,

Monsieur le Maire, Manuel Aeschlimann passe outre pendant l'été !

(voir autres photos)

et décide unilatéralement de déplacer la statue et de détruire les espaces verts sur la place Aristide Briant devant la Poste (les platanes sont prévus d'être abbatus).

Nous n'entendons pas laisser perpétuer impunément la destruction du centre ville et placerons prochainement Monsieur le Maire devant ses responsabilités.

 

Les magistrats dénoncent les « menaces » du député-maire

LA LETTRE adressée la semaine dernière au juge d'instruction de Nanterre, Richard Pallain, par le député-maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, a vivement fait réagir les syndicats de magistrats, comme l'on pouvait s'y attendre. Et pour cause, dans ce courrier rendu public par l'élu, Manuel Aeschlimann, qui demande sa mise en examen dans le cadre d'une affaire de financement de Festival folklorique organisé sur sa commune en 1998, critique ouvertement les « méthodes de travail » du juge.

Il lance des « menaces à peine voilées au juge d'instruction », réagit l'Union syndicale de la magistrature (USM), syndicat majoritaire, qui a déjà accusé il y a quelques jours Nicolas Sarkozy, dont Manuel Aeschlimann est l'un des lieutenants, « d'atteinte à l'indépendance de la justice » après ses accusations de laxisme contre le tribunal pour enfants de Bobigny (Seine-Saint-Denis).

« Une pratique dangereuse pour la démocratie »

L'USM estime que la missive du député-maire d'Asnières se situe exactement dans la droite ligne de ce qui s'est passé à Bobigny : ce « n'est une fois de plus qu'une instrumentalisation de la justice », lâche son président, Dominique Barella.

« Le sport politique national consiste désormais à attaquer les tribunaux et les magistrats », constate l'USM, qui condamne cette pratique « dangereuse et inquiétante pour la démocratie ».

La missive du député-maire d'Asnières qui fait suite à la mise en examen, dans l'affaire susnommée, de sa proche collaboratrice Fabienne Van Aal pour « complicité d'atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics », évoque « l'aversion du magistrat pour les politiques... des pressions sur certains témoins... ou encore... des actes de procédure falsifiés ».

Des accusations considérées avec sévérité par l'USM : « C'est une tentative de pression sur le juge, dénonce encore Dominique Barella, qui souhaite réunir le bureau pour débattre du sujet et peut-être envisager une intervention. Au lieu de répondre sur le fond, on attaque. Le but, ce n'est pas d'avoir un dialogue avec le juge d'instruction, qui, lui, ne peut répondre publiquement. »

Et d'ajouter : « Un maire ne supporte pas que ses proches soient mis en examen, c'est le système de la toute-puissance. C'est un élu proche du ministre qui considère que tout pouvoir doit être concentré dans les mains de l'exécutif. C'est ce que la politique peut créer de pire. Les juges, eux, ne font qu'appliquer les textes et les lois votés par le Parlement. »

L'Union syndicale de la magistrature réagit avec force au courrier envoyé par Manuel Aeschlimann (ci-dessus) à un juge de Nanterre. Dans sa lettre, le député-maire réclame sa propre mise en examen et critique les méthodes de travail du magistrat. (LP.)

Marisa Faion
Le Parisien , jeudi 29 juin 2006

voir lettre (format pdf 143 ko)

Le député-maire fait venir un huissier au conseil

Asnières

LE DEPUTE-MAIRE UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, ne se satisfait plus des procès-verbaux du conseil municipal. Hier soir, il a fait preuve d'innovation en mandatant pour la première fois un huissier de justice pour « noter tous les échanges pour préserver la présomption d'innocence ». Cette initiative n'est pas neutre puisque Manuel Aeschlimann a demandé vendredi dernier au juge d'instruction à être mis en examen dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en 2003 par le parquet de Nanterre pour « octroi d'avantage injustifié, recel et détournement de fonds publics ».

Ce proche de Nicolas Sarkozy et conseiller politique sur l'opinion publique à l'UMP avait, jusque-là, déjà été entendu plusieurs fois comme témoin assisté dans le cadre de cette affaire qui concerne le financement d'un festival folklorique organisé sur la commune en 1998. Convoqué pour être mis en examen lundi dernier, le député-maire ne s'est pas rendu à une convocation au tribunal de Nanterre, selon une source proche du dossier. Convoquée ce même jour, sa directrice de la communication d'alors, Fabienne Van Aal, fille du maire UMP de Neuilly, Louis-Charles Bary, le sera pour « complicité d'atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics ».

Hier soir, en mandatant un huissier de justice au conseil, le député-maire a-t-il simplement voulu « encadrer » les élus de l'opposition en leur signalant que toute parole qui lui porterait atteinte dans ce dossier serait notée et peut-être sanctionnée parce qu'une procédure judiciaire agrémentée d'un constat d'huissier pèserait plus lourd ?

La présence dans le public du professionnel n'aura pas en tout cas empêché les débats d'avoir lieu. Gag ou provocation, Manuel Aeschlimann a ouvert les discussions en demandant à son conseil municipal de voter le voeu de soutien à Janine Jambu : l'ancienne maire PC de Bagneux et à trois de ses adjoints, condamnés le 18 mai à de la prison avec sursis et à dix ans d'inéligibilité par le juge pour « prise illégale d'intérêt ».

Davantage de transparence sur les affaires judiciaires

Dialogue de sourds : les élus de l'opposition réclamaient plus de transparence sur les affaires judiciaires qui secouent depuis quelques jours la commune. Celle du festival folklorique où, jusqu'à lundi dernier, seul l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998), Franz Taittinger, avait été mis en examen, pour « atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics ». Et puis, celle où jeudi dernier son directeur de cabinet, Francis Pourbagher, a été condamné à six mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse d'une fausse tentative de meurtre. Les élus de l'opposition ont vainement demandé que la ville se constitue partie civile dans la première affaire et demandé au maire que le directeur de cabinet soit renvoyé...

ASNIERES, HIER, 21 HEURES. Le député-maire UMP a mandaté pour la première fois un huissier de justice pour encadrer les débats lors du conseil municipal. (LP/M.F.)

Marisa Faion
Le Parisien , mardi 27 juin 2006


LOI DES SERIES JUDICIAIRES EN MAIRIE D'ASNIERES

Quasiment tout l' Exécutif municipal est désormais rattrapé par la Justice... Francis POUBAGHER, Directeur de cabinet de Manuel AESCHLIMANN, condamné lourdement en correctionnelle pour dénonciation calomnieuse le 22 juin, Fabienne Van Aal, Chef de cabinet de Manuel AESCHLIMANN, mise en examen pour complicité dans le non-respect des procédures de passation des marchés publics et Manuel AESCHLIMANN, lui-même, député-maire d'Asnières en instance de mise en examen.... L'atmosphère devient vraiment très délétère sur la ville en cette fin de mandature municipale grêvée par des "affaires" .


1 ) - Convocation judiciaire de M. Aeschlimann pour le 19 juin et demande a posteriori de mise en examen par l'interessé

Le 19 juin 2006, Manuel Aeschlimann, convoqué pour la 4 ème fois au moins par le juge Pallain, magistrat-instructeur, ne s’était pas rendu à cette convocation. Or, selon une dépêche AFP du 23 juin ( voir ci-dessous ), ce dernier , voyant sa mise en examen se profiler de manière imminente, aurait choisi finalement de la réclamer - semble t-il non sans quelques hésitations - afin de sauver la face et essayer de conserver le beau rôle devant l'opinion, en laissant entendre confusément, tout comme son directeur de cabinet, qu'il serait victime d'un zèle de certains magistrats, voire de dysfonctionnements judiciaires...

AFP, 23 JUIN 2006
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Le député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) Manuel Aeschlimann, qui ne s'est pas rendu lundi à une convocation au tribunal de Nanterre, pour être mis en examen, selon une source proche du dossier, a réclamé vendredi dans un communiqué cette mise en examen.

Proche de Nicolas Sarkozy et conseiller politique sur l'opinion publique à l'UMP, "Manuel Aeschlimann demande au juge d'instruction à être mis en examen", selon le texte, dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en 2003 par le parquet de Nanterre pour "octroi d'avantage injustifié, recel et détournement de fonds publics".

Il avait jusque-là été entendu plusieurs fois comme témoin assisté.

"M. Aeschlimann a un train de retard: il était convoqué lundi dernier aux fins de mise en examen, mais n'est pas venu", selon une source proche du dossier.

"Je ne savais pas que je devais être mis en examen, c'était une convocation classique comme les précédentes", a rétorqué le maire, invoquant "une crise de sciatique".

Sa directrice de la communication Fabienne Van Aal, fille du maire UMP de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) Louis-Charles Bary, a été mise en examen lundi pour "complicité d'atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics".

Depuis 2003, l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998) Franz Taittinger était seul mis en examen, pour "atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics".

En 1998, M. Aeschlimann, premier adjoint au maire Taittinger, monte un projet de festival folklorique. L'organisation du festival est confiée à la société CDA Production, via un contrat d'environ 200.000 euros. Le préfet des Hauts-de-Seine rejette le contrat pour non-conformité au code des marchés publics. Mais la mairie persiste à confier l'organisation à CDA Production gérée par Dominique Carbonnier, ami de M. Aeschlimann, et à une association paramunicipale, Asnières Communication, dirigée par Fabienne Van Aal.

M. Carbonnier a été entendu comme témoin assisté.

Finalement l'association Asnières Communication touchera la "subvention exceptionnelle" de 200.000 euros, montant "très largement surévalué", selon les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE).

M. Aeschlimann dénonce "une instruction entachée de multiples irrégularités" et "l'insécurité juridique qui pèse sur les maires et leurs collaborateurs".

Dans une autre affaire, son directeur de cabinet Francis Pourbagher a été condamné jeudi à six mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse d'une fausse tentative de meurtre.

© afp. - Tous droits réservés.

2 ) - Mise en examen également de Fabienne Van Aal, proche collaboratrice du Maire:

Fabienne Bary, épouse Van Aal, chef de cabinet de Manuel Aeschlimann.Fabienne Bary est la fille de Louis-Charles Bary, maire de Neuilly et sœur d’Antoine Bary, adjoint de Manuel Aeschlimann, délégué à l’urbanisme.Cette personne à la particularité de cumuler à la mairie d'Asnières, les fonctions de chef de cabinet du maire d'Asnières (statut de collaborateur de cabinet) et de directrice du service de la communication (statut de fonctionnaire territorial).
Convoqué le 19 juin 2006 également par Monsieur le juge Pallain, , a signifié à Fabienne Bary sa mise en examen pour "complicité d'atteinte à la liberté d'accès et à l'égalité des candidats dans les marchés publics" dans l’affaire du Festival International du Folklore d’Asnières remontant à 1998.



Le directeur de cabinet du maire d'Asnières condamné à six mois avec sursis

Le jugement avait été été mis en délibéré au 22 juin 2006. Auparavant,le 26 mai 2006, le directeur de cabinet du maire d'Asnières-sur-Seine avait comparu devant la 15e chambre correctionnelle du tribunal de Nanterre pour dénonciation calomnieuse d'un tiers qu'il avait accusé de tentative de meurtre en 2003.

Le président de la 15e chambre correctionnelle de Nanterre, Alain Prache, a été très ferme vis à vis du directeur de cabinet du maire d'Asnières : "Les lois de la République sont faites pour être respectées par tous, que l'on s'en souvienne. Votre fonction exclue toute méprise quant à vos droits et devoirs en la matière". Le juge a aussi dénoncé une "instrumentalisation de l'autorité judiciaire et de la force publique".

Francis Pourbagher, contacté par un de nos correspondants, à déclarer être la victime toute désignée de la mauvaise réputation de la Mairie d'Asnières auprès des tribunaux et de la presse et a confirmé vouloir interjeter appel.


Le directeur de cabinet du maire d'Asnières condamné à six mois avec sursis
AFP 22.06.06 | 16h30

Le directeur de cabinet du maire d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) a été condamné jeudi à six mois de prison avec sursis par le tribunal de Nanterre pour dénonciation calomnieuse d'un opposant municipal qu'il avait accusé de tentative de meurtre en 2003. Francis Pourbagher, directeur de cabinet du député-maire UMP d'Asnières Manuel Aeschlimann, devra aussi verser 5.000 euros de dommages et intérêts et 4.000 euros au titre des frais de justice à celui qu'il avait injustement accusé.

Enfin, le tribunal a ordonné la publication du jugement dans le journal municipal d'Asnières et dans l'édition des Hauts-de-Seine du Parisien. M. Pourbagher a annoncé vouloir interjeter appel. "Votre cursus et votre fonction excluent toute méprise quant à vos droits et devoirs en la matière", a lancé à M. Pourbagher le président de la 15e chambre, Alain Prache, en fustigeant une "instrumentalisation de l'autorité judiciaire et de la force publique, conçues pour la garantie des droits de l'homme". "Les lois de la République sont faites pour être respectées par tous, que l'on s'en souvienne", a encore dit le président au condamné. Les faits remontent au 29 octobre 2003. Ce soir-là, M. Pourbagher dit s'être arrêté devant un panneau d'affichage portant un tract d'une association de quartier opposée à la municipalité. Au moment où le directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann, un proche de Nicolas Sarkozy, veut retourner à son véhicule -garé à contresens de l'autre côté de la rue-, il affirme qu'une voiture, dont il a ensuite fourni le numéro d'immatriculation à la police, lui aurait "foncé dessus". La plaque correspond à la voiture de Shebli Anvar, ingénieur au Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et membre d'une association de quartier opposée à la mairie. Après enquête de 24 heures, le parquet de Nanterre classe la plainte. Les tracts, calomnies et injures sont monnaie courante dans la vie politique asniéroise. Lors de l'audience fin mai, M. Pourbagher avait maintenu "in extenso" ses accusations de 2003 contre M. Anvar, qu'une instruction est venue contredire. Soulignant les "invraisemblances" de la version de M. Pourbagher, le procureur Bruno Bougie, après avoir demandé un supplément d'enquête rejeté par le tribunal, s'en était rapporté au jugement à venir.

 

Affaire Clearstream ..... et Asnières !


Florian Bourges gère des crèches financées par le département

LA BLOGOSPHÈRE alto-séquanaise est en effervescence. L'un des principaux protagonistes de l'affaire qui secoue depuis plusieurs semaines le gouvernement serait à la tête d'une association qui gère plusieurs crèches privées financées entre autres par le conseil général des Hauts-de-Seine, dirigé par Nicolas Sarkozy. L'informaticien Florian Bourges qui a reconnu avoir transmis les fichiers « non falsifiés » de l'affaire Clearstream à Imad Lahoud, lui-même mis en examen pour « dénonciation calomnieuse faux et usage de faux », est à la tête de cette association comme l'indique un rapport du conseil général daté du 8 mars 2005.

Il s'était d'ailleurs adressé en janvier dernier aux responsables du site Internet asniérois.org, pour faire la promotion de l'une des structures qui allait ouvrir avenue d'Argenteuil, à Asnières-sur Seine. Aujourd'hui, le téléphone de l'association sonne dans le vide. Son président, Florian Bourges, très sollicité depuis l'apparition de son nom dans l'affaire Clearstream, répond aux abonnés absents. Quant à la directrice de la structure asniéroise, elle reste très évasive sur ses liens avec l'association. « Il n'y a eu aucune grosse publicité autour de cette crèche, se souvient l'un des animateurs du site asnierois.org. Florian Bourges nous a recontactés suite à l'article pour préciser que la ville d'Asnières avait soutenu le projet. »

« Je vais faire en sorte que les juges le sachent »

Depuis, l'ex-salarié du cabinet d'audit Arthur Andersen, chargé en 2001 d'expertiser le système informatique de Clearstream et principal informateur du journaliste Denis Robert, a ouvert d'autres structures pour accueillir les bambins. Le conseil général lui a en effet octroyé en mars 2005 une première subvention de 116 064 € pour la réalisation de l'opération sur Asnières et une autre de 178 391 € pour celle de Fontenay-aux-Roses qui semble être encore en projet selon les informations fournies sur le site Internet de l'association. L'information transmise sur les blogs s'est propagée comme une traînée de poudre et suscite aujourd'hui de nombreuses interrogations. Sur un forum, des internautes se demandent notamment pourquoi Florian Bourges n'a pas fait état de ses liens avec l'entourage de Nicolas Sarkozy. Interrogé, l'avocat d'Imad Lahoud, M e Olivier Pardo, s'étonnait hier que de telles informations n'aient jamais été portées à la connaissance des juges d'instruction et se demande pourquoi Florian Bourges n'a jamais été questionné sur ces points. « Je vais faire en sorte que les juges le sachent », lâche simplement l'avocat. D'aucuns s'étonnent notamment que la banque Clearstream n'ait pas déposé plainte contre Florian Bourges pour atteinte au secret bancaire et violation du secret professionnel. Le président du conseil général, ministre de l'Intérieur et président de l'UMP, Nicolas Sarkozy, rappelons-le, s'est constitué partie civile dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à Paris pour « dénonciation calomnieuse » dans l'affaire Clearstream.

Florian Bourges, l'informaticien qui a transmis les fichiers non falsifiés de la société Clearstream, est à la tête d'une association subventionnée par le conseil général des Hauts-de-Seine au titre de l'aide à la création de crèches. (AFP/FRANÇOIS GUILLOT.)

Marisa Faion
Le Parisien , jeudi 15 juin 2006


LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE MAIRE

Monsieur le Maire,


Vous avez fait procéder récemment, sans aucune référence par ailleurs à un arrêté municipal, à l’apposition d’un panneau à proximité de l’Hôtel de Ville ( côté rue Edmée Perrier ), intitulé : « Villes d’Asnières s/Seine, Déplacement de la statut et aménagement de la place à partir du 15 juin 2006 ».

Or, vu l’imminence des travaux , ou du moins leur annonce, je tiens à rappeler, à titre préventif, les éléments suivants:

- qu’à ce jour, nous sommes toujours dans l’attente de la réunion et de la décision de la Commission en charge d’évaluer notamment la protection de la statue du monument aux morts de la place Aristide Briant , au titre de son inscription à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques ( requête déposée en octobre 2005 ),

- qu’à ce jour également, un deuxième recours en excès de pouvoir a été déposé - par Monsieur Martin Saint-Léon et moi-même - tout récemment auprès du Tribunal administratif de Versailles aux fins d’annulation de la délibération prise lors du Conseil Municipal du 30 mars 2006 et relative au financement et réalisation d’un parking souterrain en centre-ville,

- qu’enfin, suite à l’affichage le 29 mai 2006 d’un permis de construire concernant ledit parking souterrain, il convient, au regard de l’article R. 490-7 du Code de l’urbanisme, de laisser s’écouler les délais de droit commun dans l’éventualité de recours des tiers,

 

En conséquence, il vous est demandé de surseoir à l’exécution des travaux jusqu‘à la clôture des délais, au prononcé de la Commission et jugement de la juridiction saisie.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments distingués.



Hubert MASSOL
Conseiller municipal

Rebondissement dans l'affaire du financement et de la réalisation du parking souterrain en centre-ville...

LE PARISIEN du jeudi 8 juin 2006

Asnières Nouveau recours contre le parking

LE FUTUR PARKING de l'hôtel de ville, à Asnières, qui a déjà coûté la modique somme de 816 000 €, n'en finit pas de faire parler de lui. Après quatre ans de péripéties et alors que la municipalité vient tout juste d'installer un panneau signalant enfin l'autorisation de construire les 320 places en sous-sol, le projet est une fois de plus contesté par l'opposition. Deux élus, le MNR Hubert Massol et l'UMP Laurent Martin-Saint-Léon, ont en effet décidé de porter une nouvelle fois le débat devant le tribunal administratif.
Tous deux viennent de déposer un deuxième recours pour « excès de pouvoir » et demandent que soit annulée la délibération municipale qui approuve le choix du délégataire chargé de la construction-exploitation du parking, et qui autorise le maire à signer un contrat de concession de travaux et de service public.

Plus de 8 millions d'euros

Les deux élus considèrent en effet que les documents destinés à éclairer les élus municipaux sur le projet n'ont pas été respectés, ils estiment qu'il y a eu violation de la procédure de passation des marchés publics et dénoncent le coût exorbitant de la construction. « Lors de réunions de la commission d'appel d'offres qui doit décider du choix du délégataire, le maire, Manuel Aeschlimann, qui préside normalement cette commission, s'est fait remplacer et n'a pas pris la peine de faire les formalités préalables à sa représentation alors que c'est le plus gros projet de sa mandature », dénonce Laurent Martin-Saint-Léon. Mais ce que reprochent par-dessus tout les deux élus, c'est le montage financier de ce projet qui va coûter plus de 8 millions d'euros. Ils se demandent pourquoi la ville verse en une seule fois 3,6 millions d'euros d'aide à la construction et ils s'interrogent sur une subvention d'équilibre de 265 000 € versée, elle, pendant la durée du contrat, c'est-à-dire trente ans. « La ville verse une aide à la construction, garantit les emprunts et verse 11 653 000 € de subvention d'équilibre, et on ne comprend toujours pas pourquoi, souligne encore Laurent Martin-Saint-Léon. Au final, ce sont encore les contribuables qui vont payer. » Le directeur général des services de la ville, Bernard Loth, assure que toutes les modalités, à commencer par les délais d'envoi des dossiers aux élus, ont été respectées. « Le remplacement du maire à la présidence de la commission d'appel d'offres ne nécessite pas de prendre un arrêté municipal, ce n'est pas une obligation, précise Bernard Loth, qui poursuit : sur le plan financier, la ville a décidé de verser une aide à la construction pour éviter d'avoir des emprunts trop importants. »

ASNIERES, HIER APRES-MIDI. Deux élus attaquent de nouveau le projet du parking de l'hôtel de ville en justice alors que la mairie vient tout juste d'installer son panneau de permis de construire. (LP/M.F.)

Marisa Faion

Affaire de la subvention de 200. 000 € : l'enquête financière se poursuit

Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières entendu pour la 3ème fois devant le Juge d'instruction

Nous apprenons que le 31 mai 2006, Manuel Aeschlimann a été entendu comme témoin assisté, accompagné de son avocat, Me Olivier Schnerb, par le Juge d'Instruction Richard Pallain.

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DEPECHE CONFIRMEE PAR LE JOURNAL " LE PARISIEN "

L'ACTU EN FLASH 24 Heures

ASNIERES

LE 31 MAI, le député-maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, a été entendu comme témoin assisté, accompagné de son avocat, M e Olivier Schnerb, par le juge d'instruction Richard Pallain. Le député-maire aurait été longuement interrogé dans le cadre d'une enquête sur la subvention d'un festival.

Une affaire qui remonte à 2001 et dans laquelle l'ancien député-maire Frantz Taittinger avait été mis en examen pour « favoritisme » par le même juge.

A l'époque, les enquêteurs s'interrogeaient sur une surfacturation de la manifestation ; la subvention qui avait été octroyée paraissait surdimensionnée pour un simple défilé organisé dans les rues de la ville. Cela fait trois fois que l'élu est convoqué.

LE PARISIEN mardi 6 juin 2006

NOUVELLES FRASQUES JUDICIAIRES DU DIRECTEUR DE CABINET DE MANUEL AESCHLIMANN

Asnières Le directeur de cabinet du maire au tribunal

COSTUME sombre et cravate flamboyante, Francis Pourbagher, directeur de cabinet du maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, s'avance à la barre du tribunal correctionnel de Nanterre. Hier, jugé par la 15 e chambre pour « dénonciation calomnieuse », l'homme se montre grave et tendu. Il « confirme in extenso » sa plainte déposée en octobre 2003 à l'encontre d'un automobiliste qui aurait tenté de l'écraser, selon ses dires.

Mais hier, c'est la plainte de l'automobiliste, Shebli Anvar, membre d'une association opposée à la municipalité, qui a mené le directeur de cabinet devant le tribunal. Au soir du 28 octobre 2003, en pleine campagne électorale pour les cantonales, Francis Pourbagher « circule en ville pour vérifier les panneaux d'affichage ». Place de la République, il s'arrête devant l'affiche dégradée de la candidate qu'il soutient et « entend le moteur d'une voiture. » « Je me suis retourné et j'ai commencé à traverser. C'est là que le véhicule m'a foncé dessus. J'ai eu très peur. »

« Cela nous laisse pantois »

Malgré cette frayeur qu'il décrit, il relève le numéro d'immatriculation de la voiture. Première contradiction soulevée par le tribunal : « Vous interprétez comme une menace le moteur vrombissant, alors vous traversez... », s'étonnent les magistrats. « J'ai appelé le député-maire, Manuel Aeschlimann, pour lui dire ce qui venait de m'arriver », reprend le prévenu. « Il m'a conseillé d'appeler le commissaire de police », explique le directeur de cabinet. « Vous êtes victime d'une tentative d'homicide et vous appelez d'abord le maire ? », s'étonnent encore les juges.
Réponse : « Oui, c'est mon patron. J'avais peut-être besoin qu'il me rassure. » « Une sorte de thérapie », ironise le tribunal. « Vous avez donné le numéro d'immatriculation au commissaire ? » interroge le président, Alain Prache. Le prévenu « ne s'en souvient plus ». Et pour cause. C'est seulement le lendemain de cette « agression » qu'il a communiqué le numéro, en déposant plainte. « Vous disposez d'un élément capital pour que la police arrête votre agresseur et vous ne le donnez pas au commissaire ? » Hésitation du prévenu devant des magistrats insistants. « Cela nous laisse pantois », commente le président. Face aux « invraisemblances » du récit de Francis Pourbagher et s'inquiétant d'une éventuelle « instrumentalisation de la justice et des services d'enquête », le procureur Bruno Bougie a requis un supplément d'information. Notamment pour que soient vérifiés les appels téléphoniques du prévenu et pour que soit entendu le commissaire de police. Mais, estimant disposer d'éléments suffisants, le tribunal n'a pas donné suite à cette requête, mettant son jugement en délibéré pour le 22 juin. Olivier Schnerb, avocat du prévenu, a plaidé la relaxe. L'avocat de la partie civile, Jean-René Farthouat, réclame 10 000 € de dommages et intérêts.

ASNIERES. Le tribunal, qui doit rendre son jugement suite à la plainte pour « dénonciation calomnieuse » contre Francis Pourbagher (à gauche), ici en compagnie du maire, Manuel Aeschlimann , a mis l'affaire en délibéré . (DR.)

Valérie Mahaut
Le Parisien , samedi 27 mai 2006

voir autres articles >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

INSECURITE TOUJOURS EN HAUSSE
DELINQUANCE SUR LES PERSONNES ET LES BIENS A ASNIERES ...



Asnières/Tribunal
L'agresseur de vieilles dames reste en prison

IL AVAIT SEMÉ la terreur chez les vieilles dames d'Asnières. Abdelhak S., celui qui est accusé d'avoir agressé cinq vieilles dames à Asnières en avril et mai 2004, a été condamné vendredi dernier à trois ans d'emprisonnement. Son procès s'était tenu le 5 mai dernier devant la 12 e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre qui avait mis le jugement en délibéré.
Incarcéré depuis le printemps 2004, le « saucissonneur » restera donc encore un moment en prison. Lors de son procès, le procureur avait requis six ans de prison, mais retenant son « altération du discernement au moment des faits » relevée par un expert psychiatre, le tribunal a prononcé une peine nettement inférieure aux réquisitions. C'est le 3 avril 2004 qu'Abdelhak, 33 ans à l'époque, agresse sa première victime. Il suit sa proie jusqu'à son immeuble, puis dans le hall de l'immeuble. Et s'engouffre dans l'appartement de celle-ci au moment où l'octogénaire ouvre la porte. Pour quelques euros et la carte bleue, il bâillonne et ligote sa victime sur le lit avant de s'enfuir. L'agresseur recommence deux fois le 5 avril puis enchaîne encore avec deux agressions à la fin du mois et début mai. L'une des victimes ne devra sa survie qu'à sa fille, venue la visiter à l'improviste. La pauvre femme est restée seule pas moins de quinze heures, ligotée et bâillonnée, un foulard enfoncé dans la bouche. Elle suffoquait quand sa fille l'a délivrée. Pour Jocelyne Querre, l'avocate de l'agresseur, le doute devait profiter à son client. Des traces ADN d'un autre homme que lui avaient été retrouvées sur un gant dans l'appartement d'une victime. Mais le « saucissonneur » avait été formellement reconnu par les vieilles dames.


V.M.
Le Parisien , lundi 22 mai 2006


ASNIERES
Une quarantaine de véhicules vandalisés

MAUVAISE surprise pour les habitants d'un quartier proche des Grésillons, à Asnières. Plusieurs vandales se sont introduits dans le parking en sous-sol situé à l'angle des rues de la Parfumerie et Pierre-Boudou, à deux pas de la place Voltaire, et ont endommagé une quarantaine de véhicules durant la nuit de dimanche à lundi. C'est un travailleur matinal qui a surpris les malfaiteurs en train de fouiller sa voiture alors qu'il descendait vers 5 heures dans le parking.
Surpris, les voleurs ont rapidement pris la fuite. Alertés, les policiers du commissariat d'Asnières se sont rendus sur place pour constater les dégâts. Les malfaiteurs brisaient les vitres pour s'introduire dans les véhicules et cherchaient visiblement à faire main basse sur des objets de valeur. Une quinzaine de plaintes ont déjà été déposées par les victimes. Début avril déjà, les habitants des Grésillons avaient été la cible des vandales. Deux individus avaient été interpellés par les policiers.

Le Parisien , mardi 16 mai 2006

Un livre qui se veut une bio d'un présidentiable... mais qui consacre près de 50 pages sur 300 au marigot asniérois !

( Notre critique : Les initiés n'apprendront pas grand chose. Pourtant l'auteur décrit relativement bien l'atmosphère judiciaire qui sévit actuellement sur Asnières mais ne s'attarde pas suffisamment, selon nous, aux causes et surtout perpétue l' image très, très surfaite du Maire en tant que " conseiller" à l'U.M.P.
Détail un peu irritant aussi , les sources sont rarement mentionnées et de nombreuses erreurs sont commises. A lire néanmoins )

Portrait
Frédéric Charpier sur les traces de Sarkozy

JOURNALISTE d'investigation, Frédéric Charpier, 51 ans, n'est pas un philanthrope ; il sait faire des concessions mais il déteste le mensonge et l'information superfétatoire. Dans son nouveau livre « Nicolas Sarkozy : enquête sur un homme de pouvoir », qui vient de paraître en librairie, comme dans tous les ouvrages qu'il a écrits, l'écrivain aime partir à la rencontre de ceux qui font l'histoire, l'embellissent parfois et la défont souvent. Pas toujours facile.
« Pour ce livre, 90 % des entrées m'ont été refusées, il y a eu un manque total de fair-play, se souvient l'écrivain en parlant des proches de Nicolas Sarkozy qui n'ont pas voulu le rencontrer. Moi, j'ai pris l'habitude de ne pas fréquenter les politiques, surtout ceux sur qui j'écris. J'ai bien senti que la tendance naturelle c'était d'éviter de déplaire à Nicolas Sarkozy. »

Huit mois de recherches
Cela n'empêche aucunement ce journaliste au long cours de croiser les informations, d'accumuler les faits et de tirer des conclusions. On l'a bien compris, ce livre n'est pas un dithyrambe consacré à l'actuel ministre de l'Intérieur, plutôt un portrait sans concession. « Je n'avais aucun a priori sur l'homme, avoue pourtant Frédéric Charpier. Je partais du principe qu'il existait un bruit médiatique stupéfiant depuis son arrivée en 2002. Mais on avait du mal à établir un bilan réel de ce qu'il avait fait et à comprendre ce qu'il voulait faire. » Pour cette dernière enquête, qui n'est pas « encore un livre sur Sarkozy » et qui se résume en 312 pages, il a fallu huit mois de recherches et de rencontres... souvent sur les terres alto-séquanaises, le berceau de Nicolas Sarkozy. « Où il y avait des proches, des inspirateurs, lâche l'écrivain, citant tour à tour Patrick Devedjian, mais aussi le clan des Corses, feu Achille Peretti, l'ancien maire de Neuilly (1947-1983) et Charles Ceccaldi-Raynaud, député-maire de Puteaux, avec en toile de fond, l'incontournable Charles Pasqua. Il réserve une place de choix au député-maire d'Asnières, Manuel Aeschlimann... qu'il surnomme « le poisson pilote » : « Neuilly est une ville morte, Asnières est vivante et le plus drôle, c'est que l'opposition est de droite, relate Frédéric Charpier. Manuel Aeschlimann n'a pas une notoriété importante même si on le voit apparaître sur la scène nationale de temps en temps. Il a deux images : il est épisodiquement auréolé de ses diplômes et de ses analyses à l'UMP ; c'est aussi un potentat local dans une ville incroyable où se multiplient les lettres anonymes et les procédures judiciaires. »

« Nicolas Sarkozy : enquête sur un homme de pouvoir », écrit par l'écrivain-journaliste Frédéric Charpier, aux Editions Presses de la Cité ; 312 pages au prix de 19 €, dans toutes les librairies.

Marisa Faion
Le Parisien , vendredi 02 juin 2006

Quand la municipalité - sous couvert de rénovation urbaine - use abusivement de son droit de préemption, spécule au détriment des propriétaires de pavillons et densifie le tissu urbain...



URBANISME: Préemption : la ville veut acheter 100 000 € moins cher

Asnières

ACHETER ou vendre un bien immobilier n'est pas un acte anodin. Valérie Osmont, consultante en ingénierie sociale, en sait quelque chose. Cette jeune et dynamique quadra, qui travaille et habite un petit pavillon situé rue Louise, à Asnières, vient d'en vivre la triste expérience.

Agissant au nom et comme gérante majoritaire de la société Kuku Stop, société civile au capital de 6 000 €, elle décide de se défaire de ce bien immobilier acheté au printemps 1999 pour faire l'acquisition, à titre personnel cette fois, d'une habitation plus spacieuse. Les acquéreurs potentiels se succèdent pour visiter sa maison d'une surface de 125 m 2 avec vue directe sur la station de métro Gabriel-Péri. Un compromis de vente sera même finalement signé fin janvier pour la somme de 330 000 €. Entre-temps, Valérie Osmont se prépare de son côté à l'achat d'une nouvelle maison...

« La commune envisage le réaménagement du front bâti »

C'est là que les ennuis commencent : « Je n'ai pas pu le signer à cause du droit de préemption exercé par la ville, souligne l'intéressée. Au moment de vendre, nous avons eu la mauvaise surprise de constater que la ville faisait jouer son droit de préemption pour un prix très en deçà de la valeur du marché. Elle proposait d'acheter mon bien 99 000 € moins cher .» Et d'ajouter, scandalisée : « Je me doutais que cette préemption aurait lieu puisque, il y a trois ans, la ville avait fait une proposition si basse que j'avais renoncé à vendre à l'époque. Aujourd'hui, au regard des prix de l'immobilier, la proposition d'achat de la ville est scandaleuse. » D'ici à la fin du mois, les vendeurs du pavillon que compte acquérir Valérie Osmont risquent de lui demander les 10 % d'indemnisation que prévoit la réglementation en cas de dénonciation du compromis.

Cette situation n'est pas propre à Asnières. Et s'il existe des droits pour se défendre (voir l'encadré) , la parade contre de tels procédés reste un vrai casse-tête. A Asnières, selon le responsable du service d'urbanisme de la ville, le quartier Voltaire se trouve dans une zone de droit de préemption renforcé : « La ville envisage le réaménagement du front bâti, on démolit certains pavillons insalubres », souligne le directeur de l'urbanisme.

ASNIERES. Selon l'estimation de son bien par l'administration, Valérie Osmont devrait céder son pavillon à la ville qui veut le préempter pour 99 000 euros de moins que le prix du marché. (LPM.F.)

Marisa Faion
Le Parisien , lundi 08 mai 2006

INSTANTANES....LES ASNIEROIS NOUS SIGNALENT... ( ad libitum )

Insécurité à Asnières : aucun quartier n'est désormais épargné !
( Sélection de quelques faits délictueux récents généralement non repris dans la presse locale et qui ne risquent pas d'être évoqués dans le journal municipal " Asnières infos " ... )

- Règlements de compte en continu dans le quartier nord d'Asnières
Des riverains nous signalent, désabusés par tant de laxisme, qu'une voiture a encore brûlée le dimanche 23 avril 2006 vers 22h 45 rue Henri Poincaré. Ce type de délit par sa banalité statistique ne suscite même plus de réaction efficace et d'investigation de la part des forces de l'ordre contre le ou les auteurs ... Surtout ne pas combattre les trafics liés à la narco-économie, tel semble être le mot d'ordre !
- Cambriolages rue des Parisiens et visite de parking en sous-sol
.... Quelques jours auparavant des riverains nous avaient indiqué la recrudescence de ce type de délits dans le quartier.
- Place Voltaire : règlement de compte intra-communautaire...Même le Parisien cette fois-ci, y consacre une brève le 26 avril. Lundi 24 avril à l'angle de la place Voltaire et de la rue Gabriel Péri, un homme de 26 ans a agressé un homme de 38 ans en lui portant plusieurs coups de couteau, au motif qu'il ne supportait plus ses insultes ! La victime a été transporté dans un état jugé très grave, l'enquête confiée au SDPJ 92. Pour information, des personnes présentes sur les lieux et effarées qu'une telle scène de massacre puisse se passer dans notre ville en plein jour, nous ont confié que les forces de l'ordre avaient mis plus de 20 minutes pour intervenir !!!
- Visite de parking en sous-sol et vandalisme sur véhicules : Dans le Quartier résidentiel des philosophes, rue Montesquieu ....une grosse berline endommagée et une moto de grosse cylindrée allemande volée aurait été retrouvée selon les riverains.
- Jets de bouteilles sur la chaussée : Rue Diderot, mercredi 3 mai vers 21 h 00 des "jeunes" de type africain et agés entre 12 à 15 ans trainent dans les rues et "s'amusent" à briser des bouteilles en verre sans être aucunement inquiétés..... Que feront-ils à 18 ans si, au premier chef, ni les parents - et par suppléance - ni les pouvoirs publics n'interviennent ?

Vox clamantis in deserto ?
Quand on vous dit que la Police Municipale n'a plus les moyens de ses missions et est démotivée, que le quartier nord est un territoire abandonné ou la loi ne s'applique plus, et que, pour faire court,au delà des discours pseudo-sécuritaires de l'UMP locale en période électorale et de Manuel AESCHLIMANN en particulier, il n' y a pas de réelle volonté politique de répression de la délinquance et des trafics de drogue....

 

Dérives municipales :
"Big Brother is watching you, don't worry, be happy !"

APRES LES SUPPRESSIONS ABUSIVES DU DROIT D'EXPRESSION D' ELUS MUNICIPAUX,
( cf. tribunes libres mensuelles censurées inopinément dans le journal municipal "Asnières infos" )
LE SCANDALE DANS L' UTILISATION DES CAMERA DE VIDEOSURVEILLANCE....
ENCORE UN NOUVEL INCIDENT QUI ILLUSTRE LES PRATIQUES LIBERTICIDES, LA CONFUSION ET L' ABUS DE POUVOIR
QUI SEVISSENT - A DES FINS PARTISANES - CHEZ CERTAINS ELEMENTS EN MAIRIE

Liberté d'expression: Pratiquer l’affichage libre ou associatif à Asnières peut vous mener directement au poste de Police !!!

- Asnières, 4 Mai 2006, avenue d'Argenteuil face à la mairie annexe, encore une suréaliste scène digne de Cloche-merle : deux policiers sur ordre de la Mairie ( cf. pour preuve, photos de l'inénarrable et zélé Francis POURBAGHER, directeur de cabinet du maire Manuel AESCHLIMANN, présent sur les lieux ainsi que des fonctionnaires territoriaux clairement indentifiés et volontairement floutés ) se seraient rendus coupables de voie de fait ( délit d'entrave à l’affichage libre, atteinte aux libertés publiques ) et d'abus de pouvoir ( en l'absence de trouble manifeste à l'ordre public ) contre un administré qui affichait sur des panneaux associatifs, supposés "libres".
- En dépit de la loi ( cf. Code de l'Environnement in Article L. 581-13 et Décret d'application n° 82-220 du 25 février 1982 portant application de la loi n° 79-1150 du 29 décembre 1979 relative à la publicité, aux enseignes et préenseignes en ce qui concerne la surface minimale et les emplacements de l'affichage d'opinion et des associations sans but lucratif ), ce énième incident est à resituer dans le contexte tendu et très liberticide instauré par l'actuelle municipalité en vue de confisquer totalitairement tout espace d'opinion - et pourtant légalement dévolu à cet effet ! - par un abus de propagande municipale à la fois couteux pour les finances locales et sans intérêt public véritable, si ce n'est chanter la plupart du temps les mérites supposés de la politique du maire actuel.


( Photos reproduites avec l'aimable autorisation du site www.asnierois.org )

QUESTION CANDIDE :Tout administré, contribuable ou électeur peut en effet se poser légitimement la question si tout ce petit monde
(
directeur de cabinet du maire et spécifiquement les agents de mairie affectés à cette petite besogne ) remplit -t - il réellement - durant les heures de travail - une mission d'intérêt public au service de la ville d'Asnières et des Asniérois ?



Liberté d'expression: Bataille autour des panneaux d'affichage

LE PARISIEN du 5 mai 2005

LES PANNEAUX d'affichage libre sont âprement disputés par les colleurs d'affiches de tout poil à Asnières.

Hier un incident s'est produit rue d'Argenteuil, à deux pas de la mairie annexe, entre les colleurs de la mairie et un citoyen d'Asnières, Philippe Petit, qui n'est autre que le conjoint de l'ex-conseillère régionale et ex-maire adjointe de la commune, l'UMP Josiane Fischer. Debout depuis 6 heures du matin pour coller son texte « Halte à la propagande du maire ! », Philippe Petit s'est retrouvé nez à nez avec les colleurs d'affiches de la mairie qui recouvraient son texte d'une large feuille de publicité sur la rencontre de grands maîtres d'échecs organisée par la ville... « Ils recollent devant moi, c'est un jeu qui dure depuis des années, lâche Philippe Petit qui ajoute : C'est une confiscation des panneaux d'affichage libre. »

Appelé sur place, le responsable des services généraux n'a pas su tempérer les ardeurs des uns et des autres. Philippe Petit a fini par se retrouver menotté, au commissariat. Cette histoire anodine finira-t-elle une fois de plus devant les tribunaux ?

Le Parisien, 5 mai 2006


NOUVELLE CENSURE

DANS « ASNIERES INFOS »


Mœurs asniéroises : Les Asniérois ne retrouveront pas encore ma tribune mensuelle en tant qu’élu dans le journal municipal dans son numéro de mai 2006 et ceci depuis deux mois consécutifs. En effet, elle vient d’être encore tout simplement censurée, en dehors de toute légalité, en accord avec Monsieur le Maire, au prétexte très, très abusif d’un supposé retard dans sa transmission. Nous nous réservons le droit de déférer ce nouvel abus de pouvoir caractérisé devant les juridictions compétentes.


******************

( TRIBUNE CENSUREE DE MAI )


ET NOUVELLE CONDAMNATION JUDICIAIRE…


Par arrêt rendu le 27 avril 2006, la 8ème Chambre de la Cour d’appel de Versailles a condamnée à nouveau le journal « Asnières infos » en la personne de son directeur de la publication pour diffamation publique à l’encontre d’Hubert MASSOL

( Nous reviendrons sur cette affaire prochainement )

Connectez-vous sur www.massol.org

TRIBULATION JUDICIAIRE SUR FOND DE NOTE RG

Asnières Le rapport des RG sur la Fondation Ostad-Elahi vient d'être déclassifié

Une dépêche AFP parue dans Le Parisien du 22 avril 2006

LA COMMISSION consultative du secret de la défense nationale (CCSDN) a émis un avis favorable à la déclassification d'un rapport des renseignements généraux (RG) portant sur la Fondation Ostad-Elahi, dans une affaire de diffamation l'opposant à la mairie d'Asnières-sur-Seine. L'avis de la CCSDN, publié au « Journal officiel » hier, fait suite à un arrêt de la cour d'appel de Versailles du 25 janvier 2006 demandant la déclassification du rapport RG du 7 septembre 2005 sur la Fondation Elahi.

Diffamation

Cet arrêt est « intervenu dans le cadre d'une procédure d'appel entre la Fondation et Francis Delage, jugé coupable de diffamation envers particulier en raison de sa race, de sa religion ou de son origine », selon l'avis publié au « JO ». En juin 2005, Francis Delage, adjoint au maire UMP d'Asnières Manuel Aeschlimann, avait été condamné par le tribunal de Nanterre pour diffamation à 2 000 € d'amende, pour avoir diffusé dans la ville d'Asnières à 40 000 exemplaires un tract intitulé « Communiqué de la mairie d'Asnières » et insinuant que la fondation serait une secte sans en employer le terme. Le 6 septembre 2005, M. Delage avait à nouveau été condamné pour diffamation envers la fondation à 1 500 € d'amende, le tribunal jugeant qu'« à partir de différends portant sur l'urbanisme, voire des querelles de personnes, M. Delage et ceux non poursuivis qui l'ont assisté ont diffusé un texte » visant à « jeter l'opprobre public sur une fondation par ailleurs reconnue d'utilité publique ».

(AFP.)
Le Parisien , samedi 22 avril 2006


Les impôts locaux augmentent dans 17 villes sur 36
En dépit de la proximité des élections municipales, certains maires n'arrivent plus à contenir les taux d'imposition
( cf. Le Parisien édition du 11/04/066 )

ASNIERES en 8ème position dans le département pour les hausses d'impôts ...


TAXE D' HABITATION ........12,27 ( taux en 2006 ) ............. + 2,28 ( variation 2005/2006 )


TAXE FONCIER BATI ........ 10,1 ( taux en 2006 ) ............. + 2,28 ( variation
2005/2006 )


lire l'article du parisien 2>>>>>>>

lire l'article du parisien 2>>>>>>>

Lu dans le journal "Les Echos" du 3 avril 2006

Manuel, petit calculateur politicien ou le refus de l'engagement !

[ Commentaire du député-maire d'Asnières à propos de l'attitude de Nicolas Sarkozy dans le mouvement contre le CPE ]

"S'afficher si rapidement dans la foulée du chef de l'Etat peut mettre en danger Nicolas Sarkozy, qui pouvait se contenter de rester loin du front" s'inquiète le député Manuel Aeschlimann, chargé du suivi de l'opinion publique à l'UMP."

 

IMPOTS EN HAUSSE ET ACCROISSEMENT DE LA DETTE EN 2006

Asnières encore épinglée pour mauvais résultats financiers et tendance à la détérioration des comptes

" LE PALMARES DES MEILLEURS MAIRES DE FRANCE : Votre maire est-il un bon gestionnaire? Votre commune est-elle surendettée, devra - t - elle augmenter ses impôts ? "

ASNIERES : AESCHLIMANN ENTENDU COMME TEMOIN

Le maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, a été entendu vendredi, par un juge d'instruction de Nanterre comme témoin assisté dans une affaire de favoritisme dans l'attribution d'un marché public par la mairie et a été confronté à son prédécesseur RPR, Frantz Taittinger, seul mis en examen. La confrontation aurait duré près de sept heures, selon ces mêmes sources. Le parquet de Nanterre avait ouvert en mai 2003 une information judiciaire pour "octroi d'avantage injustifié, recel et détournement de fonds publics". L'affaire, qui remonte à 1998, concerne un projet monté par Manuel Aeschlimann, alors premier adjoint au maire Taittinger, de festival folklorique, qui avait coûté 200 000 €. Le préfet rejette le contrat pour non-conformité au Code des marchés publilcs. Mais la ville persiste à confier l'organisation à CDA Production ainsi qu'à une association paramunicipale, Asnières Communication, ces structures étant gérées par Dominique Carbonnier ami de Manuel Aeschlimann.

Le Parisien, le 05 avril 2006



Mairie d'Asnières : une boulémie judiciaire souvent injustifiée

Plus de 600.000 € pour des règlements de frais et d’honoraires d’avocats, des règlements de frais et d’honoraires d’huissiers de justice, des règlements de frais de contentieux, des règlements de frais de procédures. Certains actes pris par le Maire par délégation ne semblent manifestement pas d'intérêt communal et à ce titre sont susceptibles d'être déférés en justice... En attendant le contribuable asniérois trinque !

***********


Asnières Blogs : constats d'huissier en série

LES CONSTATS d'huissiers sur les sites Internet et autres blogs de la ville se multiplient à Asnières. Une procédure obligatoire selon le maire, Manuel Aeschlimann... Ce qui n'est pas de l'avis de tout le monde.

Lors du dernier conseil municipal, le MNR Hubert Massol, dont le site n'a pas été épargné, s'est d'ailleurs inquiété de ces pratiques : « Maintenant, quand on fait un blog, on est un délinquant, s'inquiète le mégrétiste. On fait un constat d'huissier par avance sur la teneur des sites dans le but de faire un procès ensuite . Les Asniérois n'ont pas à faire les frais de vos suspicions ; d'ailleurs, c'est une mesure qui est susceptible d'être annulée par le tribunal administratif. »

Le socialiste Luc Bérard de Malavas a renchéri : « Quatorze constats d'huissier pour des sites Internet, c'est carrément des constats d'intimidation... Les élus et les associations qui émettent des critiques sur votre action municipale sont systématiquement attaqués. » Au budget prévisionnel, 452 000 € auraient été inscrits pour les frais d'avocats et autres procédures selon Bernard Loth, directeur général des services. « Seules 24 décisions sur 55 sont de nature juridique », souligne encore Hubert Massol. Le maire contre-attaque en s'adressant à l'opposition : « On énumérera vos recours, il y en a beaucoup plus que ceux qu'on a fait contre vous, lâche Manuel Aeschlimann. Vous attaquez tous les conseils municipaux ; toutes les délibérations sont attaquées en justice. »

Les échanges entre élus se terminent rarement sans procès

A Asnières, les échanges entre les élus de l'opposition et ceux de la majorité lors des séances publiques des conseils municipaux se terminent rarement sans procès il est vrai . Les derniers à en avoir fait les frais sont Jean-Jacques Semoun, ex- adjoint au maire passé aujourd'hui dans l'opposition, et le conseiller municipal centriste Bruno Casari, qui viennent d'être assignés en justice par le directeur général des services, Bernard Loth, pour « outrage envers un fonctionnaire public ».

« Il y a une judiciarisation de la politique à Asnières, s'inquiète à son tour le conseiller municipal PS Sébastien Pétrasanta. Quand ce ne sont pas les constats d'huissiers, ce sont les droits de réponse et les procès. »

Quatorze constats d'huissier pour des sites Internet et autres blogs concernant la ville ont été établis à la demande de la mairie, selon un élu socialiste. (LP/M.F.)

Marisa Faion
Le Parisien , jeudi 06 avril 2006

voir l'article en pdf

Affaires et justice

LA SUBVENTION DE 200.000 € POUR UNE MANIFESTATION DE JUIN 1998 RATTRAPE M. AESCHLIMANN...
( cf. journaux "20 MINUTES" et "Le Parisien" éditions du 5 avril 2006 )

Asnières/Future mosquée
Une subvention qui crée la polémique

POLEMIQUE sur fond de débat sur la laïcité au dernier conseil municipal d'Asnières. L'opposition, droite et gauche confondues, s'est interrogée sur l'opportunité d'une subvention de 24 000 € en direction de l'Association culturelle d'entente d'Asnières (Acea) dont l'adresse correspond à celle de la mosquée Al-Hidaya Al-Islamiya. Les élus soupçonnent la ville d'utiliser ainsi un moyen détourné pour participer au financement de la construction de la future mosquée de 1 800 m 2 .
« Vous déclarez qu'il s'agit d'une association d'utilité publique alors qu'elle a été seulement créée l'an dernier et qu'il faut trois ans pour obtenir cette reconnaissance, s'est interrogé le conseiller municipal MNR Hubert Massol, en s'adressant au maire, Manuel Aeschlimann. Il n'y a pas non plus d'indication sur le nombre d'adhérents et l'objet social reste flou ; pour du soutien scolaire, je trouve que 24 000 €, c'est un peu disproportionné. » Un argument repris par les socialistes : « C'est quatre fois plus que l'attribution faite au club des Chardons qui accueille un nombre supérieur d'enfants », a souligné Luc Berard de Malavas. L'ex-adjoint au commerce, Laurent Martin Saint-Léon, connu pour ses positions anticommunautaristes, a enfoncé le clou : « Vous contournez la loi de 1905 qui n'autorise pas le financement des lieux de culte, par le biais d'une association culturelle, a-t-il affirmé. Vous avez tenté de le faire en catimini en joignant cette délibération aux affaires générales. Or la construction de la mosquée est un problème qu'il faut aborder avec humanisme et intelligence car cette construction va modifier la vie de tout un quartier. »

« C'est une association culturelle »

Attaqué, le député-maire UMP a riposté : « Faites attention de ne pas en faire une chose politique, ce pourrait être discriminatoire. C'est une association culturelle et elle n'a pas pour vocation de financer la mosquée. Nous avons une approche objective. Je ne connais pas un maire qui refuserait une subvention à une association culturelle. » Et l'adjointe Marie-Dominique Aeschlimann de préciser : « Sur les 1 800 m 2 , 670 m 2 seraient affectés à l'association culturelle ; 118 enfants seraient reçus dans le cadre de l'activité de soutien scolaire. Par ailleurs, des cours d'alphabétisation pour les femmes étrangères seraient assurés en partenariat avec la Maison des femmes. D'autres financements seront mobilisés, comme le Fonds social européen... » Outre le soutien scolaire, on retrouve dans le rapport moral de l'association remis par la ville des actions humanitaires comme l'organisation de repas chauds l'hiver, l'accompagnement administratif des seniors et l'accueil des SDF...


ASNIERES, RUE DE L'ABBE-LEMIRE. Alors que les travaux de la mosquée ont à peine commencé, les élus de l'opposition s'interrogent sur l'opportunité d'une subvention culturelle. (LP/MARISA FAION.)

Marisa Faion

Le Parisien , lundi 03 avril 2006
voir l'article en pdf


Bilan Les émeutes ont fait plus d'un million de dégâts

UN MILLION cent quarante-sept mille cinquante et un euros et huit centimes. Telle est la somme exacte représentant la facture des émeutes de l'automne 2005 dans le département des Hauts-de-Seine, après les émeutes de l'automne. Un montant « total du coût de remise en état » évalué par la région à partir des montants fournis par les collectivités locales et les organismes du département.
Parmi les villes les plus touchées : Suresnes, dont la halle entièrement détruite par le feu, coûte 869 000 € ; Issy-les-Moulineaux où les travaux de remise en état de l'école maternelle des Epinettes, dont une classe a été partiellement incendiée, s'élèvent à plus de 30 000 € ; Asnières, dont l'installation des caméras de surveillance a été partiellement abîmée, a également pour 30 000 € de réparation. A Antony et Gennevilliers, une série de « dégâts mineurs » porte la facture respectivement à près de 10 000 et près de 20 000 €. A la fin des émeutes de l'automne 2005, la région Ile-de-France a voté la constitution de deux fonds de solidarité.

30 000 € à Asnières et Issy

Le premier de 20 millions d'euros, est destiné à aider les communes cibles d'incendies et de vandalisme. Le second, de 2 millions, s'adresse aux particuliers. Cinq mois après les nuits de violence, les villes ont à peu près chiffré leurs dégâts et sont, pour beaucoup, encore en négociation avec leurs assurances. L'Etat, sollicité à plusieurs reprises, a refusé d'indemniser les collectivités locales. La mise en oeuvre du fonds régional est donc très attendue, elle permettra de lancer les travaux de remise en état des équipements. Jeudi, les élus de la commission permanente du conseil régional doivent approuver les modalités de répartition et de versement. En voici les points essentiels.
Des avances de 50 % à 80 %. Sur la base de l'estimation détaillée du coût de la remise en état des équipements publics dégradés entre le 26 octobre et le 21 novembre 2005, la région attribuera une avance pouvant aller jusqu'à 50 % pour les villes les plus riches, et à 80 % pour les plus pauvres. C'est le potentiel fiscal moyen par habitant en 2004 (1 174,58 €) qui sépare les deux catégories de communes. Exemple : Suresnes, Gennevilliers et Issy-les-Moulineaux sont au-dessus et auront droit à 50 %; En revanche, Antony et Asnières sont au-dessous et peuvent prétendre à 80 %.
Conventions entre villes et région. Pour bénéficier de l'aide, les villes devront fournir un échéancier prévisionnel des travaux et signer une convention avec la région. Les demandes d'avances peuvent être déposées jusqu'au 31 août. Dans un délai de sept ans, l'avance versée à la ville sera totalement ou en partie remboursée à la région, en fonction des indemnisations obtenues auprès des assurances.


Blandine Seigle

Le Parisien , lundi 03 avril 2006

Le Parisien 31 mars 2006

L'UMP suspend l'élu trublion candidat aux élections internes

APRÈS LE RETRAIT de sa délégation d'adjoint délégué au maire au commerce et à l'artisanat d'Asnières, Laurent Martin Saint-Léon, qui s'oppose à la politique locale du député-maire UMP, Manuel Aeschlimann, n'en finit pas de payer ses prises de position.

Lire suite de l'article de Marisa Faion >>>

INSTANTANE

29/03/06 - 19H30 ASNIERES Quartier philosophes - SCENE DE RIXE ORDINAIRE SUR LA VOIE PUBLIQUE

On nous signale à l'angle des rues Liouville, Prony et Montesquieu un rassemblement d' une trentaine de "jeunes" "beurs" contre "blacks" agés pour la plupart entre 15 et 25 ans qui s'affrontent au milieu de la chaussée endommageant les véhicules stationnés ; la police ayant été appellée par nos soins.
C e n'est pas la première fois à cet endroit que des échauffourées de ce type ont lieu.
Monsieur le Maire en a été par ailleurs déjà maintes fois alerté par les habitants, ce dernier devant leur mécontentement s'étant même senti obligé de leur répondre.... mais pour dire quoi et faire quoi au juste afin d'endiguer cette montée de l'insécurité palpable sur toute la ville !
LA MAIRIE D‘ ASNIERES VEUT- ELLE FINANCER EN CACHETTE UN CENTRE ISLAMIQUE ?

-A.C.E.A…Connaissez-vous cette association qui se cache derrière ce sigle mystérieux et demande l’attribution d’une subvention de 24.000 €, au prochain Conseil Municipal le 30 mars 2006 à 20 h 00 ? Les élus n’en ont été informés que le 22 mars sans plus de précision sur ce projet et cette subvention publique. Cette association loi de 1901 est déclarée à la préfecture des Hauts-de-Seine comme: «  ASSOCIATION CULTURELLE L’ENTENTE D’ASNIERES (A.C.E.A.) Objet : expositions, débats, conférences, cultures, échanges œcuméniques, sports, loisirs, etc. ; se doter de tous les moyens de communication, d’édition et d’un site internet ; diffuser et promouvoir les cultures et les langues d’origine ; maintenir et renforcer les liens de fraternité et de solidarité ; participer à la lutte contre toute exclusion. Siège social : 23, rue de l’Abbé-Lemire, 92600 Asnières-sur-Seine. Date de la déclaration : 1er février 2005. »
Pourquoi Monsieur le Maire dissimule t-il aux Asniérois qu’à cette adresse se trouve la mosquée d’Asnières Al Hidaya Al Islamyia et propose t-il aux contribuables de financer en réalité un centre coranique ?

Vue en perspective de la future mosquée ( doc. Mosquée d’Asnières )
23 -25 rue de l’abbé Lemire 92600 Asnières

ASNIÈRES- INSECURITE
( brève parue dans Le Parisien , samedi 25 mars 2006 )

( ENCORE UN ! ) Braquage à la boutique de viennoiserie
PEU AVANT 20 heures, juste avant la fermeture, le malfaiteur s'est glissé sous le rideau métallique abaissé pour s'introduire dans ce magasin Point Chaud. L'homme a alors brandi une bombe lacrymogène, menaçant l'employée et exigeant de se faire remettre le contenu de la caisse. Le malfaiteur s'est ainsi emparé d'environ 300 € avant de prendre la fuite.
La police judiciaire est saisie de l'affaire.

Pour mieux comprendre le fiasco des politiques de la ville,
les émeutes ethniques des banlieues,
l'immigration incontrôlée et la myopie de certains hommes politiques

LE DIMANCHE 19 MARS 2006 A 9 H 45

NON AU DEPLACEMENT DE LA STATUE
NON A ASNIERES DEFIGURE !


Le monument aux morts sera-t-il déplacé ?

Petite interrogation du côté des administrés asniérois. Selon un arrêté municipal, qui porte sur la création provisoire d'une interdiction du stationnement du 13 au 17 mars, place A.- Briand, l'entreprise les Pierreux Franciliens aurait été dépêchée par la municipalité « en vue d'effectuer des travaux d'aménagement ». Or, à cet endroit même, se trouve l'ancien monument aux morts de la guerre de 1870, pour lequel deux élus, mais aussi l'Union française des anciens combattants, avaient demandé une protection au titre des monuments historiques ! C'est aussi à cet endroit, en plein coeur de ville, que doit se construire un parking souterrain pour lequel une requête en annulation a été demandée auprès du tribunal administratif. D'où l'émoi de certains habitants qui se demandent si la statue, qui attend toujours son classement, ne sera pas déplacée durant cette période. La question a été posée au maire UMP Manuel Aeschlimann, lors du dernier conseil municipal. Ce dernier n'a pas confirmé que l'entreprise était chargée de ce déplacement.


LE PARISIEN LUNDI 13 MARS 2006

A l’appel des Anciens Combattants de la ville , des riverains, d’élus et de tous les Asniérois soucieux du maintien en l’état du patrimoine local, la population est conviée à venir manifester symboliquement sa contestation du projet actuel de déplacement de la statue du monument aux morts et de la suppression des espaces verts environnants ( place Aristide Briand devant la poste ).
Monsieur le Maire, prétextant la construction d’un parking souterrain fort discutable en ce lieu pour des raisons à la fois techniques et budgétaires - et dont la décision est par ailleurs attaquée en justice par deux élus auprès du tribunal de Versailles - projette ce déplacement en dépit du profond désaccord manifesté tant par les associations d’anciens combattants que des nombreux riverains de la place Aristide Briand.
De plus, cette entreprise de défiguration d’un site afin de pouvoir y installer au même emplacement une disgracieuse et polluante cheminée d’évacuation des gaz d’échappement ( ! ), intervient au moment où le Conservatoire régional des Monuments Historiques étudie l’inscription de la statue à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, œuvre érigé en 1901 par l‘architecte Cousteix et le sculpteur Auguste Maillard, élève de Dalou et de Falguière.


NON AU BETONNAGE, NON A LA POLLUTION
POUR LA SAUVEGARDE DU CENTRE VILLE ET DU PATRIMOINE

RENDEZ-VOUS DEVANT LA STATUE
POUR UN BREF HOMMAGE AUX ENFANTS D’ASNIERES MORTS POUR LA PATRIE

LE DIMANCHE 19 MARS 2006 A 9 H 45

voir le tract distribué

" ASNIERES, UN CAS A PART "
C'est "LE MONDE" qui le dit !

Blogs citoyens : à l'ouest, du nouveau

SUITE >>>>

Insécurité
ASNIERES - Nord / Quartier des Mourinoux –
Un homme blessé par balles

Mardi 7 mars 2006 vers 22h 00 un homme se trouve devant un immeuble du quartier nord de la ville en voiture. Il est à ce moment agressé par deux individus qui lui tirent deux coups de feu et le touche au bras et dans le dos. Il se serait réfugié au poste de la police municipale. Ses jours ne sont plus en danger. La P.J. enquête.

Nous rappellons que l'
entrée est libre.

Séance publique

ouverte à tous !

Rappel

La séance du premier Conseil Municipal de l'année 2006 se déroulera,
dès 20h, jeudi 9 mars
à l'Hôtel de Ville.


Ce Conseil municipal est préparatoire au Conseil prévu le 30 mars 2006 concernant le vote du Budget de la ville pour l'exercice 2006

L'ordre du jour est le suivant :

1°) Nomination du Secrétaire de Séance.

2°) BUDGET PRIMITIF 2006 :

Débat sur les Orientations Budgétaires de la Commune, conformément à l’article L. 2312-1 du Code Général des Collectivités Territoriales.

 

Conseil Municipal du 09/03/06 sur le débat d'Orientation Budgétaire:
Compte-rendu d'un débat en trompe l'oeil !

Formalité rendue obligatoire conformément aux dispositions du Code des Collectivités Territoriales, ce conseil fut bien un débat formel voire carrément faussé.

- En effet, le document remis aux conseillers municipaux ne traitait d'Asnières que sur une quinzaine de pages sur une cinquantaire ( ! ), le reste n'étant qu'un fourre tout artificiel de considérations macro-économiques sur , par exemple, la zône euro ou la relance de l'activité internationale ! Bref, on était loin des finances municipales.

- Comme à son habitude et bien que ne présentant pas un caractère d'urgence, M.Aeschlimann, abusant de son pouvoir de maire, essaya d'emblée de rajouter - en sus de l'ordre du jour communiqué aux élus - un rapport d'activité relatif au conseil économique et social de la ville. Mais devant la bronca provoquée par ce non- respect de la légalité et de la représentation communale ( le rapporteur ne pu lire sa communication ), monsieur le Maire décida de passer enfin à l'examen de l'ordre du jour tel que prévu initialement.

- Le document budgétaire fut alors présenté par vidéo-projecteur par Madame la directrice du service financier qui devait avouer devant la distorsion des histogrammes et chiffres avancés qu'il présentait quelques petites erreurs...sans que monsieur le Maire ou son adjoint chargé des finances de la ville n'apportent le moindre rectificatif !

- Puis vient le tour d'un vague conseiller municipal délégué au budget qui selon certains Asniérois n'habiterait pas la commune... mais chargé de nous dire que les impôts vont encore augmenter pour cette année !

- Chacun présent à cette séance aura pu constater l'autosatisfaction en matière de dépenses de "communication" supposées indolores budgétairement de la part de notre édile et a contrario, son absence de réponse claire ou de réponse tout court concernant, par exemple, la question préoccupante du gonflement de la dette de la ville dite faussement " maitrisée" ( soit 137 000 000 euros pour l'année 2005 ) alors que la commune est au bord de la tutelle préfectorale pour mauvaise gestion financière.

- Rien d'explicite non plus concernant le déplacement programmé de la statue du monument aux morts de la place Aristide Briand ( bien qu'en l'absence à ce jour de toute autorisation par les services des Monuments Historiques saisis du dossier ), rien aussi, corrolairement, sur le caractère illégal de la délibération votée le 15 décembre 2005 concernant la construction d'un parking en centre ville et déférée en justice par deux élus...
( cette réalisation obérant pourtant lourdement le bugdet communal dés l'exercice 2006 ! )

En attendant ( peut -être ? ) un débat sur le fond, rendez-vous à la séance budgétaire le 30 mars 2006 à 20h en Mairie. Entrée libre !

TARTE A LA CREME SUR LE MULTI-COMMUNAUTARISME ET CLIENTELISME POLITICIEN

- M. AESCHLIMANN, Maire d'ASNIERES, sans doute pour conjurer sa désastreuse politique pour la ville ( endettement budgétaire record, urbanisme surdensifié bas de gamme, fuite des commerces de proximité, explosion des violences et de l'insécurité...), nous assène à nouveau la thèse éculée du "multiculturalisme" à la petite semaine présentée comme la panacée supposée aux difficultés de la société française et nous prône les vertus de l'ethno-marketing . Oubliant manifestement que l'histoire nous démontre que les sociétés "multi-confessionnelles" sont multiconflictuelles.

- Il suffit pour s'en rendre compte de voir l'actualité criminelle et délictueuse de ces derniers jours en France avec, par exemple, le meurtre d' Ilan Halimi par une bande dirigée par un franco-ivoirien de confession musulmane, celui d'un père de famille d'origine algérienne, Chaïb Zehaf, les aggressions de deux jeunes juifs à Sarcelles et la mort de Raphaël Clin...( liste non exhaustive ! )

( lire l'analyse parue dans le journal "Le Monde" du 08/03/06)

INFORMATIONS LOCALES OU GROSSIERE PROPAGANDE DU MAIRE FINANCEE AVEC L' ARGENT DES CONTRIBUABLES ASNIEROIS ?


L'Expansion, journal économique mensuel dans sa livraison de mars 2006 n° 706 en pages 72 et 73 et sous le titre "Fièvre éditoriale chez les élus locaux" , article signé par Franck Dedieu,
pose la question et met en cause particulièrement la politique dispendieuse et le nombre des publications municipales à Asnières ( 7 au total ! )

Le mensuel souligne que: "Du maire au président de région, ils veulent tous leur gazette. Une communication parfois coûteuse et jamais dénuée de calcul politique. "

"La devise républicaine sur le fronton, le portrait de Jacques Chirac, le traditionnel service de la voierie et le bureau de l'état civil... En apparence, rien ne distingue la mairie d'Asnières (Hauts-de-Seine) d'une autre. Sauf, peut-être un détail, bien connu de ses habitants: elle abrite aussi...un véritable groupe de presse. Le sémillant Manuel Aeschlimann, premier magistrat UMP de la ville, y concocte sept publications, tirées chacune à plusieurs milliers d'exemplaires. Au traditionnel magazine généraliste Asnières Infos s'ajoutent des éditions très ciblées. Selon une sélection effectuée à partir deslistes électorales, chaque Asniérois reçoit sa revue: les petits, les ados, les seniors et les femmes. Sans oublier les suppléments week-end, distribués le dimanche sur les trois marchés de la ville par des agents communaux, un par marché. De la lecture, beaucoup de lecture..."

"Le coût de mes publications avoisine les 500 000 euros, soit à peine 0,48% du budget total de la ville, plaide de son côté le sarkozyste Manuel Aeschlimann en bon directeur de campagne. Les frais de distribution sont très serrés et les recettes publicitaires, non négligeables."

"Je me déplace sur le terrain, il faut que ça se voie", allègue de son côté Manuel Aeschlimann. Il promeut non seulement son image, mais aussi ses initiatives. Les retraités Asniérois ont ainsi découvert-avec soulagement ?- l'emplacement des nouvelles caméras de vidéosurveillance installées par la police municipale."

Et le magazine de tirer la leçon par cette phrase en forme de maxime :

"Quel que soit le montant final de la facture, le contribuable finance souvent un véritable outil d'autopromotion camouflé derrière un concept de presse".

En dépit du fiasco du premier "collège de la réussite" à Asnières, la classe politicienne départementale persévère dans ses erreurs éducatives et budgétaires et la presse minimise en qualifiant d'"incident" des faits d'agression sexuelle en réunion sur mineur...

>>> lire l'article du quotidien Le Parisien >>>

Asnières Parking du centre : deux élus attaquent le projet en justice


SEPT NIVEAUX en sous-sol, 330 places et un coût estimé à quelque 8,9 M€... Le projet de parking souterrain qui doit s'implanter dans le centre-ville d'Asnières, sous la place Aristide-Briand, près de l'hôtel de ville, risque de voir sa construction retardée une fois de plus (voir encadré) . Deux élus d'opposition ont décidé de saisir le tribunal administratif pour faire annuler une délibération prise lors du conseil municipal, le 15 décembre.


Le texte soumis au vote concernait l'approbation du choix du délégataire chargé de la construction et de l'exploitation du futur parc de stationnement ainsi que l'acceptation du contrat de concession de travaux et de service public. Il demandait au conseil d'autoriser le maire à signer ledit contrat. Les deux élus, Hubert Massol (MNR), conseiller municipal, et Laurent Martin Saint-Léon, ex-maire adjoint UMP aujourd'hui dans l'opposition, estiment que le maire n'a pas communiqué les éléments du dossier dans un délai suffisant pour permettre l'examen des pièces et la réflexion suffisante pour délibérer. Ils pensent aussi que de nombreuses modifications étaient apportées à ce projet de délibération. « Ce conseil s'est avéré très long, les débats se sont concentrés sur l'affaire de l'interview iranienne du directeur de cabinet, souligne Laurent Martin Saint-Léon. La délibération nous a été distribuée pour un vote immédiat alors que c'est un projet dont on parle depuis quatre ans. On nous a imposé un projet de délibération modifiée qui n'a même pas été validé par la commission des affaires générales de la mairie qui se réunit une semaine avant le conseil. » Les deux élus pointent le coût exorbitant de la future construction. « Le projet repose sur un montage financier aberrant et prohibitif pour le contribuable, alors que des sommes folles (plus de 600 000 € ) ont déjà été englouties et qu'aucun coup de pioche n'a été donné, souligne Laurent Martin Saint Léon. En plus du prix du parking (plus de 8 M€), la ville s'engage à verser en une fois dans le mois qui suit le début des travaux une subvention d'équipement égale à 3 590 M€ , elle garantit les emprunts nécessaires pour un montant plafonné de 4 350 M€ et les Asniérois devront verser 265 000 € de subventions d'exploitation pendant trente ans, c'est-à-dire 11 653 M € . On ne voit pas ce qui justifie cette durée de trente ans. »


Marisa Faion

Le Parisien , samedi 04 mars 2006

PARKING
Asnières / Parking du centre
Quatre années de procédures

Juillet 2002, premier contrat de concession (réalisation et gestion) signé avec Omniparc (ex-Gisparc-GTM).

Septembre 2002 : le préfet demande l'annulation de la délibération pour « erreur de procédure au niveau des Codes des marchés publics » et saisit le tribunal administratif qui lui donne raison.

Juin 2003, le conseil municipal d'Asnières adopte le principe de la signature d'un acte transactionnel portant sur 816 000 € pour indemniser la société Omniparc.

Dans cette délibération, il approuve également le lancement d'une nouvelle procédure en vue de la conclusion d'un bail emphytéotique administratif pour la construction d'un parking aux abords de l'hôtel de ville.

Août 2004, afin de conclure le bail emphytéotique (BEA), la ville a dû procéder au déclassement d'une partie de la place Aristide-Briand et doit donc recourir à une enquête publique qui a eu lieu du 2 au 20 août. Elle sera annulée par le maire à la suite d'un recours portant sur la date et la durée de l'enquête, mais aussi sur le choix du commissaire-enquêteur, un fonctionnaire de la ville, ainsi que sur l'absence d'étude d'impact liée travaux.

Novembre 2004, nouvelle enquête publique du 2 au 19 novembre qui donne lieu à un avis défavorable du commissaire-enquêteur car il considère que les conditions de l'enquête ne permettent d'informer le public sur les motifs du déclassement (signature du BEA) et sur les conséquences pour la ville et les contribuables.

Décembre 2005, le maire abandonne la procédure de BEA et fait adopter lors du conseil de décembre 2005 le principe d'une concession de service public, revenant au montage juridique initialement choisi. Le conseil municipal approuve le choix du titulaire du contrat de délégation et le contrat d'attribution. C'est cette délibération qui est aujourd'hui attaquée.

Le Parisien , samedi 04 mars 2006

Le Parisien , jeudi 02 mars 2006

ON NE COMPTE PLUS les naissances de sites Internet et autres blogs sur la commune d'Asnières. Hier encore, la Toile s'est enrichie d'un nouvel arrivant. Il s'agit du tout nouveau site de l'Association des républicains d'Asnières-Colombes sud (ARA).

Ce qui donne un avant-goût de ce que sera la prochaine campagne électorale. Finis les tracts papiers anonymes, diffamatoires ou de propagande, distribués dans les boîtes aux lettres. Les joutes se font désormais via le Net où chacun, selon son style, déploie ses arguments.

Les blogs se multiplient

Après le premier, né en décembre 2003, le site associatif, asniérois.org, plusieurs élus de la ville ont décidé de suivre le mouvement et d'exprimer librement leurs convictions sur le Web. C'est déjà le cas du MNR Hubert Massol, qui communique via son site www.massol.org ou du PS Sébastien Piétrasanta qui lui a préféré le blog, une version plus interactive.

Aujourd'hui le site www.asnieresrepublicain.com de l'association ARA s'inscrit dans cette logique. Il a été fondé par plusieurs citoyens issus d'horizons politiques divers et relayé par le groupe Asnières républicain au sein du conseil municipal, via la conseillère municipale Corinne Previtali et l'ex-maire adjoint à la sécurité aujourd'hui simple conseiller municipal, Laurent Martin Saint-Léon. « L'ARA se veut le lieu de rassemblement de tous ceux qui partagent les mêmes convictions humanistes et républicaines et rejettent la très grave dérive communautaire que connaît Asnières », explique son président, Laurent Martin Saint-Léon.

Marisa Faion

Le Parisien , jeudi 02 mars 2006


Communautarisme obédientiel contre l'unité nationale
Pourquoi une telle différence de traitement médiatique
entre la mort d'un commercant d'origine israélite
et celle d'un gendarme en service aux Antilles ?

lire la déclaration de la veuve du gendarme ! >>>(suite)>>>


DISCRIMINATION DITE "POSITIVE" ET DELINQUANCE SEXUELLE /
FERMETURE DU GADGET PUBLICITAIRE DE NICOLAS SARKOZY A ASNIERES


UNE ENQUETE PUBLIQUE SUR LE PLAN LOCAL D'URBANISME ( P.L.U. ) D'ASNIERES EST EN COURS

Une enquête publique portant sur le projet de Plan Local d’Urbanisme aura lieu à l’Hôtel de Ville au service de l’Urbanisme du lundi 20 février au mardi 21 mars 2006 inclus.

Le public pourra consulter le dossier et présenter ses observations sur le registre d'enquête au service de l'urbanisme pendant la durée de l'enquête, du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h.

Par décision du tribunal Administratif en date du 15 décembre 2005, une commission d'enquête a été désignée, comprenant :
Monsieur Pierre Barbier : Président,
Monsieur Jean-Claude Douillard : membre titulaire,
Monsieur frédéric raveau : membre titulaire,
Monsieur Claude Richer : membre suppléant.


LES DATES A RETENIR :

Un ou des membres de la commission se tiendront à la disposition du public pour recevoir ses observations à la mairie au service de l'urbanisme, les :
lundi 20 février 2006 de 9h à 12h
samedi 4 mars de 9h à 12h
mercredi 8 mars de 9h à 12h
mercredi 15 mars de 14h à 17h
samedi 18 mars de 9h à 12h
mardi 21 mars de 14h à 17h.

Toute correspondance relative à l'enquête peut être adressée à la commission d'enquête à la Mairie d'Asnières, 1 place de l'Hôtel de Ville.
Le rapport et les conclusions de la commission d'enquête, transmis par celle-ci dans le délai d'un mois à l'expiration de l'enquête, seront tenus à la disposition du public dès leur réception en mairie.
Le service Urbanisme est installé à la Mairie d'Asnières. Tél. : 01 41 11 15 40


Question : - Cette enquête est -elle bien légale dans la mesure où auparavant les élus de la ville n'ont pas été informés ( volumineux dossier non remis au élus ! ) lors de la séance du 29 septembre 2005 du Conseil Municipal à propos du vote relatif au bilan de la concertation et arrêt de projet de P.L.U. précisément ?

- Par ailleurs, constatant cette violation grossière et manifeste de la loi, Hubert MASSOL, en tant que conseiller municipal, a déféré cette délibération en annulation devant le Tribunal Administratif de Versailles.


DU FRIC OU RAZZIA SUR LA VILLE ?
INSECURITE PERSISTANTE DANS LE QUARTIER NORD QUI S'APPARENTE AUX METHODES DU MILIEU / CLIMAT RELATIONNEL TRES DEGRADE EN INTERNE EN MAIRIE / DELATIONS DIVERSES PAR LA RECEPTION SUR NOTRE SITE WWW.MASSOL.ORG DE MAILS " ANONYMES", ACCUSATEURS CONTRE L'ACTUEL DIRECTEUR GENERAL DES SERVICES...

CES AFFAIRES SONT-ELLES LIEES ? NE SONT-ELLES QUE LA MANIFESTATION DE REGLEMENTS DE COMPTE VIRULENTS ENTRE PERSONNELS DE LA MAIRIE ? EXISTE-T- IL UNE FORME DE CHANTAGE A LA SECURITE ?
Quoi qu'il en soit le Maire Manuel AESCHLIMANN reste étrangement silencieux !


Le Parisien 14 février 2006
Mystérieuses tensions dans les quartiers

Incendies de voitures, feux de poubelles, caillassages... Un drôle de climat règne dans les quartiers nord d'Asnières depuis le début du mois. Un malfaiteur isolé aurait-il des comptes à régler ? A moins qu'il ne s'agisse d'un groupe de fauteurs de trouble ?

Cinq voitures ont été incendiées, des poubelles ont brûlé et le poste de police municipale a fait l'objet d'un caillassage en règle. Un regain de tension que ni la police ni la municipalité ne s'expliquent. Les hommes du commissariat d'Asnières enquêtent pour mettre la main sur le ou les incendiaires, cherchant à déterminer si un lien existe entre toutes ces affaires.

Aux Mourinoux, quartier où les incidents se multiplient, on évoque " des problèmes avec la police municipale, la mairie, de vieilles histoires"... Bref, rien de concret. En clair, personne ne comprend ce qui se passe mais force est de constater que la tension est perceptible. La police est particulièrement attentive et les CRS patrouillent. Lundi dernier, une voiture a été incendiée dans un parking de 1500m² et un groupe de personnes a vidé un extincteur sur les grilles du poste de la police municipale, après avoir jeté des cailloux sur le bâtiment et une voiture. Dans un e-mail adressé à bon nombre de services municipaux, un mystérieux expéditeur pointe des relations difficiles entre une partie de la jeunesse et de la municipalité. L'augmentation du tarif de certaines activités proposées aurait agacé un groupe de jeunes gens qui sont allés se plaindre dans le bureau du directeur des services. Mais un accord a été trouvé.

"Bizarrement, le soir même, les quartiers nord brûlent" écrit le corbeau. "Ce serait idiot de brûler des voitures alors que le problème est réglé", commente-t-on à la mairie.

Valérie Mahaut


JUSTICE
Asnières/ Manuel Aeschlimann entendu par un juge

(Le Parisien du 07 janvier 2005 )


DERNIERE MINUTE

Asnières-Nord, vendredi 10 février 22h 50
ON BRULE ENCORE DES VOITURES
Mais où est donc passée la brigade de "veille citoyenne" de monsieur le Maire ?


Des habitants viennent de nous signaler que des incidents déjà observés depuis plusieurs jours et scandaleusement sans réponse efficace des forces de l'ordre ( cf. Le Parisien édition 92 du 8 et 9 février ) ont repris cette nuit.
A cette heure on dénombre de source sure déjà au moins une voiture brulée, rue de l'égalité.

>>> voir autres photos >>>


ASNIERES BOULEVARD VOLTAIRE - JEUDI 9 FEVRIER 11h15
ENCORE UN BRAQUAGE A LA BANQUE !

Nouveau braquage d'une banque à Asnières, cela en devient presque banal de l'annoncer. Cette fois-ci, c'est au tour de l'agence Fortis du boulevard Voltaire.
Un homme armé menace la guichetière et se fait ouvrir le sas pour son complice encapuchonné. Bilan 7000 € dérobés.

Sempiternelle question :
A quoi servent donc ces couteuses caméra de vidéo-surveillance implantées par monsieur le Maire ? La ville a t-elle encore une politique en matière de sécurité des biens et des personnes ? Concrètement, quelles missions sont dévolues à la Police Municipale ( actuellement démantelée ) en complémentarité avec la Police Nationale ?

Février 2006 -
EXPLOSION MULTIFORME DE LA VIOLENCE SUR ASNIERES

SUIVANT EN CELA UNE PROGRESSION CONSTATEE DEPUIS LE DERNIER TRIMESTRE DE 2005, VOICI LA LISTE NON EXHAUSTIVE DES FAITS :
INCENDIES DE VOITURE ET DE POUBELLES, DEGRADATION ET CAILLASSAGE DU POSTE DE POLICE MUNICIPALE A ASNIERES-NORD ( QUARTIER DEJA VICTIME,DEBUT JANVIER,D' UN INCENDIE AU MAGASIN GIGASTORE, TRES PROBABLEMENT D' ORIGINE CRIMINELLE ET AYANT ENTRAINE LA MORT D'UN JEUNE POMPIER DE 25 ANS ), VIOL EN REUNION SUR MINEUR A L' "INTERNAT DE LA REUSSITE" ( SIC ! ) INAUGURE RECEMMENT PAR NICOLAS SARKOZY...

MAIS QUE FONT CONCRETEMENT MONSIEUR LE MAIRE M. AESCHLIMANN ET LES FORCES DE POLICES POUR ENDIGUER CETTE SPIRALE DE LA DELINQUANCE ?

CETTE SCANDALEUSE INERTIE ETANT A RAPPROCHER DES CHIFFRES MIROBOLANTS AVANCES TOUT DERNIEREMENT PAR LE JOURNAL DE LA MAIRIE "ASNIERES INFOS " SUR UNE PRETENDUE BAISSE DE 13 % DE L'INSECURITE QUE CONNAITRAIT NOTRE VILLE ET QUE DIRE DES ACTIONS EN JUSTICE DILIGENTEES AU NOM DE LA MAIRIE PAR MONSIEUR LE MAIRE CONTRE DES ELUS D'OPPOSITION QUI CONTESTENT PRECISEMENT ET A JUSTE TITRE CES STATISTIQUES LITTERALEMENT BIDONNEES ( CF. ARRET DE LA COUR D'APPEL DE VERSAILLES DU 30 NOV. 2005 PRONONCANT LE DEBOUTE DE M. AESCHLIMANN, DEPUTE-MAIRE CONTRE HUBERT MASSOL, CONSEILLER MUNICIPAL).



I ) - Des incendies en série dans le quartier des Mourinoux

UNE SÉRIE D'INCIDENTS a agité la nuit de lundi à mardi dans le quartier des Mourinoux à Asnières. Des actes de vandalisme qui ne sont pas sans rappeler les violences urbaines de novembre dernier. En moins d'une heure, un parking et des poubelles ont été incendiés et le poste de police municipale attaqué.

Rapidement maîtrisé, l'incendie du parking a pu être circonscrit à une seule voiture, mais les dégâts auraient pu être autrement plus sérieux. La soirée débute avec la dégradation du poste de police municipale de la rue Henri-Poincaré.

Deux heures pour éteindre le feu dans le parking

Peu avant 22 heures, un ou plusieurs vandales vident le contenu d'un extincteur sur les grilles protégeant les locaux et caillassent le poste. Des pierres atteindront les murs, mais aussi une voiture de police, endommagée par les projectiles. Moins d'un quart d'heure plus tard, une Fiat Panda stationnée dans le parking s'enflamme. Un incendie dont l'origine criminelle fait peu de doutes. Aussitôt alertés, les pompiers vont sur place.

Le risque de propagation est important dans ce parking de 1 500 m 2 , situé au beau milieu du quartier, juste au-dessous d'un supermarché. Avec six engins, une trentaine de pompiers sont dépêchés dans le parking. Ils mettront environ deux heures à éteindre le feu et écarter tout danger. Seule la Fiat sera détruite, mais canalisations et câbles électriques seront aussi sérieusement endommagés.

Vers 22 h 30, la série continue avec l'incendie de détritus contenus dans un chariot de supermarché. Tout au long de la soirée, d'autres feux ont été allumés dans les poubelles du quartier. Le ou, vraisemblablement, les auteurs de ces actes de vandalisme n'étaient pas identifiés hier soir.

V. M.

Le Parisien , mercredi 08 février 2006


II) - L'internat de la réussite rattrapé par la violence


Le Parisien , mercredi 08 février 2006

L'événement Asnières

MAUVAIS COUP pour l'internat de la réussite d'Asnières. La structure pilote lancée par le président du conseil général, Nicolas Sarkozy, pour aider des adolescents de milieux défavorisés dans leur scolarité, a été le théâtre de graves dérives. Cinq des huit pensionnaires de l'établissement, implanté à Asnières, ont en effet été impliqués dans un viol en réunion sur l'un de leurs camarades.

Les faits se sont produits début janvier dans le pavillon de l'Institut Baguer où sont hébergés provisoirement les jeunes pensionnaires scolarisés depuis la rentrée au collège François-Truffaut. Deux des pensionnaires soupçonnés de viol ont été exclus définitivement à la suite d'un conseil de discipline et les trois autres, qui auraient « laissé faire », ont été renvoyés chez eux pour une période de dix jours. Au moment des faits, les élèves, des garçons âgés de 12 à 13 ans, étaient seuls, l'assistant d'éducation qui devait assurer leur surveillance recevant la famille d'un des pensionnaires. Une enquête a été diligentée par la brigade des mineurs de la sûreté départementale.

« Demander à l'encadrement d'être plus vigilant »

L'affaire, révélée par le site Internet asnierois.org , suscite des réactions parmi la communauté éducative. « L'internat est une structure qui échappe au conseil d'administration du collège », lâche Agnès Verduran, responsable du Snes, Syndicat national des enseignements du second degré. « Il fonctionne avec du personnel précaire. Les élèves ont été recrutés à la va-vite... Il fallait en plus que ce projet se fasse très rapidement pour prendre de vitesse Jean-Louis Borloo qui, dans son plan de cohésion sociale, avait lui aussi annoncé la création de tels établissements. » Et d'ajouter : « Ce n'est qu'une opération marketing, un coup de pub pour Nicolas Sarkozy ! » Un élu PS d'Asnières, Sébastien Pietrasanta, renchérit : « L'idée de base est excellente sauf qu'il y a un défaut criant d'encadrement qui a eu des conséquences graves. On ne peut pas toujours faire des effets d'annonce sans mettre les moyens en face pour une bonne application. »

Du côté de l'inspection académique, dont dépend la structure, on évoque un fait malheureux. « Les élèves sont des volontaires qui n'ont pas de résultats scolaires méritants mais qui s'accrochent, le but est de les aider, explique Gilles Bal, inspecteur d'académie adjoint. On ne peut imputer ces faits à l'encadrement, l'assistant d'éducation se trouvait à proximité immédiate. Un assistant pour huit élèves, c'est optimal, on ne pourra faire mieux. On peut en revanche demander à l'encadrement d'être plus vigilant. »

Au conseil général, à l'origine de la création de cet internat, on tente de relativiser les faits. L'affaire dérange, l'internat devait être une vitrine. « On assure la matérialité, les locaux sont conformes », résume Isabelle Balkany, vice-présidente déléguée aux affaires scolaires au conseil général, qui rappelle au passage que 40 000 € ont été déboursés pour assurer le gîte et le couvert aux huit pensionnaires. Elle ajoute : « C'est un incident... grave. Mais le pire, c'est qu'ils n'avaient même pas conscience de ce qu'ils faisaient. Les enfants de cet âge, ça fait des bêtises plus ou moins énormes. Ça montre qu'il faut les encadrer et leur apprendre que ce qu'ils ont fait est mal. »

ASNIERES. En octobre 2005, Nicolas Sarkozy inaugurait son premier internat de la réussite à Asnières en compagnie du principal du collège François-Truffaut et des jeunes. (LP/CHRISTINE HENRY.)

Marisa Faion

Le Parisien , mercredi 08 février 2006

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D'autres pensionnats verront bien le jour comme prévu

LA DELEGUEE aux affaires scolaires du conseil général, Isabelle Balkany, est catégorique : « L'incident qui s'est produit à François-Truffaut ne remet pas en cause le projet d'internats de la réussite. D'autres verront le jour sur le département. » Asnières, ville pilote, accueillera ainsi, à la rentrée prochaine, un second établissement sur son territoire, au collège Renoir. Un projet qui inquiète d'ores et déjà les enseignants. « Nous nous inquiétons de n'avoir été informés que de manière orale et incomplète : quid des statuts de cet internat, des critères de recrutement, de son financement, des conventions signées entre l'Education nationale et le conseil général, des fondements idéologiques et pédagogiques d'une telle entreprise ? » s'interrogent des enseignants qui reprochent au passage le mutisme observé par l'administration sur le sujet.

Selon les professeurs, le bâtiment A, où se trouvaient six salles de cours ainsi qu'un foyer socio-éducatif, a fermé. Il est remplacé par quatre préfabriqués exigus placés sur les terrains de sport. C'est dans ce bâtiment désormais libre que le nouvel internat de la réussite, de 24 places, devrait s'installer selon Isabelle Balkany qui souligne que dans les futures structures, les familles des pensionnaires sélectionnés seront amenées à participer financièrement.

A terme, tout le département doit être couvert. D'autres internats devraient voir le jour à Boulogne, à Bourg-la-Reine et à La Garenne-Colombes.

M.F.

Le Parisien , mercredi 08 février 2006

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( A voir également les éditions régionales de FR3 Paris-Ile-de-France ce mercredi 8 février 2006 )

La sombre affaire Mayetic : entre rumeurs et désinformation

J’ai rencontré hier matin, au Press Club de Paris, Bruno de Beauregard et Miguel Membrado, les deux ex-fondateurs de Mayetic, start up française créée en 1996, spécialisée dans le travail collaboratif en ligne, qui vient d’être liquidée dans des conditions assez incroyables. Elle avait réussi l’exploit, rare en France, de rivaliser avec Microsoft, IBM et Documentum, et de fournir des solutions d’entreprises à des grands groupes français et étrangers.

A la suite d’une sombre affaire de diffamation impliquant Bruno de Beauregard et le député-maire d’Asnières, Manuel Aeschlimann, Mayetic perd brutalement son principal actionnaire, la Caisse de dépôts et consignations. Tout s’enchaîne rapidement: dépôt de bilan au mois de novembre 2005, liquidation judiciaire en décembre, 23 salariés licenciés, et un repreneur désigné ce mardi 24 janvier (voir cet article).
Miguel Membrado et Bruno de Beauregard étaient encore sous le choc, se demandant comment une association de quartier en opposition avec un maire sur une ZAC (zone d’aménagement concertée) peut être accusée de couvrir une secte, et pourquoi un procès en diffamation peut faire couler une entreprise de dix ans.

C’est Bruno de Beauregard qui parle: "Cette histoire très compliquée a démarré en septembre 2003, par le refus de concertation du député-maire UMP d’Asnières avec l’association de quartier dont je suis le président, sur l’aménagement de la ZAC Métro à Asnières". Le maire d’Asnières aurait fait croire que l’association de la ZAC Métro était le paravent d’une prétendue secte, la fondation Ostad Elâhi, pourtant reconnue d’utilité publique, et dont la présidente d’honneur est Madame Bernadette Chirac!!! En outre, le nom de cette fondation est celui d’une famille iranienne persécutée par le régime de la république islamique d’Iran, alors que le directeur de cabinet du député-maire d’Asnières, Ramine (Francis) Pourbagher, est lui aussi iranien, et serait très proche du régime actuel.

L’association de la ZAC Métro et la fondation Ostad Elâhi ont attaqué la mairie en diffamation. La mairie a perdu en première instance, les jugements en appel des trois procès lancés sont attendus le 25 janvier. Pour faire bon poids, le directeur de cabinet du député-maire a fait croire qu’un membre de l’association de la ZAC Métro, qui distribuait des tracts, avait tenté de l’écraser avec sa voiture. Mis en examen pour dénonciation calomnieuse, le directeur de cabinet attend son procès devant le tribunal correctionnel de Nanterre (92).

Et les rapports de la DCRG (Direction centrale des renseignements généraux) ou de la DST (la Direction de surveillance du territoire) déconseillent aux organisations gouvernementales de faire appel à la société Mayetic, en raison des liens de Bruno de Beauregard, son président, avec la fondation Ostad Elâhi? (voir le Monde du 22/01/05). Des faux, selon Bruno de Beauregard, "s’il est vrai que j’ai infiltré la direction générale des impôts, la Gendarmerie nationale et l’OTAN, alors qu’on me passe immédiatement les menottes, et qu’on me mette en prison!"

Et maintenant, qu’allez-vous faire? "Immigrer aux Etats-Unis, pour créer une autre entreprise, les entrepreneurs sont mal vus en France".


INCENDIE DU GIGASTORE A ASNIERES : VERS LA PISTE CRIMINELLE ?
LA PJ 92 LANCE UN APPEL A TEMOIN

- Relayé dans les colonnes du journal "Le Parisien", la Police Judiciaire des Hauts-de-Seine lance un appel à témoin
à propos de l'incendie du GIGASTORE, situé à Asnières près des 4 routes et à l'origine de la mort d'un jeune pompier
( cf. nouvelles précédentes ).

- Il est demandé à toute personne présente dans le magasin avant l'incendie d'appeler l'un des numéros suivants :

le 01.41.37.74.19 ou bien le 01.41.37.74.20


FIBRE TRES HAUT DEBIT : ASNIERES CHOISI COMME ZONE TEST PAR FRANCE TELECOM

L'opérateur historique a annoncé hier la construction d'un réseau relié à chaque abonné acheminant 100 mégabits par seconde.

par Catherine MAUSSION
LIBERATION : mercredi 18 janvier 2006

Didier Lombard, le patron de France Télécom, a tranché : «On n'aime pas, chez nous, les solutions de bout de ficelle.» La France aura donc un très beau réseau de fibre, plus de 100 mbits/s, tiré depuis le central téléphonique jusque chez l'abonné. Cela s'appelle le FTTH (Fiber To The Home). L'opérateur, qui a bâti il y a cinquante ans l'un des plus beaux réseaux de cuivre au monde, tient à sa réputation. Plutôt que d'améliorer les débits sur le réseau existant, il saute directement à l'étape suivante, en optant pour le tout fibre, soit «la technologie la plus performante». Didier Lombard, parce que les finances de l'opérateur sont en berne, a dû en rabattre toutefois sur le calendrier. Il va falloir patienter.

Retenue. «Aujourd'hui, le réseau actuel (ADSL) est tout à fait suffisant», a expliqué le PDG de l'opérateur historique. Effectivement, avec 20 mbits/s, soit le débit offert en ville, l'internaute peut déjà tout faire : regarder la télé, échanger ses photos, télécharger de la musique, des vidéos, animer son blog... Donc, pas de hâte. «Cela veut dire qu'on ne va pas investir massivement en 2006, 2007, pour un réseau dont les clients n'auront pas besoin», poursuit Didier Lombard. Les analystes, qui tiennent à l'oeil les comptes d'un France Télécom encore lourdement endetté, apprécieront la retenue.

Connecter un foyer coûte très cher : autour de 1 000 euros par prise. Si déploiement il y a, ce sera plutôt à compter de 2008. Et l'investissement, même à cette date, a encore prévenu, Didier Lombard, ne sera pas «massif, mais progressif». Prudent, l'opérateur va lancer dans les semaines à venir «un pilote». Il s'agit de tester l'appétit des foyers pour de nouveaux services, rôder les solutions technologiques et réfléchir à la meilleure façon de s'y prendre pour rentrer dans l'immeuble, négocier avec le syndic et passer la fibre dans les gaines... Bref, «vérifier qu'il y a un marché». Les zones tests sont déjà choisies : priorité aux clients «les plus friands de technologie». Et visiblement, ils n'habitent pas dans la Creuse. France Télécom a élu Paris (IIIe, IVe, VIe et VIIe arrondissements, un peu de XIIIe, pour ses tours d'habitation, et un peu de XVIe). Autre zone test, les Hauts-de-Seine, autour d'Issy-les-Moulineaux, de Boulogne et de Rueil-Malmaison, mais aussi au nord du département, du côté d'Asnières et de Villeneuve-la-Garenne «là où il y a de l'appétence pour la télévision...» En attendant cette nouvelle autoroute, les internautes devront se contenter pour quelques années encore des 20 mbits/s offerts aujourd'hui.

Inconnue. En choisissant de tirer sa fibre optique jusqu'au domicile de l'abonné, l'opérateur laisse tomber le cuivre. Pourtant, en poussant le débit sur ce fil-là, il était possible d'atteindre les 50 mbits/s. Mais, hier, France Télécom a voulu tourner la page.

Reste tout de même une inconnue. Quelle sera l'attitude du régulateur ? Didier Lombard a nié hier avoir demandé l'exclusivité du nouveau très gros tuyau pour en priver ses concurrents. Mais il a mis en garde : «Il faut que tout cela se fasse dans des conditions économiques raisonnables.» Si non, pas de réseau.


mercredi 18 janvier 2006
Mayetic ferme et le travail collaboratif devient orphelin

Le français Mayetic, crée il y a dix ans, et spécialisé dans les solutions de travail collaboratif nous apprends qu'elle a été placée en liquidation judiciaire le 13 décembre 2005 par le Tribunal de Commerce de Paris

La nouvelle vient de tomber, et elle est plutôt mauvaise pour l'avenir du travail collaboratif. Rappelons que la société Mayetic était la seule société française organisée en télé travail à 100 %, et qu'à ce titre elle était considérée comme l'un des quatre acteurs majeurs du collaboratif en France, avec Microsoft, IBM et EMC-Documentum.

Dans un communiqué, la direction du groupe dénonce une campagne médiatique diffamatoire et d'appel au boycott à son encontre, (Le Monde du 21/10/2005, JT 19/20 Ile de France 3 du 22/10/2005 et Le Vrai Journal de Canal+du 06/11/2005) qui selon elle, était orchestrée contre Mayetic et son président, Bruno de Beauregard.

Des enquêtes menées par des journalistes spécialisés semblent accréditer la thèse selon laquelle Manuel Aeschlimann, député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine, et proche conseiller de Nicolas Sarkozy, serait à l'origine de cette campagne.

D'après les conclusions des journalistes "celui-ci reprocherait à M. Bruno de Beauregard une activité associative en matière d'urbanisme un peu trop encombrante pour sa mairie..." donc pour nos confrères, il s'est fait justice lui-même...

Enfin, il reste à le prouver et cela va être le travail de la justice, qui a été saisie de cette affaire et établira les responsabilités de chacun. Mais, pour les collaborateurs de la société la justice a raté un wagon, puisqu'ils ont tous été licenciés le 28 décembre 2005.

Cette campagne est intervenue au moment précis où un nouvel apport financier était demandé à la caisse des dépôts et des Consignations (seul actionnaire financier de la société Mayetic, qui y avait investi 4,3 millions d'euros et détenait 35 % du capital). Dans le même temps, des négociations très avancées en France avec France Telecom/Equant pour un accord de distribution mondial en marque blanche étaient en cours... Un beau gâchis.

Mayetic avait reçu le label européen Euréka en 2004, et était soutenue financièrement par l'ANVAR, et la DATAR avait retenu sa plate-forme de travail collaboratif parmi les outils d'efficacités collectives préconisés pour les pôles de compétitivités.

Son catalogue de clients le prouve, puisque pas moins de 10 % des sociétés du CAC 40 avait fait confiance en Mayetic ainsi que nombre de grands comptes tels France 3, PriceWaterHouseCoopers, CNP Assurances, Ville de Paris ou l'Organisation Mondiale de la Santé.

Son site web d'espaces de travail collaboratif gratuit, en ligne depuis novembre 2000, est aussi une preuve de la vitalité du groupe puisqu'il est toujours utilisé quotidiennement par plus de 14.000 associations, écoles, universités, PME, TPE, collectivités locales ou ONG, réparties dans plus de 97 pays. Ce qui représente la seconde audience mondiale du domaine avec plus de 200.000 utilisateurs et 45.000 espaces de travail collaboratifs.

 

Le message de l'Union Syndicale Professionnelle
des Policiers Municipaux et de l’ensemble des Policiers Municipaux d’Asnières-sur-Seine


Aux Sapeurs-Pompiers de Colombes,

Très attristés par le drame qui a endeuillé votre caserne le vendredi 06 janvier 2006 à Asnières-sur-Seine, le Président, les Membres du bureau ainsi que les Délégués de l'Union Syndicale Professionnelle des Policiers Municipaux et l’ensemble des Policiers Municipaux d’Asnières-sur-Seine s’associent de tout coeur à votre peine.

Nous vous assurons notre soutien total en ces moments douloureux et vous présentons nos très sincères condoléances à la famille du Caporal Grégory Pailot ainsi qu’à ses proches et ses collègues.

Nous souhaitons un prompt rétablissement aux Sapeurs-Pompiers blessés et vous demandons de bien vouloir leur transmettre notre plus profonde sympathie.

Le Délégué Départemental

 

APRES LE DRAME, LES QUESTIONS SE POSENT

La sécurité du Gigastore déjà mise en cause en 2001
L'événement Asnières

LE DRAMATIQUE incendie qui s'est produit au Gigastore, le grand bazar du quartier des Quatre-Routes, à Asnières, où un jeune pompier de 23 ans a trouvé la mort, ne manque pas de susciter aujourd'hui quelques interrogations sur le respect des normes de sécurité. Et pour cause, le magasin qui a pris feu vendredi dernier a déjà fait l'objet de controverses en 2001.

A l'époque, la direction de Gigastore avait émis une demande de « dérogation au principe du repos dominical » auprès de la municipalité d'Asnières. Mais la requête avait été acceptée sous certaines conditions : « Etant donné la situation actuelle de ce magasin, je propose d'émettre un avis favorable sous réserve que Gigastore respecte enfin les règles de sécurité en libérant l'accès pompiers du bâtiment et en mettant fin définitivement à une ouverture du sous-sol au public », déclarait à l'époque le maire UMP, Manuel Aeschlimann, dans une délibération du conseil municipal datant du 5 janvier 2001. Et il ajoute en conclusion : « En tout cas, sous réserve de ces préconisations en matière de sécurité, nous donnons un avis favorable pour maintenir un espace commerçant sur le marché. Je le redis, sous ces réserves lourdes confirmées par des habitants proches. »

« Le sous-sol n'a jamais été un local de réserve mais un local de vente ouvert au public » Les premiers éléments de l'enquête recueillis par le service départemental de la police judiciaire (SDPJ) chargé des investigations confirment que l'incendie s'est déclaré au sous-sol, au rayon literie : un endroit qui reçoit depuis toujours du public, comme le confirme un proche de la mairie qui s'exprime sous couvert d'anonymat. Pourtant, une commission de sécurité est bel et bien passée en janvier 2004 et a donné un avis favorable, toujours selon ce témoin : « Ce magasin a toujours été un foutoir, les camions de livraison n'ont pas d'accès spécifique et passent par les accès de secours. Il n'existe pas non plus d'aire de stockage. C'est pour ça que les allées sont souvent encombrées. Le sous-sol n'a jamais été un local de réserve mais un local de vente ouvert au public. » Et de souligner : « La commission de sécurité convoquée par le maire avertit les responsables du magasin de son passage comme le veut la législation en cours, et son rôle est de vérifier que ce qui est en place fonctionne : portes incendie, blocs secours, alarme, désenfumage... Lorsque la commission passe, tout est en ordre, comme ce fut le cas la dernière fois, en janvier 2004. Le problème, c'est que dès qu'on a le dos tourné, ça recommence. Tout le monde le sait mais il n'y a jamais eu de suivi. » Contactée, la direction de Gigastore affirme que « l'interdiction a été requise par la commission communale de sécurité de janvier 2003 et a été levée en juillet 2004 par la municipalité, à la suite d'un audit effectué par la société de contrôle agréée, l'Apave ». Or, la demande initiale de fermeture du sous-sol au public formulée par le conseil municipal en avril 2001 est définitive et non pas provisoire, comme le stipule la délibération municipale. Alors, pourquoi la ville est-elle revenue sur sa décision ? Que s'est-il passé entre ces deux dates ? Les investigations du SDPJ chargé de l'enquête, qui doit dans un premier temps déterminer avec précision l'origine de l'incendie, devraient également pouvoir répondre, dans un deuxième temps, aux questions relatives à la conformité des conditions d'accueil de la grande surface.


ASNIERES, VENDREDI. Le magasin qui a pris feu vendredi dernier, causant la mort d'un jeune pompier, a déjà fait l'objet de controverses en 2001 concernant la conformité des différents dispositifs de sécurité ainsi que l'ouverture de son sous-sol au pub (LP/S.M.)

Trois commissions de sécurité en cinq ans

SUR PLACE au moment de l'incendie, le directeur de cabinet de la ville, Francis Pourbagher, souligne que la délibération prise en 2001 par la municipalité, où elle demande une fermeture définitive du sous-sol au public, doit être interprétée différemment. « Cette délibération conditionne en fait l'exploitation du sous-sol du magasin à la réalisation de certains travaux, tient à préciser le directeur de cabinet. Entre 1999 et 2004, au moins trois commissions communales de sécurité composées d'élus, de pompiers, de représentants de la DDE... se sont réunies et ce n'est pas rien ! S'il y avait eu le moindre risque et si le magasin n'avait pas fourni des éléments concrets qui prouvent qu'il est en conformité, nous aurions fait fermer l'établissement. Par ailleurs, s'il s'avère que le drame est consécutif à un manquement aux normes de sécurité, la responsabilité pénale du gérant serait de toute façon engagée. Lorsque la commission donne un avis, le responsable de l'établissement doit se conformer aux exigences de sécurité. On ne peut anticiper sur les conclusions du laboratoire central de police et des enquêteurs. Sur place, j'ai remarqué que les accès pompiers étaient dégagés, c'est déjà un point positif. » Les accès pompiers, régulièrement entravés par les résidants, ont été dégagés juste avant les fêtes de Noël, grâce aux travaux réalisés par la copropriété et non par les responsables de la mairie ou du Gigastore.

Marisa Faion
Le Parisien , mardi 10 janvier 2006


Le site d'informations municipales et politiques
www.massol.org
vous présente ses meilleurs vœux pour 2006.

Au delà des traditionnels « bonheur, santé et prospérité », nous pensons que l’actualité récente réclame des souhaits plus circonstanciés.

Nous souhaitons que nos compatriotes retrouvent des villes et des campagnes pacifiées, débarrassées des violents et des incendiaires. Nous souhaitons que l’on puisse prendre les transports en commun sans avoir la peur au ventre. Nous souhaitons que nos enfants puissent s’instruire dans des classes débarrassées des délinquants, qu’ils y retrouvent l’envie de savoir et, avec leurs enseignants, le goût de l’effort et du travail bien fait.

Nous souhaitons une justice juste, des coupables rapidement débusqués et punis, et des victimes soutenues. Nous souhaitons que cessent les mensonges officiels et que tombent les bâillons. Nous souhaitons que reviennent la raison, la dignité et l’ordre.

Nous souhaitons que soient encouragées l’envie et la liberté de créer et d’entreprendre.

Nous souhaitons donc le rejet de la « politique spectacle » et le retour de « la » Politique, avec un grand « P », pratiquée par des hommes et des femmes qui n’ont pour ambition que celle de servir le pays.

Nous souhaitons enfin que nos compatriotes agissent avec courage dans ce sens afin de retrouver la fierté d’être Français.


Incendie à Asnières: mort d'un pompier

FRANCE 2 /

Un pompier trouve la mort dans un incendie à Asnières
Un sapeur-pompier de 25 ans est mort vendredi en luttant contre un incendie à Asnières

Le sinistre, qui s'est déclaré peu après 10H45, dans le sous-sol d'un bâtiment de huit niveaux, 32 rue de la Redoute, a été maîtrisé.

Huit sapeurs-pompiers qui luttaient contre l'incendie ont été blessés, quatre d'entre eux intoxiqués par des fumées ont été évacués vers trois hôpitaux militaires de la région parisienne.

L'enquête a été confiée au service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine. En fin d'après-midi, l'origine de l'incendie restait inconnue, selon une source policière.

"La chaleur intense, l'opacité et la toxicité des fumées ainsi que la densité du stockage ont rendu cette intervention longue et difficile", précise la BSPP (brigade des sapeurs-pompiers de Paris), pour ce "feu de sous-sol de 500 m2 dans lequel était stockée une grande quantité de diverses marchandises".

Quelque 80 hommes de la BSPP de onze casernes sont intervenus avec 24 engins et ont mis cinq heures pour éteindre le sinistre, ajoute le communiqué.

Vers 13H00, quatre pompiers se sont retrouvés bloqués au sous-sol. Trois d'entre eux ont pu être rapidement remontés, mais le quatrième, le brigadier-chef Grégory Pailot, a été porté manquant.

Cinq militaires de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris ont été tués en septembre 2002 en luttant contre un incendie dans un immeuble à Neuilly-sur-Seine et un sapeur-pompier de la BSPP a également été tué en août 2003, lors d'un incendie à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).


Un regard du Nouvel Observateur sur la démocratie asnièroise... lire >>>


ASNIERES: INSECURITE TOUJOURS PLUS !
QUE NOUS RESERVE 2006 ?

  • Internautes, faîtes lire ces quelques brèves indiscrètes : vous ne risquez pas de les lire dans le bulletin municipal dit "Asnières infos", - dans le numéro de janvier 2006 n° 266, par exemple,- pourtant financé par les contribuables asniérois.
  • Par son contenu rédactionnel, ce média municipal, littéralement assujetti à quelque "happy few", est révélateur de la grave et caricaturale dérive monégasque que connaît notre ville.
  • L' accaparement de plus en plus outrancier par la famille AESCHLIMANN de la majeure partie de l'espace dédié aux photos dans le journal frise la mégalomanie à défaut du ridicule !
  • Désormais, les Asniérois ne se reconnaissent plus dans ce magazine au contenu très vaguement "people" qui n'est plus, depuis un temps trop long déjà, un journal d'informations municipales crédibles au service de l'intérêt général et donc de tous les Asniérois sans sectarisme politicien. ( pour preuve : cf. les multiples condamnations pénales du directeur de la publication, le plus souvent pour des faits de diffamations publiques à l'encontre d'honorables Asniérois ou élus de la ville, ou encore, dans un autre registre, les condamnations administratives engageant la commune, pour lesquelles ce journal a été sanctionné ces dernières années ! )
    "La vérité vous rendra libre" ( Saint - Jean )
  • Oyez, braves gens ! Ne soyez pas incrédules ! Cela s'est bien passé dans notre ville durant les fêtes de fin d'année... et pourtant personne en Mairie n' a osé briser publiquement l’odieuse chape de plomb sur ces événements locaux. Chut ! Cela risquerait d’être politiquement incorrect et de troubler les «  grandes soirées de vœux 2006 » organisées par la Mairie !


1 ) - BRAQUAGE A LA BNP DE LA PLACE DES BOURGUIGNONS - A QUOI SERT DONC LE DISPOSITIF DES 34 CAMERAS DE VIDEOSURVEILLANCE ANNONCE DANS« ASNIERES INFOS »?
( fait délictueux grave, entièrement passé sous silence par l'ensemble des média municipaux ! )

- Mercredi 28 décembre 2005 vers 10h00, 3 hommes armés, encagoulés et casqués surgissent à l'agence de la BNP située au 196,bd Voltaire, aux abords de la place des Bourguignons et tiennent en respect clients et employés. Leur forfait accompli, Ils s'enfuient à moto emportant environ 8000 €. La police Judiciaire des Hauts-de-Seine est en charge de l'enquête mais d’après les premiers éléments recueillis, les témoignages semblent infructueux et les fameuses caméras de vidéosurveillance - dont le Maire ne manquent pourtant pas une occasion de nous en faire la réclame à défaut de nous en indiquer le prix pour la collectivité - sont encore étrangement et scandaleusement aveugles.
- Tout comme, pour rappel, lors d'un braquage similaire d'une banque à la place de la Station en face de l'école Sainte Geneviève et plus récemment, à la place Jean-Jacques Rousseau, où là, la caméra a été carrément détruite en novembre au début des émeutes ethniques par les petits narco-délinquants du coin, soucieux de protéger leur territoire de « deal » et de copier leurs « grands frères », érigés en modèle par certains média inconscients et politiciens pour des raisons bassement électoralistes !

- A son corps défendant, il faut préciser pour être tout à fait juste, que la Police Municipale, en charge du visionnage, n'est pas actuellement en mesure d'effectuer correctement ses missions, suite au changement de direction, démantèlement de ses effectifs et de ses moyens par Monsieur le Maire ( Que sont devenues, par exemple, les belles motos de la P.M ? ).
- Par contre, à l’encontre de cette réalité criminelle comprise objectivement et en guise de réponse pour le moins très légère, nous avons encore droit en page 6 dans le dernier "Asnières infos" ( réf. précitée plus haut ), à un ridicule articulet - vu le ton d’autosatisfaction adopté et quant à sa teneur - qui ose, sans nul gêne, vanter cyniquement l'efficacité du système actuel et son extension à 34 caméras. Mais, au final, rien ne transparaît sur le coût global du dispositif et la pertinence des emplacement des dites caméras.

2 ) NOUVELS ACTES DE VIOLENCES : ASNIERES PREMIER AU CLASSEMENT DEPARTEMENTAL DES VOITURES INCENDIEES !
.....mais cela n'empêche pas "Asnières infos", dans son n° 266 de janvier 2006, en page 6 toujours, d'occulter la réalité de cette délinquance et de dresser, contre toute évidence, un portrait flatteur des initiatives prises dans le domaine de la sécurité en titrant abusivement : "Sécurité : un dispositif efficace contre la délinquance" (Sic ! ). Pour (contre)preuves, voici la dureté de certains faits:
- Nuit de la Saint-Sylvestre 2005
( 31 déc. 2005 - 1er janv. 2006 )
- En l'absence de communication à ce sujet des services de Mairie, d'ordinaire plutôt prolixes , on nous signale oralement et de sources concordantes ( cf. journal "Le Parisien" et chiffres du ministère de l'Intérieur ) que notre ville détiendrait le triste et peu enviable classement de tête du département pour les incendies de véhicules( au nombre de trois au dernières nouvelles, rien que pour cette nuit ).
- A ce lamentable décompte, il ne faut pas manquer d’y rajouter la trentaine de voitures déjà détruites lors des toutes récentes émeutes socio-éthniques,( sans oublier l’incendie criminel des 3000 m2 des locaux de TF1 situés sur le quai Aulagnier ), faits scandaleusement passés sous silence lors des nombreuses prestations médiatiques de Monsieur le Maire et lors du dernier Conseil municipal du 15 décembre 2005, ce dernier étant plus prompt manifestement à communiquer sur un pseudo "Comité de veille citoyenne" d’autant plus inefficace, qu' illégal et ridicule dans ces agissements. Le bilan à mettre à son actif, hormis avoir indisposé les policiers dans leurs manœuvres, est bien maigre : à savoir , avoir réussi la suprême prouesse« citoyenne »  , digne des travaux d' Héraclès, en effet … éteindre un départ de feu de poubelle dans le quartier nord ! Que de battages et d’équipes de télévision déplacées pour si peu !
-Ces faits de délinquance ne sont que l’illustration de l'échec patent d’une politique électoraliste à courte vue , en matière de contrats de ville et de sécurité, menée par l'actuelle majorité municipale.
-Mais visiblement, ces piteux résultats n'empêchent pas notre édile de se " faire mousser" (toujours en page 6 d'"Asnières infos" ) et de nous annoncer, dés les premiers jours de janvier, avec l’aplomb qui le caractérise, une baisse très hypothétique de 13 % ( sic ! ) de la délinquance pour 2005 sur la ville; alors que les décomptes officiels des chiffres en matière de sécurité, pour l'année considérée, sont normalement disponibles et publiés le plus souvent qu'à partir du mois de mars de l'année suivante !
- Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois que Monsieur le Maire s'emmêle par excès d'optimisme et précipitation en ce domaine très sensible mais néanmoins précis ( cf. un très récent arrêt de la Cour d'appel de Versailles, rendu le 30 novembre 2005 par la 8ème Chambre qui a débouté de son action, M. AESCHLIMANN, député-maire, contre Hubert MASSOL, conseiller municipal, et relatif à une polémique datant de 2004 concernant des pourcentages pour le moins ambigus ,annonçant déjà des baisses spectaculaires de l’insécurité sur la ville, par la voie d’un tract en forme de communiqué triomphant émanant de la Mairie.
- Or, En l' absence de mentions des sources officielles, en l'absence de
données absolues, les juges d'appel ont pleinement reconnu la ,bonne foi du contradicteur et la légitimité d'en débattre dans le cadre municipal.
-Tous les statisticiens le savent, on peux faire dire n'importe quoi ou
presque à un pourcentage émis abstraitement sans chiffres concrets à
mettre en relation !
- Le journal « Asnières infos » semble décidément, en ce début d’année, encore bien reparti pour relayer lourdement le même type d’argumentation approximative ne reposant que sur de vagues pourcentages invérifiables et ressassés en boucle par la Mairie. Les fondements en sont manifestement spécieux car parcellaires, et même au final d’une rigoureuse analyse, inexacts car faussés. En effet, il est flagrant que le journal « Asnières infos » se livre à une rétention et à une dissimulation de l’ensembles des donnés chiffrées concernant l‘insécurité, susceptibles de nourrir fort à propos le débat, étant donné les moyens d’informations et l’accès dont il dispose auprès des services de Police.

- Les Anciens appelaient l'interprétation quelque peu subjective des faits, pouvant même consister en une légère dénaturation des faits,
la "licentia poetarum".

Mais en matière de chiffres et de statistiques sur la sécurité - science réputée exacte - cela ne fait franchement pas sérieux !


A Asnières, la musique soufie n'adoucit pas le maire
L'élu dénonçait une secte. Débouté par la justice, il reçoit l'appui des RG.

Libération du 28 décembre 2005,
par Renaud LECADRE


ASNIERES: INSECURITE TOUJOURS PLUS !
QUE NOUS RESERVE 2006 ?


Internautes, faîtes lire ces quelques brèves indiscrètes que vous ne risquez pas de voir dans le numéro de janvier n° 266,


mardi 20 décembre 2005, 14h27
Censure à l'Agence France-Presse

"Nicolas Sarkozy a-t-il eu la main heureuse en nommant le fringuant
député-maire d'Asnières-sur-seine
, Manuel Aeschlimann, "Monsieur opinion publique" de l'UMP ? [...]
L'élu d'Asnières (Hauts-de-Seine) aurait aussi tendance à la manipuler,
quand il ressent le besoin de mettre au pas
une opposition locale trop remuante à son goût."

>>>lire l'intégral de l'article>>>>>>>


CONSEIL MUNICIPAL DU 15 DEC. DERNIER :
UN CORRESPONDANT NOUS ENVOIE SON TEMOIGNAGE
lire>>>>>>>>>>>


compte-rendu du conseil municipal houleux du 15.12.2005 !
PARKING DU CENTRE VILLE : LE MAIRE VEUT PASSER EN FORCE

et l'ordre du jour du conseil municipal du 15.12.2005


L’affaire « Irasnières » secoue le conseil municipal
voir article du quotidien 20 MINUTES (15.12.2005)
ASNIERES : LE SCANDALE DU PARKING DU CENTRE VILLE
LE COLLECTIF DES RIVERAINS DU CENTRE VILLE APPELLE LES ASNIEROIS A SE RENDRE A LA SEANCE
DU CONSEIL MUNICIPAL DU 15 DECEMBRE 2005 A 20H00 !
(lire le document sous pdf)

INFORMATION JUDICIAIRE
Le 30 novembre 2005, la 8 ème Chambre
de la Cour d'appel de Versailles
à la suite de la 14 ème Chambre du TGI de Nanterre ,
a de nouveau
débouté
Manuel AESCHLIMANN de son action en diffamation contre Hubert MASSOL.

La Cour « considérant qu‘un débat entre opposants sur les chiffres relatifs à la sécurité d‘une commune présente un intérêt légitime (…) »
a reconnu la bonne foi d’Hubert MASSOL


Prolongement du Tramway T1 Saint-Denis-Asnières /
Ouverture de l'enquête publique le 12 déc. 2005



Affaire du DVD "iranien" ou les deux visages de Pascale POURBAGHER.....

- Pascale Pourbagher ( voilée ),
conseillère municipale de la ville
et épouse du directeur de cabinet
de Manuel AESCLIMANN, Député -maire UMP
d'Asnières-sur-Seine




( photo extraite du DVD qui nous est parvenu,
relatif à une émission intitulée "Monsieur le Maire"
diffusée par la télévision
d'Etat de la République Islamique d'Iran
le 4 août 2005 et consacrée à Ramine ( Francis POURBAGHER. )




- Photo extraite du trombinoscope du conseil municipal
de la ville d'Asnières-sur-Seine ( site officiel de la ville d'Asnières-sur Seine )
Mme Pascale POURBAGHER
Conseillère municipale

Déléguée aux Centres de Loisirs,
aux Activités péri-scolaires,
au Contrat Educatif Local et aux Ecoles maternelles

21.11.2004 / 21.11.05
IN MEMORIAM
IL Y A UN AN :
Mickaël LEFEBVRE jeune gardien de la Paix, 28 ans, en poste au commissariat d'Asnières, décédait des suites de ses blessures suite à une course poursuite.

Des sans-papiers expulsés de la permanence de l'UMP à Asnières
20 novembre 2005
ASNIERES BRÛLE !!!
Asnières, les pompiers veillaient, au milieu des décombres,
à ce que les incendies ne reprennent pas.

(source : quotidien METRO - mardi 6 novembre 2005)

voir article du parisien (08/11/2005)


05/11/05 - Analyse d'un de nos correspondants:

GUERRE ETHNIQUE : LA RÉPÉTITION


A LIRE DERNIERE TRIBUNE DE NOVEMBRE 2005
L'EXPLOSION FISCALE
Tribune libre parue dans le bulletin municipal "ASNIERES INFOS"
n° 264 de novemmbre 2005 en page 26

haut de page


03/11/05 - SUR LE FRONT DE LA GUERILLA URBAINE ETHNIQUE
ET ANTI-FRANCAISE EN REGION PARISIENNE:
LEGERS INCIDENTS AUSSI A ASNIERES..."



VERBATIM :
"
On est sur une poudrière. On a tout fait sur le terrain.
L'honnêteté m'oblige à dire que malgré tout nos efforts,
la situation continue de se dégrader dans nos cités.

Face à une situation extrêmement grave,
il faut trouver des terrains d'entente gauche-droite".
M. Jean-Marie Bockel sénateur maire de Mulhouse
(extrait Ouest-France du mercredi 2 novembre 2005 page 2 Politique)
 


Une note confidentielle (rendue publique...) de l'UMP
pointe la responsabilité de la politique
de M. Raffarin dans la montée du NON
==>
lire l'article
Lire le contenu de l'intervention de M. Aeschlimann sur EUROPE 1

FRANCIS POURBAGHER MIS EN EXAMEN...
VA T - IL DEMISSIONNER ?
LES ASNIEROIS VONT- ILS PAYER POUR SES FRAIS D' AVOCAT ?


Projet de révision du P.O.S./ ZAC UNILEVER/
L'enquête publique est prolongée jusqu'au 21 février 2005

VENEZ CONSIGNER MASSIVEMENT EN MAIRIEVOTRE OPPOSITION A CE PROJET DE BETONNAGE D'UNE ZONE INONDABLE !


A MANUEL AESCHLIMANN
PARKING PUBLIC DU CENTRE-VILLE
REPONSE



A Bucarest comme à Moscou : "Marche des gens normaux" contre les défilés homo...
Violences Urbaines
N ouveaux incidents éclatent en France (03.06.2006)

Le Pen et Mégret envisagent un remariage d'intérêts
Consultez les avis de recherche de la police nationale....c'est très instructif !

L’ ESCLAVAGE, parlons-en !

Loi Sarkozy sur l'immigration " choisie" : une imposture !
La loi est inapplicable à l'Algérie...


Ca se dit en Turquie.... « Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons. Grâce à nos lois islamiques, nous vous conquerrons »
COÛT DE L’IMMIGRATION POUR LA FRANCE
50 MILLIARDS D’EUROS
( soit 330 milliards de Francs nouveaux, ou 33.000 milliards d'anciens Francs )
SELON UN ANCIEN EXPERT DU FMI

Benjamin PERROTIN, 19 ans assassiné au couteau ...
encore une jeune victime française "en banlieue" qui n'a pas fait la "une" des média, ni l'indignation de l'établissement politicien


Encore "une chance pour la France" communautariste de demain (selon l'expression consacré par certains politiciens) :
Vidéo prise par un portable de l'agression de la prof de Porcheville -Yvelines - par Abdoullah- 18 ans...

Katyn :
Histoire et droit
Le massacre de Katyn devant la Cour européenne des droits de l'homme ?
...soit 66 ans après le massacre de soldats polonais par l'U.R.S.S. - et
imputé initialement à l'Allemagne hitlérienne - des familles demandent

justice

Quaero, nébuleuse de la recherche d’information
Délinquance : Les mineurs en groupe interdits de séjour à Montfermeil
LE DÉVELOPPEMENT DE L'ISLAM FONDAMENTALISTE EN FRANCE :

ASPECTS SÉCURITAIRES, ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX
Un rapport daté de septembre 2005 du Centre Français de Recherche sur le Renseignement

Hommage à Joe, tué pour un MP3 Communautarisation de la France
Violences confessionnelles à l' hôpital


Selon la presse, Washington envisage des frappes sur les sites nucléaires. Bush est prêt à dégainer contre l'Iran
Trafic de papiers : un haut fonctionnaire écroué
Bruits de tirs dans les faubourgs est de N'Djamen
Finance islamique : ce que charrie la charia
«Oui, je suis Bernardo Provenzano»
Après 43 ans de clandestinité, le patron de la mafia sicilienne, successeur de Toto Rina, a été cueilli mardi par la police dans une ferme des environs de Corleone.


Bouteflika ajourne le traité d'amitié franco-algérien
Communautarismes
Le point de vue de Pierre VIAL
( éditorial paru dans la revue "Terre & Peuple" )

L’immigration choisie, une dangereuse lubie chère à N. Sarkozy...
Telles sont , en substance, les conclusions du rapport de l’inspection générale de l’administration qui pointe que la France n'a plus, dans l'état actuel de son économie, les moyens d'accueillir de nouveaux immigrés.
Violences urbaines
Prenant prétexte des manif anti-C.P.E., lorsque la racaille s'en prend aux manifestants incrédules ( photos explicites des violences )
Mais que fait le Ministre de l'Intérieur pour empêcher ce retour vers la barbarie en plein Paris ? ( place des Invalides )

Contre l'intolérance islamique...
Des lois musulmanes contre les chrétiens, cela suffit !

Le pape demande
la libération de Rahman, condamné à mort pour s'être converti au christianisme en Afganistan

Le dernier livre de Charles Pellegrini :
"Banlieues en flammes "

Un Français interrogé sur trois se dit "raciste"
Quant à la notion de " violences conjugales" sert à masquer des moeurs provenant de populations migrantes inassimilables CRISE DE LA REPRESENTATION POLITIQUE
lire >>>>

Iouri Loujkov, maire de Moscou : « l'homosexualité est contre-nature »05-03-2006

Editorial lucide du "Point"
sur les causes principales du mal français (10/11/2005)

Quand les Pays-Bas montre l'exemple en Europe en bloquant l'immigration musulmane 08 mars 2006
Selon un sondage récent réalisé par la TNS Soffres,
53 % des Français jugent fortement dégradée l'image des hommes politiques
70 % déclarant même ne pas se reconnaitre dans les partis politiques....
Vers un séisme politique et systèmique à la prochaine élection présidentielle en 2007 ?

24/02/06 - Homofolie d' un arrêt de la Cour de Cassation
contre le droit fondamental pour tout enfant d'avoir un père et une mère....

Délires multicommunautaires et clientélismes électoralistes contre l'unité nationale et la liberté d'expression
Caricatures de Mahomet : Manifestations anti-européennes à Ankarra
Les islamistes projetaient un attentat à Paris
Lyon: Heurts entre manifestants turcs et anti-CPE
et lire aussi...
Certains en France peuvent se permettre de nier des génocides, mais pas tous !
Le malaise grandit au
Parti socialiste


ITALIE
Alessandra Mussolini: "Mieux vaut
être fasciste que pédé
"

ANTILLES : 500 manifestants pour le gendarme Clin

Nouvelles agressions dans le RER A

La manifestion contre le racisme et l'antisémitisme : certains sont exclus, d'autres rigolent...


Un militaire français tué dans un accrochage en Afghanistan
le viol des femmes non musulmanes par des musulmans en Europe

4 mars, 2006



L' " immigration sanitaire " a été multipliée par 16 en 4 ans !


L'enseignante poignardée en plein cours en décembre à Etampes dénonce "l'omerta" de sa hiérarchie


A Bondy, la laïcité s’arrête devant le cimetière
15/1/2006 - L’Hebdo (Lausanne)

LA D.S.T. ET LES R.G. CONFIRME A NOUVEAU
LE DEVELOPPEMENT DE L' ISLAMO-DELINQUANCE

Vols en bande dans le RER D
(Libération 09.01.2006)

Train Nice-Lyon : LES QUESTIONS


M. Chirac s'affiche à gauche pour sa fin de présidence
à lire : le rapport de la cour des comptes sur l'immigration
(doc. pdf)

ENDETTEMENT DE LA FRANCE
C'est pire que ce qu'on pouvait s'imaginer !
Le récent rapport Pébereau remis
au ministre de l'économie l'estime
à total de 2000 milliards d' €,
soit 120% du PIB


FACE A LA POLEMIQUE SUR LE PASSE COLONIAL DE LA FRANCE ET LA MEPRISABLE REPENTANCE DE CHIRAC
UN RAPPEL JUDICIEUX DE L'AFRICANISTE BERNARD LUGAN :

"En 1950, à la fin de la période coloniale, l'Afrique rassemblait 9% de la population mondiale et totalisait 7% du commerce planétaire;
en 2004, avec 14% de la population mondiale, sa part dans le commerce mondial est tombé à 2%."

Violences du train Nice-Lyon : la grande défausse (05.01.2006)

LA POLITIQUE D'IMMIGRATION
LUTTE CONTRE L'IMMIGRATION...
ENTRE FAUSSE DURETE ET VRAI LAXISME
MAIS TOUJOURS LA LANGUE DE BOIS POLITICIENNE

IMMIGRATION
A SANGATTE, MAGRE LA FERMETURE, LE TRAFIC CONTINUE

Chirac: Monsieur 1%....

Politiquement incorrect !
Qui a dit ?

CONFLITS ETHNIQUES : APRES LA FRANCE L'AUSTRALIE ? 09/12/2005

Parkings: soupçons en sous-sol

NAPOLEON
Paris, place vendôme, le 02.12.2005


COLONISATION : Les Français approuvent le rôle « positif »

1805-2005

IL Y A 200 ANS .... "LE SOLEIL D'AUSTERLITZ"
mais la "république" chirachienne préfère se répandre sur les banlieues ethniques plutôt que de célébrer l'événement !


La voix "très déviante" d'Alain Finkielkraut au quotidien "Haaretz"

"Racisme anti-blanc et anti-français : poursuites contre des rappeurs envisagées ...."

Emeutes : le calme est revenu !

BRUITS DE BOMBARDEMENT PREVUS SUR L'IRAN...

Moi m'excuser beaucoup...
Analyse non-conformiste de Maurice G.DANTEC

L'Iran pousuit sa course vers le nucléaire militaire

La sympathie pour les vandales est beaucoup plus répandue chez les bobos écolos qui font du vélo à Paris que parmi les automobilistes pauvres du 9-3

Emeutes ethniques et "bavures" policières.... Vous avez dit bavure !!
La Cour européenne de Strasbourg confirme en appel l'interdiction du foulard islamique dans les universités turques
vu d'Israël
Pour Fox News, des "insurgés musulmans" et une "société socialiste" 20minutes (10.11.2005)
"Une chance pour la France ?" ...
Ras le bol à Stains
Réaction de Jirinovski aux émeutes ethniques en france INTEGRATION DES IMMIGRES EXTRA-EUROPPENS:
L'ECHEC DU "MODELE FRANCAIS"
ET DE LA POLITIQUE DE N. SARKOZY ALIAS MONSIEUR VOITURES BRULEES

 


Banalisation des violences urbaines du fait de communautés extra-européennes et subversion sémantique par les médias


Quand le monde regarde la France...
02/11/05 - 228 véhicules ont été incendiés cette nuit en France dont 180 pour l'Ile-de-France.
02/11/05Les émeutes des banlieues sous le regard et l'analyse de la BBC

et le reste du monde ...éloquent


Deuxième nuit de violences et marche silencieuse à Clichy-sous-Bois
26/10/05 - Le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad déclare qu' "
Israël devait être "rayé de la carte"

RELIGIONS : LE FINANCEMENT EN QUESTION

18/10/05 - L'AFFAIRE DES H.L.M. DES HAUTS DE SEINE ET L'UMP 92:SCHULLER condamné à deux ans ferme, Balkany relaxé
INTERNET / avec GOOGLE EARTH ...TOUS ESPIONNES ?
ou une technologie militaire appliquée au civil

en pdf (972 ko)

Avec + de 500.000 entrées d'immigrés clandestins au sein de l'U.E. par an,
l'immigration clandestine avec un traffic estimé à 5 Milliards d'€ se situe au 3ème rang des activités de criminalité organisée après la drogue et les armes

( source: Service secret allemand)

INSECURITE,
LES STATISTIQUES POLICIERES SONT LOIN D'ENREGISTRER TOUTE LA DELINQUANCE :

1/3 SEULEMENT DES VIOLENCES PHYSIQUES FONT L'OBJET DE PLAINTES..."

LES FRANCAIS ET LES HOMMES POLITIQUES : LA RUPTURE
76% n'ont pas confiance dans leurs élus

( sondage Institut CSA pour Le Parisien 10/10/05 )

L'afflux d'immigrés force l'Europe à revoir sa relation à l'Afrique
(avec carte des routes)

L'INTERCOMMUNALITE, facteur de hausse de la fiscalite locale...

Immigration subsaharienne: L'Union Européenne impuissante à aider l'Espagne

Ces réseaux islamistes qui enrôlent des françaises converties...

"Manuel AESCHLIMANN est une petite honte pour la France"
communiqué de J.-M. Le Pen suite des parrainages de maires.

Les actes antifrançais listés sur Internet
1 500 attaques terroristes perpétrées depuis 1965 contre la France ou ses intérêts dans le monde sont consultables

sur les sites www.interieur.gouv.fr ou www.frstrategie.org

Les actes antifrançais listés sur Internet
1 500 attaques terroristes perpétrées depuis 1965 contre la France ou ses intérêts dans le monde sont consultables

sur les sites www.interieur.gouv.fr ou www.frstrategie.org


Direction Centrale des R.G.:
l ' Islam radical investit dans la mode ado


20% DE MUSULMANS DANS L'ARMÉE FRANÇAISE...


DU NOUVEAU A DROITE
VILLEPIN DEVANCE SARKOZY
(côte de confiance 48% contre 47% )
source"Baromètre du Figaro Magazine / Octobre 2005


Révision de la loi de 1905 :Sarkozy veut faire financer les mosqués sur fonds publics !


M. Sarkozy plaide à nouveau pour "un toilettage" de la loi de 1905


Hausse générale des impôts locaux
(15 septembre 2005)


Parrainage pour les présidentielles...les basses manoeuvres


URBANISME ET AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
L'ILE DE FRANCE REVISE SON SCHEMA DIRECTEUR POUR 2020

Le Monde 14.09.2005


REGION IDF : UN BESOIN EN LOGEMENTS ESTIMES A 20000
Le Monde 14.09.2005

 

 


 

21.11.2004 Drame à Asnières :
Hommage national pour Mickaël LEFEBVRE jeune gardien de la Paix, 28 ans, décédé des suites de ses blessures la semaine dernière...>>>

Braquage en plein centre ville


Inauguration très controversée de la mosquée,
25 rue l'abbé Lemire d'Asnières-sur-Seine
par M. Sarkozy et M. Aeschlimann,
des ramifications et des publications troublantes (14.10.2004) : voir articles et discours

et communiqué d'Hubert Massol


15.10.2004
ISLAM
Alors, combien de minarets ?
Alors que le ramadan commence ce matin, un nouvelle question agite la communauté musulmane de France. Après le voile, les lieux de culte. Un dossier qui est toujours au point mor
t... lire suite>>>


COMMUNIQUE


INAUGURATION EN CATIMINI DE LA NOUVELLE MOSQUEE A ASNIERES : N. SARKOZY VIOLE LA LOI DE 1905 !
Qu'en pense D. de VILLEPIN, Ministre de l'Intérieur... et des cultes ?


Asnières, le 10 octobre 2004

On apprend par la bande que le lundi 11 octobre 2004 à 11 h30 Nicolas SARKOZY, Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, Président du conseil général des Hauts de Seine, viendra déposer la première pierre de la nouvelle mosquée à Asnières, place de la République, acompagné principalement du recteur de la mosquée de Paris et de Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières...

La nouvelle ne devait pas s'ébruiter, d'ailleurs elle ne figure pas sur le site internet de la ville, ni même les élus d' Asnières n'ont été averti de cette inauguration pourtant organisée par le service des manifestations publiques de la Mairie, donc avec l'argent des contribuables ! Ce procédé discriminatoire et d'occultation manifeste envers la plupart des élus et donc de la population est déjà en soit un scandale de la part du premier magistrat de la ville.


En plus de son caractère semi- clandestin, cette inauguration faite par un membre du Gouvernement et des personnes responsables de collectivités locales et titulaires de mandats nationaux et locaux viole délibérément la loi républicaine de neutralité confessionnelle et cultuelle en apportant un soutien officiel à l'édification ( avec l'argent public ?) d'une importante mosquée.

En effet, ce nouveau centre coranique - dont le permis de construire vient d'être autorisé le 17 septembre dernier par le Maire, la hauteur prévue est de 12 m soit l'équivalent de 4 étages ! ( le dossier n'est , parait -il pas encore consultable en Mairie...) - se situe à peu de distance de la grande "salle du royaume" de la secte des Témoins de Jéhovah qui avait déjà soulevée une forte contestation lors de son ouverture en décembre 2003, d'où des problèmes de coexistence confessionnelle à prévoir dans un avenir proche, gouverner c'est prévoir !

Cette nouvelle affaire asniéroise , mue par des motivations électoralistes à courte vue et contraire à l'ordre public républicain, constitue un détournement de la loi doublé d'un excès de pouvoir. Cette dérive communautariste irresponsable risque fort d'ouvrir la boite de Pandore et si elle se généralise de provoquer, à plus ou moins brève échéance, la fin du " modèle français " d'intégration.

J'appelle tous les élus responsables, au delà de leur étiquette partisane à boycotter cette manifestation illégale qui s'apparente à une véritable forfaiture contre la loi républicaine.

Hubert MASSOL
conseiller municipal d'Asnières

 

 


Constitution Européenne
POURQUOI NOUS DISONS "NON" !
par Jacques Chirac


Jacques Delors : "Un plan B en cas de NON"
Le Monde 12.05.2005


le Vatican avait officiellement "regretté" l'absence de mention des "racines chrétiennes" de l'UE dans la nouvelle Constitution européenne


Chasse au faciès :
il s'agissait d'agressions de type raciale !

(Manifestations lycéennes)

Affarire BOLKENSTEIN


FRANCE : suicide, mode d'emploi !



ELECTIONS MUNICIPALES : REPORT EN MARS 2008 ?"


Aggravation des violences urbaines en 2003
(note des R.G.)


Le diagnostic de M. Camdessus : "L'économie française décroche"


La Cour des comptes
juge la politique d’immigration


Alimentation de masse: surveillez vos assiettes (risque sanitaire ?)


Sondage: 75% des Français opposés à l'adhésion de la Turquie à l'UE


Un site islamiste diffuse les images de la décapitation de deux otages en Irak


Vidéosurveillance : le plan des collèges enterré


 

 


voir article Présent des 13 et 14 octobre 2004

Quand la mosquée publiait des textes extrémistes
voir article du Parisien du (14.10.2004)
(actualités)

voir discours de Nicolas Sarkozy lors de l'inauguration de la mosquée

Recours en excès de pouvoir

Le Tribunal administratif de Paris annule la décision de la commune d'Asnières-sur-Seine de refus de publication d'un texte d'Hubert MASSOL, conseiller municipal, dans "ASNIERES-INFOS-MAGAZINE" de mars 2003.

Sur requête introduite le 18 juin 2003 par Hubert MASSOL et par jugement en date du 29 septembre 2004, le Tribunal administratif de Paris a décidé :

 

Article 1er : Le refus de publier dans la livraison du mois de mars 2003 du bulletin "Asnières Infos Magazine" le texte adressé par M. MASSOL par courrier électronique le 4 février 2003 à la commune d'Asnières-sur-Seine est annulé.

Article 2 : La commune d'Asnières-sur-Seine publiera le texte envoyé par M. MASSOL le 4 février 2003 dans la prochaine édition du bulletin "Asnières Infos Magazine", en sus du texte dont le groupe "Rassemblement populaire et français pour Asnières" pourrait demander la diffusion dans cette livraion au titre de l'article L.2121-27 du code général des collectivités territoriales et de l'article 27-1 du règlement intérieur du conseil municipal.

Article 3 : les conclusions présentées par la commune d'Asnières-sur-Seine sur le fondement de l'article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées.

Article 4 : Le présent jugement sera notifié à M. MASSOl et à la commune d'Asnières-sur-Seine. Copie en sera adressée au préfet des Hauts-de-Seine.


PARKING SOUTERRAIN :
DE LA TRANSPARENCE AVANT TOUTE CHOSE

Dernière minute :
Conseil municipal du 29.09.2004
le Maire ajourne son projet !

Loin d’être opposé au principe d’un parking en centre ville, je dénonçais dans ma tribune précédente, le seul caractère bâclé et l’opacité de la méthode. Suite à ces observations et au recours en excès de pouvoir introduit par un administré ( irrégularités dans le délai de l’enquête publique et la nomination du commissaire enquêteur), Monsieur AESCHLIMANN a dû retirer ex abrupto son projet lors du Conseil municipal perturbé du 29/09/04 (cf. Le Parisien des 30/09 et 1/10). De surcroît, aucune étude environnementale ou financière n’était annexée au dossier.

Loin des polémiques inutiles, nos remarques étaient donc bien fondées. Nous restons toutefois vigilants et je propose que les chefs de groupes soient associés au nouveau projet.

voir texte du recours pour excès de pouvoir


Empoignade au conseil municipal hier soir (29.12.2004)

Nouveau scandale du parking du centre ville ( place A. BRIAND

ASNIERES : Parking du centre : 816 000 € pour une construction fantôme

ASNIERES INFOS " CONDAMNE EN APPEL POUR DIFFAMATION ( lire extrait de l'arrêt...) "

Fausses factures : Journal de la Mairie
=
=> voir article Le Parisien du 07.07.2004

1er juin 2004 13H30 / 14ème chambre correctionnelle TGI de NANTERRE:

Manuel AESCLIMANN, député-maire
débouté de sa plainte pour diffamation
contre
Hubert MASSOL, conseiller municipal
( demande de
100.000 € de dommages et intérêts et d' inégibilité à la clef suite à la distribution d'un tract dénoncant l'implantation de sectes sur ASNIERES ! ) .... pour la 2ème fois après une première tentative au civil par voie de requête en référé.

Manuel AESCHLIMANN, député-maire d'ASNIERES-SUR-SEINE renvoyé devant le Tribunal correctionnel !

EXCLUSIF :

"Les rapports de la police municipale"

Copies intégrales des rapports " internes" de la Police Municipale d' Asnières ou les infractions à la loi de Francis POURBAGHER, directeur de cabinet de Manuel AESCHLIMANN et du médiateur ECH CHETOUANI... " (format html)

(voir également mon intervention au conseil municipal en 2001, lors de l'implantation des premières caméras)


TRACTS ANONYMES ET DIFFAMATIONS (suite) :

DERNIERE: Manuel .AESCHLIMANN DEPUTE-MAIRE RENVOYE EN CORRECTIONNELLE, SUITE A DES TRACTS ANONYMES ET DIFFAMATOIRES, PAR UN ARRET DU 18 FEVRIER 2004 DE LA CHAMBRE CRIMINELLE DE LA COUR DE CASSATION ... " (pdf : 304 ko)


ILS SE PRENAIENT POUR DES POLICIERS :

voir l'article de F. Tassel (Libération du 06.04.2004)



selon un article du Figaro du 16 mars 2004:

Efficacité de la police :

Asnières classée avant-dernière en Ile-de-France !

"...D'autant qu'Asnières-sur-Seine, l'autre circonscription de police (ndrl : avec Boulogne-Billanchourt) de plus de 100 000 habitants de ce département, se retrouve également dans le peloton de queue en matière de réussite, avec un taux d'élucidation qui passe de 17,67% en 2002 à 19,02% en 2003. Ce qui la place juste avant Gentilly (Val-de-Marne), dernière des dernières au palmarès de l'efficacité policière en Ile-de-France, avec un taux équivalent à celui de Toulouse."


-->>> voir aussi JDD du 15.02.2004 <<<--

La Brigade financière perquisitionne la Mairie d'Asnières
<<< voir les articles des jounaux :

<<< Libération (30.01.2004) >>>

<<< Le Parisien (28.01.2004) >>>

<<< Libération (27.01.2004) >>>

<<< Le Monde (27.01.2004) >>>




Par ordonnance de référé rendu le 12 décembre 2003 à Nanterre, le tribunal déclare nulle l'assignation délivrée contre Hubert MASSOL à propos d'un tract distribué en ville et mis en ligne sur ce site dénonçant l'implantation des Témoins de Jéhovah sur Asnières.

Pour mémoire, Manuel AESCHLIMANN via Maître TUBIANA avait demandé 100 000 € de dommages et interêts + astreintes journalières + frais contre Hubert MASSOL
!


  • Mise en garde de la population - communiqué d'Hubert Massol

LES TEMOINS DE JEHOVAH S'IMPLANTENT A ASNIERES !

Nouvelle censure municipale

La tribune de Hubert Massol intitulée "Insécurité : réalités des chiffres", prévue dans le n° d'Asnières Info 244 du mois de novembre a été curieusement supprimée sous prétexte que le texte avait été remis lundi 6 octobre au lieu de Samedi 4 avant minuit !

voir texte

DROIT DE REPONSE d'Hubert MASSOL
(censuré dans ASNIERES-INFOS octobre 2003)

Monsieur le directeur de la publication

Etant mis en cause personnellement et d’une façon outrancière dans un article non signé, intitulé « Réponse à la tribune 3 » dans « Asnières-Infos » n° 242 de septembre 2003, je demande en vertu de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, la mise au point suivant, – texte à insérer en même place et caractère, sans coupure ni intercalation, dans la prochaine édition mensuelle d’ « Asnières-Infos » d’octobre 2003, n° 243 – faute de quoi je me verrai dans l’obligation de procéder en urgence par voie d’insertion judiciaire :

Au delà de la polémique politique et du débat d’idées que j’accepte en tant qu’élu municipal, je ne saurai tolérer des invectives personnelles sans fondement et d’être systématiquement raillé avec condescendance sur mes compétences et mes scores électoraux avec des qualificatifs insultants tels que « (…) pauvre Monsieur MASSOL » … « qui a trahi son leader à la première occasion… » etc.

Je considère cette attitude récidiviste comme infamante à mon égard et indigne d’être cautionnée par le 1er magistrat de la ville qui outrepasse son rôle en se faisant donneur de leçons envers un citoyen qui ne se sent inféodé, dans ses convictions, à aucun parti, mais qui, depuis près de 40 ans est toujours resté fidèle à ses idées, bénévolement et sans aucune préoccupation de carrière politique personnelle.

haut de page


hubert@massol.org

La tente rouge du Député-Maire...

Désireux de faire parler de lui, sans doute, ( cf. LE PARISIEN du 22/09/03 : « Les politiques versent dans la pub ») et de redorer son image en prévision des prochaines élections en 2004, Manuel AESCHLIMANN verse dans le micro-événementiel en recevant sous une tente et « communique » massivement – avec l’argent du contribuable – sur la supposée baisse de l’insécurité que connaîtrait notre ville.

Face à la politique éhontée de Manuel Aeschlimann d'affichages, de démagogie et de gabegie de nos finances publiques, nous lançons une campagne de sensibilisation auprès de tous les Asnièrois en cette période d'austérité !

AFFICHES PAYEES
avec
NOS IMPÔTS ?

Connectez-vous sur www.massol.org

Pour ne plus se tromper !

haut de page

Dernière minute :
une campagne insidieuse par voie d'affichage et anonyme vient d'être lancée en réponse contre Hubert Massol, conseiller municipal, visant son éventuelle inéligibilité. Nous aurons l'occasion de revenir très prochainement sur ces allégations et les motivations réelles des commanditaires de cette soudaine publicité !

suite, voir photos>>>

haut de page


Insécurité à Asnières : infos ou intox ?

Manuel Aeschlimann diffuse massivement par voie de tracts - et toujours avec l'argent du contribuable - un communiqué sur une supposée baisse des chiffres de la délinquance, suite à son action et qui, comme il affirme, auraient été transmis par le Ministère de l'Intérieur.
Or, après vérifications, il apparaîtrait que les chiffres invoqués soient fantaisistes. En effet, il n’existe pas de décompte officiel au niveau municipal consultable auprès du Ministère de l’Intérieur ! De plus, aucune période de référence n’est indiquée pour donner un semblant de crédit à ces fanfaronnades électoralistes. Ces chiffres incohérents semblent être sortis directement, à des fins de propagande, du bureau de Monsieur AESCHLIMANN. Pour sa part, Monsieur RAFFARIN reconnaît une hausse de la délinquance de plus de 10 % depuis cinq ans au niveau national…

haut de page


Insécurité toujours : A court d'arguments le Maire se réfugie dans une fausse indignation et traite de faux un document dont il est lui-même l'auteur, Hubert MASSOL n'ayant fait que contester ces chiffres. De quel côté est la supercherie ?
voir le tract du Maire >>>

haut de page

Repli communautaire :
le rapport des R.G. qui inquiète
(06.06.2004)


Impôts en baisse à Asnières ?


Chirac réaffirme son refus d'une référence au christianisme dans la future constitution de l'Union Européenne...


Chiffres de l'Immigration: le grand flou statistique (le Figaro du 7.05.2004)


Immigration :
+ 36 % les chiffres sortent après les élections


Drogue et jeunesse


10% des mosquees en île de France sont aux mains des islamistes


Les pauvres en hausse


selon le
"Nouvel Observateur"

6.03.2004

En Baisse

Manuel Aeschlimann, maire UMP d’Asnières
Son prédécesseur à la mairie, Franz Taittinger, a été mis en examen pour une subvention de 200 000e «touchant les services de communication» qui intrigue un juge de Nanterre. A l’époque, Manuel Aeschlimann était premier adjoint et responsable du service de communication.


M. Raffarin reconnait une hausse de la délinquance de plus de 10% depuis cinq ans au niveau national.
M6 - 21.09.2003


autres brèves


Elections Cantonales et Régionales des 21 et 28 mars 2004
Inscrivez-vous sur les listes électorales avant le 31 décembre 2003.
art. R 3 du Code électoral


 

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