
Georges
Seurat
Baigneurs à Asnières |
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Plainte
pour faux et usage d'une note des RG présumée
falsifiée
FIL
AFP PARIS, 15 déc 2006 (AFP) -
Un
chef d'entreprise a déposé plainte mardi
au tribunal de Paris pour "faux et usage de faux",
estimant qu'une note des Renseignements généraux
(RG) falsifiée aurait été utilisée
par la mairie d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
dans une campagne de diffamation.
Selon
la plainte, après "une campagne de presse
(...) lancée à l'encontre de Mayetic et
son président, dénonçant leur prétendue
affiliation à une secte", la société
a connu "de graves difficultés".
Contacté
par l'AFP, le maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann,
a réfuté ces accusations. Il admet avoir
eu en main deux notes, mais il ne les a en aucun cas communiquées
à la presse, affirme-t-il, précisant: "les
deux notes m'ont été fournies par la DCRG
après leur parution dans la presse".
La
plainte contre X avec constitution de partie civile a
été déposée par Bruno de Beauregard,
président de l'ex-société de télétravail
Mayetic liquidée en décembre 2005, et ex-habitant
d'Asnières proche de l'opposition municipale.
La
"secte" serait la fondation reconnue d'utilité
publique Ostad Elahi, qui promeut les "principes
éthiques et sociaux" du philosophe kurde iranien
éponyme "sur le concept du spirituel et les
droits et devoirs de l'homme", selon un arrêt
de la cour d'appel de Versailles.
La
Miviludes (Mission interministérielle de vigilance
et de lutte contre les dérives sectaires) a confirmé
son caractère non sectaire en octobre, relevant
néanmoins un "communautarisme exacerbé".
Plusieurs organes de presse, citant deux notes RG datées
des 7 et 29 septembre 2005, avaient publié fin
2005 des articles prétendant que la fondation présentait
des dérives sectaires.
Fin
avril 2006, la commission consultative du secret de la
défense nationale (CCSDN) avait déclassifié
la note RG datée du 7 septembre 2005. Dans une
lettre de juillet 2006, le ministre de l'Intérieur
Nicolas Sarkozy indiquait ensuite que "la DCRG (Direction
centrale des renseignements généraux, ndlr)
n'a (...) identifié aucune deuxième note"
portant sur la fondation Elahi.
Ainsi,
déduit le rédacteur de la plainte, la note
RG du 7 septembre 2005 "constitue la seule et unique
note de ce service concernant la fondation" et cela
"conduit à penser que la note de la DCRG du
29 septembre 2005 constitue un faux".
Selon
le même document, "la distribution de deux
notes par la mairie d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine,
ndlr) entre les mains de journalistes est aujourd'hui
confirmée par plusieurs organes de la presse"
(Le Monde, Marianne, L'Express). Ce que nie, donc le maire
d'Asnières, interrogé par l'AFP.
mba/ed/il/nd
AFP
|
Affaires en cours
COLLUSION
MAGISTRATURE ET POLITIQUE ?
MANUEL AESCHLIMANN, DEPUTE MAIRE D'ASNIERES ET SON STAFF
SURPRIS AU RESTAURANT DU CONSEIL GENERAL
DES HAUTS DE SEINE AVEC LE PRESIDENT DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF
DE VERSAILLES...
( à voir, en exclusivité
sur le site www.massol.org, les autres photos de l'insolite
rencontre et les échos dans la blogosphère
asniéroise )

Photo © h. massol Tous droits réservés
LIRE
EGALEMENT , REPRIS PAR LES AUTRES SITES ASNIEROIS
Société
Quand
un juge passe à la table du maire d'Asnières
Une
photo immortalise l'édile déjeunant avec
le magistrat alors que la ville est en pleine polémique
procédurière.
Par
Renaud LECADRE
LIBERATION jeudi 30 novembre 2006
Le Ruban Bleu, restaurant du conseil général
des Hauts-de-Seine (présidé par Nicolas
Sarkozy), est très couru. Lundi midi, Manuel
Aeschlimann, maire d'Asnières et conseiller du
président de l'UMP, déjeunait en compagnie
de Gérard Corouge, président du tribunal
administratif. Un photographe amateur, fils d'un élu
MNR, a immortalisé la scène. Dans la foulée,
les opposants au sein du conseil municipal d'Asnières
(PS et divers droite) rédigeaient un «appel
au président de la République»,
en vue de faire «respecter le principe de la séparation
des pouvoirs».
Suspicion. Plus de cent cinquante délibérations
municipales de la commune d'Asnières, paralysée
par les procédures judiciaires en tout genre
( Libération du 27 novembre), sont actuellement
contestées devant le tribunal administratif de
Versailles. Suite à ce déjeuner, l'opposition
entend introduire une requête en suspicion légitime
contre le président du TA. Selon Aeschlimann,
ce déjeuner était purement protocolaire,
sans aborder les procédures judiciaires en cours
: «D'autres élus que moi déjeunent
régulièrement avec des magistrats, ou
les croisent dans des cocktails. Ces magistrats ne sont
pas interdits de relations publiques.» Le principal
intéressé, Gérard Corouge, promu
au printemps dernier à la présidence du
tribunal administratif de Versailles, met également
les choses au point : «J'ai des contacts avec
tout un tas de décideurs locaux, mais nous ne
sommes pas dans une République bananière.
Cela fait partie de mon boulot : relancer nos gros clients,
comme la mairie d'Asnières, les asticoter afin
qu'ils respectent les délais.»
Polémique. Le président Carouge, qui personnellement
ne juge aucune des procédures de la mairie d'Asnières,
se définit comme «l'emmerdeur» de
service, simplement soucieux de faire tourner sa juridiction.
Aeschlimann, reconnaissant que la polémique est
«de bonne guerre», retourne le compliment
: «Qu'aurait-on dit si moi, le mal incarné,
j'avais fait photographier mes opposants au restaurant
?»
Le déjeuner
qui révolte l'opposition municipale
Asnières
LE
COMBAT ne cesse décidément jamais à
Asnières. Depuis mardi, c'est un déjeuner
partagé par Manuel Aeschlimann, le député-maire
d'Asnières (UMP) avec un magistrat du tribunal
administratif de Versailles, mardi au restaurant du
conseil général, qui provoque l'émoi.
Et même une véritable fronde de la part
des opposants municipaux qui s'apprêtaient hier
à solliciter Jacques Chirac en personne.
Dans
un « appel au président de la République
», les opposants, toutes tendances politiques
confondues, lui demandent « d'intervenir afin
que soit respecté le principe de séparation
des pouvoirs, fondamentale pour les garanties du citoyen
asniérois ».
«
Ah, parce que je n'ai plus le droit de déjeuner
avec un magistrat asniérois ? », s'indignait
Manuel Aeschlimann hier soir. « La séparation
des pouvoirs judiciaire et politique est un fondement
de la République, et ce déjeuner peut
le remettre en cause », s'insurge de son côté
l'un des signataires de l'« appel au président
de la République », le socialiste Sébastien
Pietrasanta. Les élus de l'opposition (PS, UMP,
UDF, DVD) « s'interrogent sur le risque réel
de partialité objective ». « Si le
maire avait déjeuné seul avec ce magistrat,
cela aurait pu être anodin, ajoute Francis Pourbaghere,
l'ancien directeur de cabinet de Manuel Aeschlimann
remercié voici quelques semaines et passé,
depuis dans l'opposition. Mais avec la présence
du directeur général des services et son
adjoint, on ne me fera pas croire que ceci n'est pas
en lien avec les affaires. »
«
Tout cela devient hallucinant »
Rappelons
que des dizaines de procédures de recours contre
les délibérations du conseil municipal
sont traitées par le tribunal administratif.
Sans compter la contestation par Francis Pourbaghere
de son propre licenciement, les recours contre le parking
municipal, etc. « Tout cela devient hallucinant,
commente Manuel Aeschlimann, mais ceci caractérise
fort bien les méthodes de l'opposition asniéroise
», qui, selon ce dernier, espionnerait littéralement
le moindre de ses déplacements. Deux de ses détracteurs
l'auraient « suivi » jusqu'à ce restaurant
situé au dernier étage d'un bâtiment
du conseil général, avant de le surprendre,
avec ses convives, à la sortie du Ruban bleu.
Tels des paparazzi, ces opposants auraient alors mitraillé
le groupe de photos. « Nous avons déposé
une main courante au commissariat », précise
Manuel Aeschlimann.
Valérie
Mahaut
Le Parisien , mercredi 29 novembre 2006
|
SECURITE...
Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire...
Constat d'un administré
du quartier Voltaire à Manuel AESCHLIMANN
Jean-Claude
EUDES
|
à
Monsieur le Maire d’Asnières
place de l’Hôtel de Ville
92600
ASNIERES 92600 ASNIERES |
le
20 novembre 2006
Monsieur
le Maire,
Je me réfère à vos dérives
sécuritaires et vos statistiques farfelues y relatives.
Nous
sommes un petit immeuble de dix appartements et nous nous
connaissons tous. Depuis quelques semaines nous avons
été victimes d’infractions, l’un
d’un cambriolage, un autre -moi, en l’occurrence
- d’une agression nocturne à domicile, et
, la semaine dernière, de la dégradation
et du vol de correspondances . Trois victimes.
Pour
grèver le budget asniérois, vous savez vous
y entreprendre. Par exemple, pour communiquer sur format
A3 recto-verso, distribué par La Poste, afin de
nous dire que tout va bien en matière de sécurité
grâce à vous.
Vous
savez entretenir de juteux marchés avec les caméras
de vidéosurveillance tout en laissant, place Voltaire,
un groupe de trafiquants de cannabis se livrer à
leur commerce tout aussi lucratif qu’illicite, en
toute impunité.
Alors,
Monsieur le Maire, pouvez-vous me dire, concisément
et solennellement, comment vous comptez agir pour remédier
aux actes de petite délinquance qui ennuient quotidiennement
vos administrés.
Avec
mes remerciements pour une réponse prompte, veuillez
agréer, Monsieur le Maire, l’expression de
ma considération.
Copie
: Monsieur Michel BART, Préfet des Hauts-deSeine
Monsieur
Mathieu FABIANI, Commissaire divisionnaire
Monsieur
Yves LAFOURCADE, Police Municipale
Monsieur
Jack DAUPHIN, Maire-adjoint
Messieurs
BERARD de MALAVAS, CASARI, MARTIN SAINT LEON, MASSOL, SEMOUN,
Conseillers municipaux
|
Insécurité,
la série continue...
encore une
voiture brûlée et un local déterioré
dans le quartier des Courtilles
Heureusement
que la Mairie nous rabache - par pure coîncidence
? - dans son bulletin municipal de novembre 2006,
doublé d'un coûteux mailing ( format A3 recto
-verso), le tout adressé à l'ensemble et
aux frais des Asniérois, que l'insécurité
baisserait fortement sur Asnières...
Quelques exemples, non limitatifs, qui apportent un démenti
catégorique à l'optimisme de facade qui
prévaut en Mairie en ce qui concerne les questions
d'insécurité :
- 11 novembre 2006 vers 22 h 00 :
On nous signale qu'une voiture appartenant à la
Régie de quartier et faisant suite à l'incendie
des locaux de cette association en juillet dernier, a
encore brûlé dans le quartier des Courtilles.
Deux personnes auraient été interpellées
par la police municipale et nationale...
-
14 novembre 2006 :
Toujours dans le quartier des Courtilles, dans la nuit,
la structure municipale "Trait d'Union" ( sic
! ), située Place Le Vau a eu ses vitres brisées
par des jets de pierre.
Ces actes de vandalisme ont une fâcheuse tendance
à se multiplier cette année dans le quartier
des Courtilles, notamment ( et surtout ? ) en dépit
du discours lénifiant, autosatisfait, genre "langue
de bois" qu'accoutume en la matière Manuel
AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières.
A croire qu'il ne connait pas sa ville, ni sa circonscription...Au
fait, à quoi servent donc concrètement les
dispendieuses caméra de vidéosurveillance
qui quadrillent la ville et annoncées comme élément
déterminant dans la lutte contre la délinquance
?
|
Du
côté des nantis de la " République
" et de la " France d'en haut " :
Manuel
AESCHLIMANN, un député fantôme ? ...
(
Voir, classement paru dans L'Express du 28/09/2006 )
Sur 577 députés que compte l'Assemblée
Nationale, Manuel AESCHLIMANN,
Maire d' Asnières et député de la 2
ème circonscription des Hauts-de-Seine
se
fait une haute idée de son mandat. En effet, celui-ci
avec seulement 3 interventions effectuées depuis
son élection,est
classé dans le peleton de queue des députés.!
Et dire qu'il va avoir le
toupet de se représenter aux législatives
en 2007 !
Députés Nombre d'interventions en séance
(de janvier 2004 au 13 mai 2006)
Manuel Aeschlimann UMP Hauts-de-Seine 3
http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/assembleenat/
dossier.asp?ida=451849&p=2
|
ON
NOUS FAIT PARVENIR :
12/11/06
- COMMUNIQUE DE PRESSE
Asnières
s/Seine - statue du monuments aux morts de l’Hôtel
de ville :
une
gerbe déposée sans l’accord de tous
les anciens combattants
Le
11 novembre 2006, lors de la cérémonie d’inauguration
du nouvel emplacement très controversé de
la statue du monument aux morts, il a été
procédé - en présence du député-maire
d’Asnières, Manuel AESCHLIMANN, à
un dépôt sauvage de gerbe annoncé
verbalement au nom de la F.N.A.C.A.
Le comité d’Asnières de la F.N.AC.A.
tient à élever une solennelle protestation
contre cet agissement malhonnête moralement et constitutif
d’une usurpation de titre caractérisée
émanant de la municipalité.
D’autant plus que la F.N.A.C.A.,
ainsi que d’autres associations d’anciens
combattants sont fermement opposées à ce
déplacement abusif du monument aux morts qui porte
atteinte à la mémoire des morts de la commune
et à l’environnement du site.
Nous rappelons que ce transfert précipité
de la statue a été effectué en vue
de la construction d’un parc de stationnement souterrain
devant la poste, alors que la procédure a été
récemment annulée par la Justice en appel
sur demande du Préfet et que des recours, déposés
par des élus pour entorse à la loi dans
l’attribution de marché public, sont toujours
à l’instruction.
Comité
F.N.A.C.A d’ ASNIERES S/Seine
|
La presse locale n'en fait même
plus état...
DELINQUANCE
ET INSECURITE SUR LA VILLE, CA S' AGGRAVE
ASNIERES
- Nord - quartier des Courtilles
et
"Asnières infos" qui continue de nous
distiller imperturbablement le scandaleux mensonge de
la supposée baisse générale de la
délinquance depuis 2001... sic ! ( date du début
de la mandature de Manuel Aeschlimann )
- cf. journal de la Mairie dans sa livraison de novembre
2006 n° 247, consacrée à la "sécurité",
voir l'éditorial du Maire, désolant d'autosatisfaction,
et sequitur pour des chiffres et courbes des délits
pour le moins discutables -
On nous signale - à la suite de la recrudescence
des braquages des commercants, de la destruction récente
de la régie de quartier, des incendies de voitures
et de poubelles quasi-quotidiens à Asnière-
Nord ( rebaptisé récemment et plus pompeusement
pour des raisons de basses spéculations immobilières
par la Mairie "les hauts d'Asnières"
! ) que l'unique parc pour enfants situé dans le
quartier des Courtilles, situé près de la
piscine, a brûlé dans la soirée du
dimanche 05 novembre 2006. La police et les pompiers dépêchés
sur les lieux du vandalisme ont découverts une
voiture model 104 qui brulait a l intérieur du
parc, plusieurs habitants auraient même entendu
des explosions !
Quartiers abandonnés par les pouvoirs publics,
livrés à la pègre locale, aux traffics
illicites, aux sectes et devenus des zônes de non-droit
pour leurs habitants quoique puissent dire les batteleurs
politiciens, a fortiori en période électorale...
|
Les quartiers
nord, un enjeu des prochaines élections
Asnières
LEURS NOMS résonnent comme autant de contestations
: Courtilles, Mourinoux, Freycinet... les quartiers nord
d'Asnières sont aujourd'hui l'objet de toutes les
attentions préélectorales.
Et
pour cause, à cet endroit vivent près de
25 000 habitants de condition modeste, soit un peu moins
d'un tiers de la population asniéroise : un creuset
important d'électeurs potentiels à convaincre
en vue des prochaines élections locales. Les politiques
locaux l'ont compris. Du coup, cette partie du territoire
communal est particulièrement bichonnée.
C'est ainsi qu'une poignée de jeunes repentis des
dernières violences urbaines, emmenée par
un employé municipal, s'est retrouvée à
appeler les habitants au pied des cités pour les
inciter à aller voter aux prochaines élections,
il y a quelques jours. Mais le petit jeu de séduction
agace les gens du quartier, qui ne tardent pas à
répliquer. A coup de tracts, Rachid Chetioui et
Martial Makosso, deux citoyens des Courtilles, appellent
à faire barrage à cette manoeuvre qu'ils
estiment destinée à récupérer
le vote communautaire : « Avec une forte population
d'immigrés, nous sommes ciblés selon notre
appartenance ethnique, religieuse ou sociale... Une politique
menée afin de satisfaire chaque groupe selon ses
intérêts, on manipule les électeurs.
Stop au communautarisme, tous ensemble, refusons la relation
clientéliste du citoyen en fonction de ses origines
ou de ses appartenances. »
Et
de dénoncer : « La régie de quartier
a été incendiée, et ça continue
avec les feux de voitures... en réponse, on promet
un local pour les jeunes pour éviter le pire...
quel avenir pour nos enfants ? » Les deux citoyens,
qui sont rompus aux campagnes électorales - ils
ont soutenu Mohamed Bentebra, un proche de Francis Pourbagher,
ex-directeur de cabinet, aux dernières cantonales
- mais en sont aussi revenus, n'ont pas encore décidé
vers quel candidat ils porteront leurs voix. Mais si la
mobilisation prend forme, les quartiers nord risquent
de créer la surprise lors des prochaines élections.
Marisa
Faion
Le Parisien , samedi 04 novembre 2006
Rachid
Chetioui et Martial Makosso, deux citoyens natifs des
Courtilles, entendent faire peser le vote des quartiers
nord dans la balance des prochaines élections.
Ils seront dimanche à partir de 10 heures sur le
marché des Quatre-Routes.
(LP/MARISA FAION.)
|
EXCLUSION
SANS EXPLICATION OFFICIELLE A L' UMP...
LAURENT MARTIN SAINT- LEON
"PAYE" SON OPPOSITION AU MAIRE ACTUEL DANS L'AFFAIRE
DU PARC DE STATIONNEMENT SOUTERRAIN EN CENTRE VILLE
POLITIQUE
L'UMP
exclut deux élus d'Asnières
DEUX
ÉLUS d'Asnières ont été exclus
de l'UMP. Laurent Martin Saint Léon,
conseiller municipal d'Asnières-sur-Seine, ainsi
qu'un autre ancien adjoint au maire, Olivier Chazoule,
ont été exclus du parti suite à un
vote du comité départemental lors de sa
réunion du samedi 21 octobre 2006. Laurent Martin
Saint Léon, qui a été suspendu de
l'UMP en mars 2006 alors qu'il était candidat au
poste de délégué de circonscription
dans le cadre des élections internes au mouvement,
indique « qu'à aucun moment il n'a été
informé de l'éventualité de cette
exclusion, pas plus qu'il n'a été auditionné
préalablement par les instances de l'UMP alors
que cela est expressément prévu par les
statuts.
» Ancien adjoint au maire débarqué
en décembre 2004 pour s'être opposé
au limogeage de cinq élus de la majorité
municipale réintégrés depuis, Laurent
Martin Saint Léon a créé son propre
groupe Asnières Républicain au conseil municipal
d'Asnières.
LE
PARISIEN du 27 octobre 2006
|
ARTICLE
AFFLIGEANT DE FLATTERIES ET DE DEMESURES A PROPOS DU "
BINATIONAL" MANUEL AESCHLIMANN DANS LE JOURNAL "LE
TEMPS" (JOURNAL SUISSE) ...
Les Asniérois apprécieront
leur éventuelle "compatiblité hèlvétique"
(récente grève des éboueurs et saleté
chronique de la ville, insécurité croissante,
faillite du petit commerce, inflation de procédures,
crise de la majorité municipale etc.)
Le
Temps – 27 octobre 2006
«Nicolas
Sarkozy doit quitter le gouvernement au plus vite»
FRANCE.
Originaire du canton de Berne, Manuel Aeschlimann est
un expert de l'image et des sondages. Il est aujourd'hui
conseiller du ministre de l'Intérieur. Rencontre
avec un stratège qui affûte ses armes en
vue de la campagne présidentielle.
Les
échiquiers qui ornent son vaste bureau de la mairie
d'Asnières, en banlieue parisienne, annoncent la
couleur: le maître des lieux est avant tout un cérébral.
Mais Manuel Aeschlimann, conseiller de Nicolas Sarkozy
dans les arts délicats du suivi de l'opinion et
de la maîtrise de l'image, nourrit aussi une passion
plus discrète pour la Suisse, sa terre ancestrale.
«Je
suis binational, mon père vient
de la région de Berne», explique ce quadragénaire
qui, en coulisses, joue un rôle clé dans
la campagne présidentielle. «Depuis
2002, j'ai souhaité me rendre plus souvent en Suisse
et je suis allé à Montreux, Genève,
Gstaad... j'ai dû me contenter de regarder les chalets,
parce que les prix sont assez «hard». La propreté,
l'état d'esprit suisse, c'est tout ce que j'aime.»
Les valeurs de l'Helvétie sont donc parfaitement
«sarko-compatibles».
Dans
sa commune d'Asnières, Manuel Aeschlimann a élevé
la communication au rang de science presque exacte: il
envoie des publications taillées sur mesure aux
femmes, aux 18-25 ans, aux retraités. Il consulte
les gardiens d'immeubles et les associations de locataires.
Son discours «chirurgical» vise un électorat
individualiste, qui ne vote plus en fonction de grandes
idéologies mais d'enjeux précis.
Armes favorites
A
l'échelle nationale, cette stratégie du
«vote sur enjeu» pousse désormais Nicolas
Sarkozy à intervenir sur des sujets comme l'agriculture,
l'environnement ou le logement. «L'objectif n'est
pas de faire plaisir à tout le monde, mais de parler
à tout le monde», précise Manuel Aeschlimann.
Cette méthode risque cependant de donner au candidat
un air opportuniste et fluctuant. Pour y parer, il faut
avoir «des éléments programmatiques
plus fermes»: dans le cas de Nicolas Sarkozy, un
discours musclé sur l'ordre et la sécurité.
Sur ces thèmes, «son image est faite, il
n'y a plus rien à y ajouter», estime Manuel
Aeschlimann. Il croit même que Nicolas Sarkozy devrait
quitter le gouvernement «le plus tôt possible».
Pour
éviter les effets négatifs de nouvelles
violences dans les banlieues, mais aussi pour rendre audible
le reste de son message: «Aujourd'hui, il souffre
d'un manque de lisibilité programmatique parce
que, quoi qu'il dise, c'est toujours son statut de ministre
de l'Intérieur qui domine.» Manuel Aeschlimann
pense que les débats décisifs auront lieu
dans les ultimes semaines de la campagne présidentielle,
et il affûte déjà ses armes favorites
en prévision de ce moment.
La
première, ce sont les sondages qualitatifs qui
mesurent l'état d'esprit de petits groupes d'électeurs.
Ils ont permis à Manuel Aeschlimann - et Nicolas
Sarkozy - de prédire l'échec de la Constitution
européenne au référendum de mai 2005.
L'autre
arme, c'est un esprit d'analyse impitoyable, entraîné
par une longue pratique des échecs. «Après
mon bac, j'aurais pu devenir joueur professionnel, mais
j'ai choisi d'être sérieux en étudiant
sciences po et droit», raconte le conseiller. Son
heure de gloire échiquéenne est une partie
nulle arrachée au grand champion Boris Spassky.
«Les échecs permettent de rester zen, de
ne pas réagir impulsivement aux attaques: dans
ce jeu, tous les coups sont légitimes et il faut
s'y préparer.»
En
bon adepte de la raison pure, Manuel Aeschlimann estime
que l'euphorie et l'excès de confiance sont les
pires ennemis des candidats, comme aux échecs:
«C'est lorsque vous êtes dans une logique
de conquête que vous risquez le plus d'être
battu.» Nicolas Sarkozy est prévenu: pour
gagner, il lui faudra faire preuve, ces six prochains
mois, d'une prudence de Sioux. "
Manuel
Aeschlimann interviendra le 27 octobre aux Journées
de la communication de Bienne. Rens. au 032/ 327 57 90
ou sur http://www.comdays.ch
"La
région paie, mais n'est jamais invitée aux
inaugurations"
Jean-Paul
Huchon, président socialiste du conseil
régional, est passablement furieux vis-à-vis
du député maire UMP, Manuel Aeschlimann.
Car si la région paie, elle n'est jamais invitée
aux inaugurations. Dans une lettre qu'il a récemment
écrite à Manuel Aeschlimann, il lui rappelle
donc l'importance des subventions régionales dans
les réalisations municipales. " Je suis extrêmement
surpris de ne pas recevoir systématiquement de
carton d'invitation aux inaugurations des équipements
ayant bénéficié d'une subvention
régionale et que la région ne soit jamais
mentionnée sur vos cartons d'invitation alors qu'il
me semble légitime que notre partenariat soit affiché"
s'étonne Jean-Paul Huchon.
Et
de citer aux passages quelques-uns des subsides: 122 137,
405 euros pour la restauration du château, notamment.
"Je tiens à réaffirmer mon souhait
de valoriser l'action régionale auprès de
nos concitoyens que nous avons le droit d'informer sur
l'utilisation des fonds publics et sur la part que prend
la région dans la politique d'amélioration
de leurs conditions de vie", rappelle au député-maire
UMP, le président de région, qui ajoute:
"Je souhaite qu'à l'avenir nos cabinets se
rapprochent pour mener ensemble toute opération
d'inauguration." Selon des proches du président
de région, cette lettre serait restée pour
l'instant sans réponse."
Le Parisien, 23 octobre 2006
|
L'ex-directeur
de cabinet candidat aux législatives
Asnières
LIMOGÉ
il y a quelques semaines à la suite d'une altercation
avec une élue de la majorité municipale,
Francis Pourbagher a du mal à digérer
son éloignement de la mairie. Depuis quelques
jours, il distribue un tract dans lequel il expose publiquement
son ressentiment et même plus. L'ex-directeur
de cabinet souligne notamment le « rôle
majeur » qu'il a joué auprès du
député-maire UMP, Manuel Aeschlimann,
pour « gagner la confiance des électeurs
» afin de mieux crier à l'injustice après
son éviction.
Il
annonce dans la foulée sa candidature aux prochaines
élections législatives et dénonce
pour mieux la justifier les dérives et les excès
de la politique locale, reprenant un à un les
dossiers déjà portés par l'opposition
: augmentation des impôts ; coût exorbitant
du parking du centre, frais d'avocats excessifs, communication
tapageuse et mauvaise utilisation de la vidéosurveillance...
«
L'expression du dépit et de l'amertume »
L'événement
est accueilli indifféremment du côté
de la majorité municipale qui ne voit là
que « l'expression du dépit et de l'amertume
» : « Chacun connaît les raisons qui
m'ont amené à ne plus travailler avec
lui, souligne simplement Manuel Aeschlimann. Je lui
souhaite sincèrement de retrouver ses esprits
avant de perdre définitivement sa dignité.
» Et d'ajouter à propos de sa candidature
aux législatives : « Si cela peut constituer
pour lui une forme de thérapie, je n'y vois que
des avantages. »
Ecarté,
Francis Pourbagher considère pourtant que sa
dispute n'est « qu'un prétexte et que la
rupture a commencé au lendemain des élections
régionales, quand Marie Dominique Aeschlimann
(épouse du maire mais aussi conseillère
régionale et maire adjoint aux côtés
de son mari) s'est installée en mairie ».
Il le dénonce d'ailleurs dans son tract : «
Tu t'es éloigné des Asniérois et
tu fais la politique de l'autruche en confiant la direction
de la mairie à ton épouse, dit-il au maire
en le tutoyant. Mais sache qu'une bonne épouse
ne fait pas forcément un bon maire. »
Du
côté de l'opposition, on regarde l'affaire
avec amusement : « C'est l'hôpital qui se
fout de la charité », résume, Sébastien
Pietrasanta, conseiller municipal socialiste, en évoquant
la personnalité équivoque de l'ex-directeur
de cabinet, rappelant qu'il est à l'origine de
nombreuses exactions, à commencer par l'utilisation
illégale de la vidéosurveillance, celle-là
même qu'il dénonce. Et d'autres élus
de souligner encore sa condamnation à six mois
de prison avec sursis et une forte amende pour dénonciation
calomnieuse. Son implication dans l'affaire Ostad Elahi,
une fondation qu'il accusait de dérive sectaire
avant d'être contredit par la mission interministérielle
de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires
(Miviludes) revient aussi à la surface : dans
l'organisation de l'exposition culturelle iranienne
très contestée ou même son interview
faite à la télévision iranienne
et gravée sur DVD qui a suscité nombre
de questions.
Marisa
Faion
Le Parisien , jeudi 12 octobre 2006
|
Le
Parisien, le 11.10.06
ASNIERES
Explosion d'une chaudière EN
entretenant une chaudière à gaz, installée
au sous-sol d'un bâtiment de la Poste, à
Asnières, lundi après-midi, un technicien
a été brûlé au visage. En s'échappant
de la chaudière, le gaz a provoqué une explosion,...
|
Le
Sarko-boy et la "secte" : le retour
L’étonnante vendetta de Manuel Aeschlimann,
maire d’Asnières (Hauts-de-Seine) et conseiller
pour l’opinion publique de l’UMP, contre la
Fondation Ostad Elâhi qu’il accuse d’être
une secte, intéresse la grande presse... avec un
an de retard. Pas question bien sûr, pour elle,
de rappeler que c’est la blogosphère qu’il
l’avait révélée.
La
semaine dernière, en lisant L’Express daté
du 28 septembre-4 octobre 2006, (l’édition
précédant celle que vous pouvez acheter
en kiosque à partir d’aujourd’hui),
je me suis demandé si mon kiosquier habituel ne
m’avait pas vendu un vieux numéro de l’automne
2005...
L’édition nationale de l’hebdomadaire
publiait en effet, sous la signature de Philippe Bidalon,
une enquête de trois pages titrée Aeschlimann
L’étrange croisade d’un Sarko-boy,
dont l’essentiel des révélations remontait
à plus d’un an. Quant à l’édition
des Hauts-de-Seine, elle consacrait sa couverture et huit
pages supplémentaires à Asnières
Le système Aeschlimann (cliquez ici pour télécharger
ce dossier en PDF).
Ce
retard à l’allumage de plus d’un an
surprend d’autant plus que plusieurs blogs, dont
Carte de presse, avaient multiplié, durant l’automne-hiver
2005, les dénonciations et révélations
dans cette affaire, sans vraiment éveiller l’intérêt
de nos prestigieux confrères de papier sur les
tribulations, avec une supposée secte, de Manuel
Aeschlimann, maire d’Asnières et conseiller
pour l’opinion publique de l’UMP, donc de
Nicolas Sarkozy... Le journaliste de L’Express Philippe
Bidalon ne fait évidemment aucunement référence
au rôle premier d’information qu’a joué
la blogosphère sur ce sujet.
Non
seulement le dossier de L’Express ne contient que
des faits réchauffés, mais, en plus, il
est incomplet et ignore des aspects essentiels de L’étrange
croisade d’un Sarko-boy.
Pour
me limiter à mes contributions, je vous renvoie
d’abord à l’article par lequel je révélais,
le 20 décembre 2005, que Manuel Aeschlimann avait
obtenu de la direction de l’Agence France-Presse
la censure d’une dépêche qui le dérangeait
(signée par Marc Bastian, correspondant de l’AFP
dans les Hauts-de-Seine). Le maire d’Asnières
avait considéré mon enquête comme
suffisamment dérangeante pour m’envoyer le
jour même un droit de réponse que j’avais
mis en ligne.
Depuis
la publication du dossier de L’Express, Gérard
Davet, qui joue depuis le début un curieux rôle
dans cette affaire (voir mon article du 20 décembre
2005 susmentionné), a publié un article
dans Le Monde et Renaud Lecadre, dans Libération.
Ils ne font bien sûr pas non plus référence
au travail des blogueurs, que ces derniers soient ou non
des journalistes professionnels.
Sans
rancune, chers confrères...
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=14179
|
Conseil
Municipal du jeudi 28 septembre 2006:
encore une image consternante pour la ville !
Climat
pour le moins délétère... rappels
incessants des condamnations en correctionnelle d'élus
de l'actuelle majorité UMP et de la mise en examen
récente du maire pour malversation dans la passation
de marché public, chahuts divers puis , au final,
intervention en séance d'agents en civil d'une
société de sécurité suivie
de celles de la police municipale et nationale !
Il est désormais notoire que Manuel AESCHLIMANN,
député-maire d'Asnières, ne sait
manifestement pas tenir une séance publique d'un
Conseil Municipal...alors pour sauver la face, il "se
la joue" tardivement autoritaire !
A la vue de cette piteuse ambiance de "fin de règne",
certains Asniérois facétieux et habitués
des Conseils Municipaux comparaient ce soir là
l'attitude du maire actuel M.AESCHLIMANN, à celle
de son prédécesseur, Frantz TAITTINGER qui
dans les années 90 avait fait appel au CRS en plein
Conseil .... peu avant de démissionner !
AGENCE FRANCE PRESSE
Asnières:
un opposant utilise un porte-voix au conseil municipal,
la police intervient
[ vendredi 29 septembre 2006, 19h06 - AFP ]
Le
député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine
(Hauts-de-Seine), Manuel Aeschlimann, a fait intervenir
jeudi soir la police nationale pendant le conseil municipal
parce qu'un élu d'opposition utilisait un porte-voix
en pleine séance, a-t-on appris vendredi de sources
municipales.
"Nous
n'avons pas eu à utiliser la force", a précisé
une source policière.
Joint
par l'AFP, M. Aeschlimann a expliqué qu'après
des attaques personnelles contre lui et une adjointe de
la part d'un ex-adjoint aujourd'hui dans l'opposition,
Jean-Jacques Semoun (DVD), l'ambiance s'était "un
peu échauffée".
A
ce moment-là, l'ex-adjoint et deux autres conseillers
d'opposition de droite "ont sorti un porte-voix,
comme au précédent conseil municipal",
a raconté le maire.
"J'avais
prévenu le préfet à l'avance (...)
qui m'a conseillé de faire une réquisition
de police", a-t-il ajouté.
A
l'arrivée de la police, les porteurs de mégaphone
ont quitté la salle, rapidement suivis par le reste
de l'opposition.
Sébastien
Pietrasanta, élu PS et conseiller régional,
affirme pour sa part que "le maire n'a cessé
de provoquer des élus" et de "couper
la parole et les micros de l'opposition".
"Je
suis intervenu sur un projet de rénovation urbaine
concernant 25.000 habitants. M. Aeschlimann a repris mes
propos en les caricaturant. J'ai répondu, il a
voulu en faire un incident. C'est là qu'est apparu
le mégaphone. C'est évidemment déplacé,
mais il faut se demander: pour quelle raison est-on obligé
d'en arriver là?", a-t-il déclaré.
Bilan
de la soirée: "c'est pitoyable", selon
M. Aeschlimann, c'est une "escalade dans l'ignominie"
pour M. Pietrasanta.
©
2006 AFP
Note
de la rédaction
Asnières
La police intervient au conseil municipal
UN HUISSIER de justice, des micros... et maintenant la
police. Les conseils municipaux d'Asnières, qui
se déroulent une fois par trimestre, ressemblent
de plus en plus à des foires d'empoigne où
chacun fourbit ses armes. Jeudi soir, lors du conseil
municipal, malgré toutes les précautions
techniques habituelles, le député-maire
UMP, Manuel Aeschlimann, a fini par faire appel aux fonctionnaires
de police après que des élus d'opposition
eurent utilisé un porte-voix pour se faire entendre.
Le
maire et ses opposants ne semblent d'accord que sur une
seule chose : « Il est impossible de s'exprimer
dans ce conseil. »
Mais
chacun en renvoie bien sûr la faute à l'adversaire.
« Nous étions en train de débattre
sur le programme de l'Anru, un sujet important qui pèse
160 millions d'euros, lorsque le maire m'a coupé
le micro », lâche Jean-Jacques Semoun, ex-maire
adjoint passé dans l'opposition. « C'est
insupportable, le débat est impossible. »
Manuel
Aeschlimann détaille de son côté :
« Des élus de l'opposition n'ont cessé
de nous provoquer et conformément à ce que
j'avais annoncé dès le début du conseil,
nous n'avons pas polémiqué. Mais quand ils
ont utilisé leur porte-voix, on ne s'entendait
plus. Il a fallu se résoudre à appeler la
police. C'est malheureux d'en arriver là, c'est
pitoyable. »
«
C'est pitoyable »
Les
policiers municipaux sont donc intervenus vers 23 heures
dans l'hémicycle pour « confisquer »
le mégaphone, suivis peu de temps après
par des policiers nationaux. Un beau capharnaüm qui
s'est conclu par le départ de l'ensemble des 14
élus de l'opposition, droite et gauche confondues
: « Le maire refuse de débattre sur le fond
et il caricature les propos des élus de l'opposition,
c'est lui qui créé l'incident », souligne
à son tour le conseiller PS, Sébastien Piétrasanta.
Le
conseil a finalement repris pour se terminer à
minuit et demi, sans l'opposition, sur l'adoption du projet
Anru. Un projet qui comprend notamment la destruction
de la barre des Gentianes et le relogement de ses habitants
qui a déjà commencé.
ASNIERES,
JEUDI SOIR. Lors du conseil municipal, le député-maire
UMP, Manuel Aeschlimann, a fait appel aux fonctionnaires
de police après que des élus d'opposition
eurent utilisé un porte-voix pour se faire entendre.
(DR.)
Marisa
Faion
Le Parisien
, samedi 30 septembre 2006, édition Hauts-de-Seine,
page II, rubrique 24 HEURES
|
Asnières
La commission sur les liens de la mairie avec l'Iran dissoute
SUITE
ET FIN ? La commission d'information et d'évaluation
sur « les liens réels entretenus par la mairie
d'Asnières et le gouvernement iranien »,
créée en décembre 2005, sera l'un
des sujets abordés par le député-maire
UMP, Manuel Aeschlimann, lors du prochain conseil municipal
qui se déroulera demain soir en mairie. Le maire
devrait officialiser à cette occasion la dissolution
de ladite commission, sans pour autant avoir clos le débat.
Mise
en place à la demande de treize élus (UMP,
UDF, PS) à la suite d'une interview accordée
à la télévision iranienne par le
directeur de cabinet, Francis Pourbagher, récemment
limogé par Manuel Aeschlimann, cette commission
avait pour objectif de faire toute la lumière sur
l'organisation et le financement d'une manifestation culturelle
iranienne qui s'est déroulée à Asnières
en janvier 2005, en présence de l'ambassadeur de
la République islamique d'Iran en France. Une manifestation
largement commentée par Francis Pourbagher dans
une interview donnée en langue perse à la
télévision iranienne qui avait suscité
la mobilisation des élus d'opposition.
«
La question du financement reste sans réponse »
Mais
à ce jour, alors que le règlement intérieur
stipule que sa durée de vie est achevée
- elle n'était que de quatre mois - et que la commission
composée de 16 élus représentant
les différents groupes politiques du conseil ne
s'est réunie qu'une fois, aucune conclusion d'enquête
n'a encore été remise. Une omission qui
devrait être réglée lors du prochain
conseil. « On s'est posé la question d'un
débat mais cela se limitera à la diffusion
d'un compte rendu par le premier adjoint », lâche
le directeur général des services, Bernard
Loth.
«
Jeudi, lors de la commission municipale (NLDR : réunion
des présidents de groupe avant le conseil municipal)
, nous avons demandé le rapport rédigé
par la mission », souligne le socialiste Sébastien
Pietrasanta. Et de préciser : « La question
du financement de la manifestation iranienne par la ville
reste pour nous toujours sans réponse. La commission
a pour l'instant juste servi à étouffer
les débats. On souhaite que cette mission soit
prolongée sous une autre forme. » Peu probable
que cette requête soit suivie d'effets. Les réponses
ont été apportées aux élus
présents lors de la réunion, assure le maire.
Il s'agissait d'une exposition classique sur la culture
iranienne qui est passée dans beaucoup d'autres
villes avant Asnières et qui était financée
par ces communes dans la plupart des cas, ce qui n'a pas
été le cas à Asnières. Depuis,
elle a été présentée dans
d'autres communes, comme Neuilly. »
De
son côté, Laurent Martin Saint-Léon,
ancien maire adjoint passé dans l'opposition, s'estime
satisfait de l'initiative qui a permis d'ouvrir les débats
: « Il ne m'appartient pas de me pencher sur les
relations qu'entretient l'ex-directeur de cabinet avec
l'Iran. Il semblerait que Manuel Aeschlimann ne savait
pas que la plus grande fête chiite qui commémore
le martyre du prophète Hossein était célébrée
sur sa commune... Je sais tout ce que je voulais savoir
sur le sujet, le reste relève plus à mon
sens de la DGSE ou des services spéciaux. Pas de
la commune. »
Marisa
Faion
Le Parisien
, mercredi 27 septembre 2006
Edition Hauts-de-Seine
|
On
nous fait parvenir ...
Communiqué
La
Cour d’Appel de Versailles vient de condamner lourdement
la Commune d’Asnières-sur-Seine
(appelante) dans l’affaire qui l’opposait
à Alix Chavanon, journaliste affecté pendant
15 ans à la rédaction du journal municipal.
Malgré le bien-fondé de la démarche
de cette salariée, reconnu par les diverses juridictions
interpellées successivement, il aura fallu près
de 8 ans de procédure pour donner raison à
cette journaliste, victime de la municipalisation de certaines
associations asniéroises décidée
en mai 1999, au début du mandat de maire de Manuel
Aeschlimann.
Ces procès multiples et interminables coûtent
fort cher aux contribuables asniérois.
On
est en droit de se demander si la Ville aura la sagesse
d’en rester là !
|
LES
FAITS DIVERS EN FLASH
ASNIERES
Le directeur de cabinet convoqué au commissariat
LES
ENNUIS de Francis Pourbaghere, directeur de cabinet du
maire UMP d'Asnières, ne sont pas terminés.
Lundi, il était convoqué par le maire Manuel
Aeschlimann pour une sorte d'entretien préalable
au licenciement. Et hier matin, c'est au commissariat
de police qu'il était convoqué.
Francis
Pourbaghere a dû s'expliquer sur les injures qu'il
a proférées à l'encontre de l'adjointe
au maire, Patricia Chavignier, mercredi dernier. Des injures
d'un goût très douteux déversées
devant témoins. « Il a complètement
pété les plombs », commente un proche
de cette affaire qui agite vivement le microcosme asniérois.
Pour ces insultes, Patricia Chavignier avait porté
plainte. C'est donc dans ce cadre que Francis Pourbaghere
a été entendu hier au commissariat de police.
« J'ai porté plainte », a-t-il confié
hier, sans plus de précision. Une plainte pour
injures également. Mais il n'est pas certain que
des témoins aient assisté à l'agression
verbale dont Francis Pourbaghere se dit victime. L'enquête
permettra sans doute d'éclaircir les choses. En
juin dernier, le directeur de cabinet remercié
a été condamné pour « dénonciation
calomnieuse » par le tribunal correctionnel de Nanterre.
Il avait porté plainte contre un opposant municipal
qu'il accusait d'avoir tenté de le renverser en
voiture.
V.M.
Le Parisien, édition Hauts-de-Seine, page III,
jeudi 21 septembre 2006
|
Fusible
usagé : du rififi en interne à la Mairie
d'Asnières
Manuel
AESCHLIMANN, député-maire d'Asnières
lâche son Directeur de cabinet Francis Ramine POURBAGHER
- La
rumeur trainait depuis ce jeudi 14 septembre, date d'un
énième "incident" avec une élue
UMP cette fois-ci . Le journal "Le Parisien"
du 19/09/06 ( cf. ci-dessous ) croit pouvoir annoncer
le limogeage du Directeur de cabinet bien qu'à
ce jour Francis POURBAGHER nous confirme être toujours
à son poste en Mairie dans l'attente de sa notification
officielle d'éviction par son futur ex-patron et
éventuellement motivation des griefs.
- Or, si la révocation d'un Dir cab peut se faire
"ad nutum", il est permis cependant de se poser
quelques questions quant aux "raisons imminentes"
qui ont obligé le Maire à agir précipitamment
de la sorte.Certains avancent en interne le profil caractériel
et asocial de Francis Pourbagher ne permettant pas un
travail convenable, d'autres se fondent sur l'image rendue
négative dans l'opinion par ses condamnations en
correctionnelle - " en service commandé"
par le maire pourtant - notamment dans l'affaire d'un
tract jugé diffamatoire ou comme en juin 2006 à
6 mois de prison avec sursis pour dénonciation
calomnieuse ( appel interjeté ) ou encore en différents
scandales émaillant la vie politique locale comme
la venue de l'ambassadeur d'Iran dans le cadre d'une exposition
organisée - et financée ? - par la ville
en 2005, l'affaire de l'utilisation par du personnel non-habilité
de la vidéosurveillance en périodes électorales...
Encore d'autres invoquent enfin l'hostilité personnelle
grandissante de F.POURBAGHER envers Bernard LOTH, l'actuel
Directeur général des services, et le "clan"
de Marie-Dominique AESCHLIMANN, née RISTORI et
épouse du député-maire. Cette dernière
étant accusée d'avoir des ambitions démesurées
et de se comporter comme le Maire - et à la place
de son époux de Maire - auprès des fonctionnaires
de la ville.
- Les élections approchant et pressé par
son entourage, il devenait manifestement urgent pour Manuel
AESCHLIMANN ( fragilisé notamment par sa récente
mise en examen dans une affaire de marché public
) de se séparer de ce fusible trop usé à
la tâche, et véritable "homme à
tout faire". Pas sur cependant qu'en se débarrassant
ainsi "médiatiquement" de son Dir cab,
il puisse conjurer certains dysfonctionnements persistants
en interne et retrouver un si zélé serviteur
payant de sa personne pour accomplir certaines (basses
?)besognes ...
ASNIERES Le directeur de cabinet du maire limogé
DANS n'importe quelle autre ville, la nouvelle serait
passée inaperçue. Mais, à Asnières,
le départ du directeur de cabinet du maire fait
l'effet d'une véritable petite bombe. Personnage
très contesté au sein de l'opposition comme
de la majorité municipale, Francis Pourbagher a
appris hier matin, lors d'un entretien avec son maire
et mentor, Manuel Aeschli- mann, qu'il était «
remercié ».
Véritable
homme lige du député-maire UMP qui l'avait
pris à ses côtés dès 1999,
Francis Pourbagher, nommé directeur de cabinet
en 2000, était rapidement devenu un personnage
incontournable du microcosme politique local. Omniprésent,
ne ménageant pas ses interventions auprès
des élus comme des directeurs de services municipaux,
l'homme, que certains n'hésitaient pas à
surnommer « le vice-maire », s'était
au fil du temps créé de nombreuses inimitiés.
Trop depuis quelque temps.
«
Le commandement est en panne aujourd'hui dans la ville
»
«
Le courant ne passait plus. Les élus de la majorité
se plaignent de relations de plus en plus difficiles.
La plupart des adjoints me disent : « On ne veut
plus travailler avec lui », expliquait Manuel Aeschlimann,
hier, ajoutant : « J'ai considéré
longtemps qu'il était efficace dans ces différentes
missions. Mais j'ai passé beaucoup de temps à
recoller les morceaux. Aujourd'hui, j'ai d'autres choses
à faire. Ça me peine à titre personnel,
mais il ne pouvait pas rester. » C'est un récent
incident avec une élue de la majorité qui
semble avoir accéléré les choses.
Mercredi dernier, lors d'une rencontre de quartier de
la maison de proximité, Francis Pourbagher a eu
une altercation avec Patricia Chavinier, adjointe au maire
et conseillère générale. Jeudi, une
nouvelle dispute entre le directeur de cabinet et l'élue
a eu lieu dans la rue. « On peut se dire des choses
en tête à tête, mais devant les Asniérois
il y a des limites », souligne Manuel Aeschlimann.
« Je ne suis pas le maître d'école
qui siffle la fin de la récré. »
De
son côté, Francis Pourbagher affirme avoir
rempli « ses » missions. « Nous avions,
avec le maire, des objectifs communs : garder la mairie
en 2001, gagner les législatives en 2002 et récupérer
le canton nord d'Asnières en 2004. Ça a
été fait. Mais, depuis quelque temps, les
élus interfèrent sur les décisions
du maire. Le commandement est en panne aujourd'hui à
Asnières », assure le directeur de cabinet,
« On a fait un bon binôme avec le maire, mais
je n'aurais pas continué dans ces conditions. Je
ne peux pas me laisser soumettre à une poignée
d'élus » conclut-il tout en affirmant qu'il
est depuis trois ans l'objet d'attaques « personnelles
et incessantes » sur ses origines (NDLR : Francis
Pourbagher a la double na- tionalité française
et iranienne).
Une
chose est sûre : la nouvelle du départ du
bouillant directeur de cabinet, condamné le 25
juin dernier à six mois de prison avec sursis pour
« dénonciation calomnieuse », va ravir
ses nombreux détracteurs. Particulièrement
dans l'opposition municipale. « Je suis accablé
qu' on ait attendu autant de temps » réagit
Jean-Jacques Semoun, ex-membre de la majorité aujourd'hui
dans l'opposition. « Il faut que les fonctionnaires
restent à leur place. Il mérite ce qui lui
arrive. Mais il a aussi agi sur ordre. Le maire presse
ses collaborateurs comme des citrons, puis les jette…
Ça va finir par exploser.»
Frederic
Choulet
Le Parisien Hauts-de-Seine, page II, mardi 19 septembre
2006
|
Lycée
Malraux , encore une autre
honte pour Asnières !
Ce lycée n'en finit pas de plomber l'image de
la ville tant en termes d'éducation que de sécurité
voir
article du journal LE
PARISIEN du
14/09/2006
page
2
page
3
page
4
|
ASNIERES
dernière SUSPENSION DES TRAVAUX
(06 /09/ 2006)
Suite
à la réunion d'expertise ( référé
préventif ) qui s'est tenu ce mercredi 6 septembre
2006 à 9 h 00 au petit théatre, à
propos du projet de construction du parc de stationnement
souterrain de la place Aristide BRIAND, il a été
annoncé par le représentant des services
techniques de la ville, devant l'expert commis par le
T.G.I. de Nanterre et les parties en présence,
la suspension desdits travaux....
Vu l'état de l'affaire, la visite dans les appartements
n'ayant pu se faire ce jour comme prévu, une autre
convocation des parties a été décidé.
à suivre
|
Le
député-maire UMP d'Asnières, Manuel
Aeschlimann, mis en examen
20Minutes.fr avec AFP | 31.08.06 | 20h06

Le
député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine
(Hauts-de-Seine) Manuel Aeschlimann a été
mis en examen dernièrement pour complicité
de favoritisme dans l'attribution d'un marché public
dans sa commune, a-t-on appris jeudi de source municipale.
Conseiller
politique chargé du suivi de l'opinion publique
à l'UMP, ce proche du ministre de l'Intérieur
Nicolas Sarkozy a été mis en examen par
lettre recommandée avec accusé de réception
fin juin, a confirmé le parquet de Nanterre.
M.
Aeschlimann bénéficie en tant que député
de l'immunité parlementaire et ne peut faire l'objet
d'un contrôle judiciaire.
Il
a dénoncé jeudi dans un communiqué
"une instruction entachée de multiples irrégularités"
et "l'insécurité juridique qui pèse
sur les maires et leurs collaborateurs".
Il
avait jusque-là été entendu plusieurs
fois comme témoin assisté, dans le cadre
d'une information judiciaire ouverte en 2003 par le parquet
de Nanterre pour "octroi d'avantage injustifié,
recel et détournement de fonds publics".
Sa
directrice de la communication Fabienne Van Aal, fille
du maire UMP de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) Louis-Charles
Bary, avait été mise en examen fin juin
pour le même motif que M. Aeschlimann, soit précisément
"complicité d'atteinte à la liberté
d'accès et à l'égalité des
candidats dans les marchés publics".
Auparavant,
l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998) Franz Taittinger
était seul mis en examen depuis 2003 dans cette
affaire pour "atteinte à la liberté
d'accès et à l'égalité des
candidats dans les marchés publics".
En
1998, M. Aeschlimann, premier adjoint au maire, monte
un projet de festival folklorique, dont l'organisation
est confiée à la société CDA
Production via un contrat d'environ 200.000 euros.
Le
préfet des Hauts-de-Seine rejette le contrat pour
non-conformité au code des marchés publics.
Mais la mairie persiste à confier l'organisation
à CDA Production gérée par Dominique
Carbonnier, ami de M. Aeschlimann, et à une association
paramunicipale, Asnières Communication, dirigée
par Fabienne Van Aal.
M.
Carbonnier a été entendu comme témoin
assisté.
Finalement
l'association Asnières Communication touchera la
"subvention exceptionnelle" de 200.000 euros,
montant "très largement surévalué",
selon les enquêteurs de la brigade de répression
de la délinquance économique (BRDE).
©
2006 AFP
|
Libération
d’Asnières : le maire brille par son absence
Le député-maire UMP
et proche de Nicolas Sarkozy Manuel Aeschlimann a boudé
comme l’année dernière la cérémonie
commémorant la libération de sa ville.
30/08/2006
Les
associations d’anciens combattants d’Asnières
(Hauts-de-Seine) ne comprennent pas pourquoi leur maire
n’a pas participé, comme c’est l’usage,
à la cérémonie commémorant
la libération de la ville, samedi 26 août
2006.
Ce n’est pourtant pas la première fois que
Manuel Aeschlimann, député-maire d’Asnières
et membre de la « garde rapprochée »
du président de l’UMP Nicolas Sarkozy pour
lequel il s’occupe notamment de décrypter
les sondages en vue de l’élection présidentielle,
décide de ne pas s’associer à cette
manifestation. En fait, depuis qu’il a été
élu premier magistrat de la ville, M. Aeschlimann
a préféré rassembler sur la seule
date du 8 mai la célébration de l’Armistice
de 1945 et la libération d’Asnières
en 1944. Une décision surprenante de la part d’un
élu « gaulliste » de l’UMP. Lors
de la cérémonie du 26 août 2006, seuls
un conseiller régional socialiste et un ancien
conseiller régional RPR avaient répondu
à l’appel de l’UFAC et des différentes
associations d’anciens combattants.
SUR
LE SITE ANCIENCOMBATTANT.COM
http://www.anciencombattant.com/article.cfm?id=102195
|
Drôle
de conseiller que ce Manuel AESCHLIMANN qui se répand
dans la presse en déclarant, en substance, que
.....DE NOUVELLES EMEUTES EN BANLIEUES ET LE DOSSIER DES
CLANDESTINS PEUVENT FAIRE TOMBER SARKOZY AVANT LES PRESIDENTIELLES
!
Le "monsieur
sondages" de l’UMP presse Sarkozy d'avancer
son départ du gouvernement
lefigaro.fr (avec Reuters).
Publié le 23 août 2006
Actualisé le 23 août 2006 : 19h01
Le
député-maire d'Asnières, spécialiste
des sondages, estime qu'en restant au gouvernement, Nicolas
Sarkozy aura du mal à débuter sa campagne.
(AFP/Jean Ayissi)
Le
député-maire d'Asnières, spécialiste
des sondages, estime qu'en restant au gouvernement, Nicolas
Sarkozy aura du mal à débuter sa campagne.
(AFP/Jean Ayissi).
Manuel Aeschlimann estime qu’une nouvelle crise
des banlieues pourrait mettre à mal les ambitions
du probable candidat à la présidentielle.
«Je pense qu’il devrait partir à l’automne,
pas après». Chargé des sondages au
sein de l’UMP, Manuel Aeschlimann presse à
son tour Nicolas Sarkozy de quitter le gouvernement rapidement.
Il emboîte le pas de bon nombre de proches du ministre
de l’Intérieur, qui insistent sur le «risque
permanent de l’exercice gouvernemental». Mais
sur ce registre, Manuel Aeschlimann va plus loin encore
dans son argumentaire.
Selon lui, si Nicolas Sarkozy ne quitte pas prochainement
le gouvernement, il court le risque d’une fin d’année
délicate. Le député-maire d’Asnières
craint principalement de nouvelles émeutes en banlieues.
«La dernière
fois, Dieu merci, il n’y a pas eu de bavure policière.
Mais imaginez un retour des violences et une exaction
de la police, et les ambitions présidentielles
de Sarkozy sont terminées», estime-t-il dans
une interview à l’agence Reuters.
Nicolas Sarkozy avait indiqué en juin ne pas vouloir
quitter le gouvernement avant janvier 2007. Pour son proche
conseiller, Brice Hortefeux, le moment idéal, «où
les français comprendront qu’il ne déserte
pas ses responsabilités», se situait «entre
novembre et janvier».
D’autres raisons poussent Manuel Aeschlimann à
demander au plus tôt le départ du président
de l’UMP. «Tant qu’il sera ministre
de l’Intérieur, une partie de son programme
sera inaudible». Ce spécialiste des sondages
craint que Nicolas Sarkozy ne subisse, à l’instar
de Jospin en 2002, l’inévitable usure du
pouvoir, et cite en exemple sa légère
baisse de popularité durant l’été.
Pour Aeschlimann, celle-ci est due en partie au dossier
des sans-papiers, «un cas typique de ce qui peut
vous faire tout perdre». Selon lui, l’annonce
de Nicolas Sarkozy de régulariser 6000 des 30.000
immigrés ayant demandé la nationalité
française a «laissé insatisfaits les
plus modérés tout en lui aliénant
les votes d’extrême-droite».
Mais le député-maire va plus loin. Pour
lui, le dossier des sans-papiers a fait perdre au président
de l’UMP les voix des minorités ethniques
et des jeunes, qui lui reprochent toujours les expressions
employées à la veille des émeutes,
en 2005. Or, estime Manuel Aeschlimann, tant que Nicolas
Sarkozy restera au gouvernement, il sera vu comme «l’incarnation
de la loi et de l’ordre» par les intéressés.
Selon lui, le président de l’UMP doit donner
à ces jeunes et aux minorités «des
signes, sinon de modération, du moins de ne pas
chercher à obtenir les voix de Jean-Marie Le Pen».
«Il est essentiel que Nicolas Sarkozy puisse rassurer
les jeunes électeurs et ne pas les radicaliser…
mais dans tous les cas, ils resteront son point faible
pour l’élection», redoute-t-il.
Les dernières enquêtes d’opinion marquent
une progression du président de l’UMP. Une
enquête IFOP, à paraître jeudi dans
Le Point, le donne vainqueur d’un duel contre Ségolène
Royal, à 51% contre 49% pour la candidate socialiste.
|
Les
magistrats dénoncent les « menaces »
du député-maire
LA LETTRE adressée la semaine dernière au
juge d'instruction de Nanterre, Richard Pallain, par le
député-maire UMP d'Asnières, Manuel
Aeschlimann, a vivement fait réagir les syndicats
de magistrats, comme l'on pouvait s'y attendre. Et pour
cause, dans ce courrier rendu public par l'élu,
Manuel Aeschlimann, qui demande sa mise en examen dans
le cadre d'une affaire de financement de Festival folklorique
organisé sur sa commune en 1998, critique ouvertement
les « méthodes de travail » du juge.
Il
lance des « menaces à peine voilées
au juge d'instruction », réagit l'Union syndicale
de la magistrature (USM), syndicat majoritaire, qui a
déjà accusé il y a quelques jours
Nicolas Sarkozy, dont Manuel Aeschlimann est l'un des
lieutenants, « d'atteinte à l'indépendance
de la justice » après ses accusations de
laxisme contre le tribunal pour enfants de Bobigny (Seine-Saint-Denis).
«
Une pratique dangereuse pour la démocratie »
L'USM
estime que la missive du député-maire d'Asnières
se situe exactement dans la droite ligne de ce qui s'est
passé à Bobigny : ce « n'est une fois
de plus qu'une instrumentalisation de la justice »,
lâche son président, Dominique Barella.
«
Le sport politique national consiste désormais
à attaquer les tribunaux et les magistrats »,
constate l'USM, qui condamne cette pratique « dangereuse
et inquiétante pour la démocratie ».
La
missive du député-maire d'Asnières
qui fait suite à la mise en examen, dans l'affaire
susnommée, de sa proche collaboratrice Fabienne
Van Aal pour « complicité d'atteinte à
la liberté d'accès et à l'égalité
des candidats dans les marchés publics »,
évoque « l'aversion du magistrat pour les
politiques... des pressions sur certains témoins...
ou encore... des actes de procédure falsifiés
».
Des
accusations considérées avec sévérité
par l'USM : « C'est une tentative de pression sur
le juge, dénonce encore Dominique Barella, qui
souhaite réunir le bureau pour débattre
du sujet et peut-être envisager une intervention.
Au lieu de répondre sur le fond, on attaque. Le
but, ce n'est pas d'avoir un dialogue avec le juge d'instruction,
qui, lui, ne peut répondre publiquement. »
Et
d'ajouter : « Un maire ne supporte pas que ses proches
soient mis en examen, c'est le système de la toute-puissance.
C'est un élu proche du ministre qui considère
que tout pouvoir doit être concentré dans
les mains de l'exécutif. C'est ce que la politique
peut créer de pire. Les juges, eux, ne font qu'appliquer
les textes et les lois votés par le Parlement.
»
L'Union
syndicale de la magistrature réagit avec force
au courrier envoyé par Manuel Aeschlimann (ci-dessus)
à un juge de Nanterre. Dans sa lettre, le député-maire
réclame sa propre mise en examen et critique les
méthodes de travail du magistrat. (LP.)
Marisa
Faion
Le Parisien , jeudi 29 juin 2006
voir
lettre (format pdf 143 ko)
|
Le
député-maire fait venir un huissier au conseil
Asnières
LE
DEPUTE-MAIRE UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann,
ne se satisfait plus des procès-verbaux du conseil
municipal. Hier soir, il a fait preuve d'innovation en
mandatant pour la première fois un huissier de
justice pour « noter tous les échanges pour
préserver la présomption d'innocence ».
Cette initiative n'est pas neutre puisque Manuel Aeschlimann
a demandé vendredi dernier au juge d'instruction
à être mis en examen dans le cadre d'une
information judiciaire ouverte en 2003 par le parquet
de Nanterre pour « octroi d'avantage injustifié,
recel et détournement de fonds publics ».
Ce
proche de Nicolas Sarkozy et conseiller politique sur
l'opinion publique à l'UMP avait, jusque-là,
déjà été entendu plusieurs
fois comme témoin assisté dans le cadre
de cette affaire qui concerne le financement d'un festival
folklorique organisé sur la commune en 1998. Convoqué
pour être mis en examen lundi dernier, le député-maire
ne s'est pas rendu à une convocation au tribunal
de Nanterre, selon une source proche du dossier. Convoquée
ce même jour, sa directrice de la communication
d'alors, Fabienne Van Aal, fille du maire UMP de Neuilly,
Louis-Charles Bary, le sera pour « complicité
d'atteinte à la liberté d'accès et
à l'égalité des candidats dans les
marchés publics ».
Hier
soir, en mandatant un huissier de justice au conseil,
le député-maire a-t-il simplement voulu
« encadrer » les élus de l'opposition
en leur signalant que toute parole qui lui porterait atteinte
dans ce dossier serait notée et peut-être
sanctionnée parce qu'une procédure judiciaire
agrémentée d'un constat d'huissier pèserait
plus lourd ?
La
présence dans le public du professionnel n'aura
pas en tout cas empêché les débats
d'avoir lieu. Gag ou provocation, Manuel Aeschlimann a
ouvert les discussions en demandant à son conseil
municipal de voter le voeu de soutien à Janine
Jambu : l'ancienne maire PC de Bagneux et à trois
de ses adjoints, condamnés le 18 mai à de
la prison avec sursis et à dix ans d'inéligibilité
par le juge pour « prise illégale d'intérêt
».
Davantage
de transparence sur les affaires judiciaires
Dialogue
de sourds : les élus de l'opposition réclamaient
plus de transparence sur les affaires judiciaires qui
secouent depuis quelques jours la commune. Celle du festival
folklorique où, jusqu'à lundi dernier, seul
l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998), Franz Taittinger,
avait été mis en examen, pour « atteinte
à la liberté d'accès et à
l'égalité des candidats dans les marchés
publics ». Et puis, celle où jeudi dernier
son directeur de cabinet, Francis Pourbagher, a été
condamné à six mois de prison avec sursis
pour dénonciation calomnieuse d'une fausse tentative
de meurtre. Les élus de l'opposition ont vainement
demandé que la ville se constitue partie civile
dans la première affaire et demandé au maire
que le directeur de cabinet soit renvoyé...
ASNIERES,
HIER, 21 HEURES. Le député-maire UMP a mandaté
pour la première fois un huissier de justice pour
encadrer les débats lors du conseil municipal.
(LP/M.F.)
Marisa
Faion
Le Parisien , mardi 27 juin 2006
|
LOI
DES SERIES JUDICIAIRES EN MAIRIE D'ASNIERES
Quasiment
tout l' Exécutif municipal est désormais
rattrapé par la Justice... Francis POUBAGHER, Directeur
de cabinet de Manuel AESCHLIMANN, condamné lourdement
en correctionnelle pour dénonciation calomnieuse
le 22 juin, Fabienne Van Aal, Chef de cabinet de Manuel
AESCHLIMANN, mise en examen pour complicité dans
le non-respect des procédures de passation des
marchés publics et Manuel AESCHLIMANN, lui-même,
député-maire d'Asnières en instance
de mise en examen.... L'atmosphère devient vraiment
très délétère sur la ville
en cette fin de mandature municipale grêvée
par des "affaires" .
1
) - Convocation judiciaire de M. Aeschlimann pour le 19
juin et demande a posteriori de mise en examen par l'interessé
Le 19 juin 2006, Manuel Aeschlimann, convoqué pour
la 4 ème fois au moins par le juge Pallain, magistrat-instructeur,
ne s’était pas rendu à cette convocation.
Or, selon une dépêche AFP du 23 juin ( voir
ci-dessous ), ce dernier , voyant sa mise en examen se
profiler de manière imminente, aurait choisi finalement
de la réclamer - semble t-il non sans quelques
hésitations - afin de sauver la face et essayer
de conserver le beau rôle devant l'opinion, en laissant
entendre confusément, tout comme son directeur
de cabinet, qu'il serait victime d'un zèle de certains
magistrats, voire de dysfonctionnements judiciaires...
AFP,
23 JUIN 2006
--------------------------------------------------------------------------------
Le député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine
(Hauts-de-Seine) Manuel Aeschlimann, qui ne s'est
pas rendu lundi à une convocation au tribunal
de Nanterre, pour être mis en examen, selon
une source proche du dossier, a réclamé
vendredi dans un communiqué cette mise
en examen.
Proche
de Nicolas Sarkozy et conseiller politique sur
l'opinion publique à l'UMP, "Manuel
Aeschlimann demande au juge d'instruction à
être mis en examen", selon le texte,
dans le cadre d'une information judiciaire ouverte
en 2003 par le parquet de Nanterre pour "octroi
d'avantage injustifié, recel et détournement
de fonds publics".
Il
avait jusque-là été entendu
plusieurs fois comme témoin assisté.
"M.
Aeschlimann a un train de retard: il était
convoqué lundi dernier aux fins de mise
en examen, mais n'est pas venu", selon une
source proche du dossier.
"Je
ne savais pas que je devais être mis en
examen, c'était une convocation classique
comme les précédentes", a rétorqué
le maire, invoquant "une crise de sciatique".
Sa
directrice de la communication Fabienne Van Aal,
fille du maire UMP de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
Louis-Charles Bary, a été mise en
examen lundi pour "complicité d'atteinte
à la liberté d'accès et à
l'égalité des candidats dans les
marchés publics".
Depuis
2003, l'ex-maire RPR d'Asnières (1995-1998)
Franz Taittinger était seul mis en examen,
pour "atteinte à la liberté
d'accès et à l'égalité
des candidats dans les marchés publics".
En
1998, M. Aeschlimann, premier adjoint au maire
Taittinger, monte un projet de festival folklorique.
L'organisation du festival est confiée
à la société CDA Production,
via un contrat d'environ 200.000 euros. Le préfet
des Hauts-de-Seine rejette le contrat pour non-conformité
au code des marchés publics. Mais la mairie
persiste à confier l'organisation à
CDA Production gérée par Dominique
Carbonnier, ami de M. Aeschlimann, et à
une association paramunicipale, Asnières
Communication, dirigée par Fabienne Van
Aal.
M.
Carbonnier a été entendu comme témoin
assisté.
Finalement
l'association Asnières Communication touchera
la "subvention exceptionnelle" de 200.000
euros, montant "très largement surévalué",
selon les enquêteurs de la brigade de répression
de la délinquance économique (BRDE).
M.
Aeschlimann dénonce "une instruction
entachée de multiples irrégularités"
et "l'insécurité juridique
qui pèse sur les maires et leurs collaborateurs".
Dans
une autre affaire, son directeur de cabinet Francis
Pourbagher a été condamné
jeudi à six mois de prison avec sursis
pour dénonciation calomnieuse d'une fausse
tentative de meurtre.
©
afp. - Tous droits réservés.
|
2
) - Mise en examen également de Fabienne Van Aal,
proche collaboratrice du Maire:
Fabienne Bary, épouse Van Aal, chef de cabinet
de Manuel Aeschlimann.Fabienne Bary est la fille de Louis-Charles
Bary, maire de Neuilly et sœur d’Antoine Bary,
adjoint de Manuel Aeschlimann, délégué
à l’urbanisme.Cette personne à la
particularité de cumuler à la mairie d'Asnières,
les fonctions de chef de cabinet du maire d'Asnières
(statut de collaborateur de cabinet) et de directrice
du service de la communication (statut de fonctionnaire
territorial).
Convoqué le 19 juin 2006 également par Monsieur
le juge Pallain, , a signifié à Fabienne
Bary sa mise en examen pour "complicité d'atteinte
à la liberté d'accès et à
l'égalité des candidats dans les marchés
publics" dans l’affaire du Festival International
du Folklore d’Asnières remontant à
1998.
|
Le directeur
de cabinet du maire d'Asnières condamné
à six mois avec sursis
Le
jugement avait été été mis
en délibéré au 22 juin 2006. Auparavant,le
26 mai 2006, le directeur de cabinet du maire d'Asnières-sur-Seine
avait comparu devant la 15e chambre correctionnelle
du tribunal de Nanterre pour dénonciation calomnieuse
d'un tiers qu'il avait accusé de tentative de
meurtre en 2003.
Le
président de la 15e chambre correctionnelle de
Nanterre, Alain Prache, a été très
ferme vis à vis du directeur de cabinet du maire
d'Asnières : "Les lois de la République
sont faites pour être respectées par tous,
que l'on s'en souvienne. Votre fonction exclue toute méprise
quant à vos droits et devoirs en la matière".
Le juge a aussi dénoncé une "instrumentalisation
de l'autorité judiciaire et de la force publique".
Francis
Pourbagher, contacté par un de nos correspondants,
à déclarer être la victime toute désignée
de la mauvaise réputation de la Mairie d'Asnières
auprès des tribunaux et de la presse et a confirmé
vouloir interjeter appel.
Le
directeur de cabinet du maire d'Asnières condamné
à six mois avec sursis
AFP 22.06.06 | 16h30
Le
directeur de cabinet du maire d'Asnières-sur-Seine
(Hauts-de-Seine) a été condamné jeudi
à six mois de prison avec sursis par le tribunal
de Nanterre pour dénonciation calomnieuse d'un
opposant municipal qu'il avait accusé de tentative
de meurtre en 2003. Francis Pourbagher, directeur de cabinet
du député-maire UMP d'Asnières Manuel
Aeschlimann, devra aussi verser 5.000 euros de dommages
et intérêts et 4.000 euros au titre des frais
de justice à celui qu'il avait injustement accusé.
Enfin,
le tribunal a ordonné la publication du jugement
dans le journal municipal d'Asnières et dans l'édition
des Hauts-de-Seine du Parisien. M. Pourbagher a annoncé
vouloir interjeter appel. "Votre cursus et votre
fonction excluent toute méprise quant à
vos droits et devoirs en la matière", a lancé
à M. Pourbagher le président de la 15e chambre,
Alain Prache, en fustigeant une "instrumentalisation
de l'autorité judiciaire et de la force publique,
conçues pour la garantie des droits de l'homme".
"Les lois de la République sont faites pour
être respectées par tous, que l'on s'en souvienne",
a encore dit le président au condamné. Les
faits remontent au 29 octobre 2003. Ce soir-là,
M. Pourbagher dit s'être arrêté devant
un panneau d'affichage portant un tract d'une association
de quartier opposée à la municipalité.
Au moment où le directeur de cabinet de Manuel
Aeschlimann, un proche de Nicolas Sarkozy, veut retourner
à son véhicule -garé à contresens
de l'autre côté de la rue-, il affirme qu'une
voiture, dont il a ensuite fourni le numéro d'immatriculation
à la police, lui aurait "foncé dessus".
La plaque correspond à la voiture de Shebli Anvar,
ingénieur au Commissariat à l'énergie
atomique (CEA) et membre d'une association de quartier
opposée à la mairie. Après enquête
de 24 heures, le parquet de Nanterre classe la plainte.
Les tracts, calomnies et injures sont monnaie courante
dans la vie politique asniéroise. Lors de l'audience
fin mai, M. Pourbagher avait maintenu "in extenso"
ses accusations de 2003 contre M. Anvar, qu'une instruction
est venue contredire. Soulignant les "invraisemblances"
de la version de M. Pourbagher, le procureur Bruno Bougie,
après avoir demandé un supplément
d'enquête rejeté par le tribunal, s'en était
rapporté au jugement à venir.
|
Affaire
Clearstream ..... et Asnières !
Florian
Bourges gère des crèches financées
par le département
LA
BLOGOSPHÈRE alto-séquanaise est en effervescence.
L'un des principaux protagonistes de l'affaire qui secoue
depuis plusieurs semaines le gouvernement serait à
la tête d'une association qui gère plusieurs
crèches privées financées entre autres
par le conseil général des Hauts-de-Seine,
dirigé par Nicolas Sarkozy. L'informaticien Florian
Bourges qui a reconnu avoir transmis les fichiers «
non falsifiés » de l'affaire Clearstream
à Imad Lahoud, lui-même mis en examen pour
« dénonciation calomnieuse faux et usage
de faux », est à la tête de cette association
comme l'indique un rapport du conseil général
daté du 8 mars 2005.
Il
s'était d'ailleurs adressé en janvier dernier
aux responsables du site Internet asniérois.org,
pour faire la promotion de l'une des structures qui allait
ouvrir avenue d'Argenteuil, à Asnières-sur
Seine. Aujourd'hui, le téléphone de l'association
sonne dans le vide. Son président, Florian Bourges,
très sollicité depuis l'apparition de son
nom dans l'affaire Clearstream, répond aux abonnés
absents. Quant à la directrice de la structure
asniéroise, elle reste très évasive
sur ses liens avec l'association. « Il n'y a eu
aucune grosse publicité autour de cette crèche,
se souvient l'un des animateurs du site asnierois.org.
Florian Bourges nous a recontactés suite à
l'article pour préciser que la ville d'Asnières
avait soutenu le projet. »
«
Je vais faire en sorte que les juges le sachent »
Depuis,
l'ex-salarié du cabinet d'audit Arthur Andersen,
chargé en 2001 d'expertiser le système informatique
de Clearstream et principal informateur du journaliste
Denis Robert, a ouvert d'autres structures pour accueillir
les bambins. Le conseil général lui a en
effet octroyé en mars 2005 une première
subvention de 116 064 € pour la réalisation
de l'opération sur Asnières et une autre
de 178 391 € pour celle de Fontenay-aux-Roses qui
semble être encore en projet selon les informations
fournies sur le site Internet de l'association. L'information
transmise sur les blogs s'est propagée comme une
traînée de poudre et suscite aujourd'hui
de nombreuses interrogations. Sur un forum, des internautes
se demandent notamment pourquoi Florian Bourges n'a pas
fait état de ses liens avec l'entourage de Nicolas
Sarkozy. Interrogé, l'avocat d'Imad Lahoud, M e
Olivier Pardo, s'étonnait hier que de telles informations
n'aient jamais été portées à
la connaissance des juges d'instruction et se demande
pourquoi Florian Bourges n'a jamais été
questionné sur ces points. « Je vais faire
en sorte que les juges le sachent », lâche
simplement l'avocat. D'aucuns s'étonnent notamment
que la banque Clearstream n'ait pas déposé
plainte contre Florian Bourges pour atteinte au secret
bancaire et violation du secret professionnel. Le président
du conseil général, ministre de l'Intérieur
et président de l'UMP, Nicolas Sarkozy, rappelons-le,
s'est constitué partie civile dans le cadre d'une
information judiciaire ouverte à Paris pour «
dénonciation calomnieuse » dans l'affaire
Clearstream.
Florian
Bourges, l'informaticien qui a transmis les fichiers non
falsifiés de la société Clearstream,
est à la tête d'une association subventionnée
par le conseil général des Hauts-de-Seine
au titre de l'aide à la création de crèches.
(AFP/FRANÇOIS GUILLOT.)
Marisa
Faion
Le Parisien , jeudi 15 juin 2006
|
LETTRE
OUVERTE A MONSIEUR LE MAIRE
Monsieur
le Maire,
Vous avez fait procéder récemment, sans
aucune référence par ailleurs à un
arrêté municipal, à l’apposition
d’un panneau à proximité de l’Hôtel
de Ville ( côté rue Edmée Perrier
), intitulé : « Villes d’Asnières
s/Seine, Déplacement de la statut et aménagement
de la place à partir du 15 juin 2006 ».
Or, vu l’imminence des travaux , ou du moins leur
annonce, je tiens à rappeler, à titre préventif,
les éléments suivants:
-
qu’à ce jour, nous sommes toujours dans l’attente
de la réunion et de la décision de la Commission
en charge d’évaluer notamment la protection
de la statue du monument aux morts de la place Aristide
Briant , au titre de son inscription à l’Inventaire
supplémentaire des Monuments Historiques ( requête
déposée en octobre 2005 ),
-
qu’à ce jour également, un deuxième
recours en excès de pouvoir a été
déposé - par Monsieur Martin Saint-Léon
et moi-même - tout récemment auprès
du Tribunal administratif de Versailles aux fins d’annulation
de la délibération prise lors du Conseil
Municipal du 30 mars 2006 et relative au financement et
réalisation d’un parking souterrain en centre-ville,
-
qu’enfin, suite à l’affichage le 29
mai 2006 d’un permis de construire concernant ledit
parking souterrain, il convient, au regard de l’article
R. 490-7 du Code de l’urbanisme, de laisser s’écouler
les délais de droit commun dans l’éventualité
de recours des tiers,
En
conséquence, il vous est demandé de surseoir
à l’exécution des travaux jusqu‘à
la clôture des délais, au prononcé
de la Commission et jugement de la juridiction saisie.
Veuillez
agréer, Monsieur le Maire, l’expression de
mes sentiments distingués.
Hubert MASSOL
Conseiller municipal
|
Rebondissement
dans l'affaire du financement et de la réalisation
du parking souterrain en centre-ville...
LE
PARISIEN du jeudi 8 juin 2006
Asnières Nouveau recours
contre le parking
LE
FUTUR PARKING de l'hôtel de ville, à Asnières,
qui a déjà coûté la modique
somme de 816 000 €, n'en finit pas de faire parler
de lui. Après quatre ans de péripéties
et alors que la municipalité vient tout juste d'installer
un panneau signalant enfin l'autorisation de construire
les 320 places en sous-sol, le projet est une fois de
plus contesté par l'opposition. Deux élus,
le MNR Hubert Massol et l'UMP Laurent Martin-Saint-Léon,
ont en effet décidé de porter une nouvelle
fois le débat devant le tribunal administratif.
Tous deux viennent de déposer un deuxième
recours pour « excès de pouvoir » et
demandent que soit annulée la délibération
municipale qui approuve le choix du délégataire
chargé de la construction-exploitation du parking,
et qui autorise le maire à signer un contrat de
concession de travaux et de service public.
Plus
de 8 millions d'euros
Les
deux élus considèrent en effet que les documents
destinés à éclairer les élus
municipaux sur le projet n'ont pas été respectés,
ils estiment qu'il y a eu violation de la procédure
de passation des marchés publics et dénoncent
le coût exorbitant de la construction. « Lors
de réunions de la commission d'appel d'offres qui
doit décider du choix du délégataire,
le maire, Manuel Aeschlimann, qui préside normalement
cette commission, s'est fait remplacer et n'a pas pris
la peine de faire les formalités préalables
à sa représentation alors que c'est le plus
gros projet de sa mandature », dénonce Laurent
Martin-Saint-Léon. Mais ce que reprochent par-dessus
tout les deux élus, c'est le montage financier
de ce projet qui va coûter plus de 8 millions d'euros.
Ils se demandent pourquoi la ville verse en une seule
fois 3,6 millions d'euros d'aide à la construction
et ils s'interrogent sur une subvention d'équilibre
de 265 000 € versée, elle, pendant la durée
du contrat, c'est-à-dire trente ans. « La
ville verse une aide à la construction, garantit
les emprunts et verse 11 653 000 € de subvention
d'équilibre, et on ne comprend toujours pas pourquoi,
souligne encore Laurent Martin-Saint-Léon. Au final,
ce sont encore les contribuables qui vont payer. »
Le directeur général des services de la
ville, Bernard Loth, assure que toutes les modalités,
à commencer par les délais d'envoi des dossiers
aux élus, ont été respectées.
« Le remplacement du maire à la présidence
de la commission d'appel d'offres ne nécessite
pas de prendre un arrêté municipal, ce n'est
pas une obligation, précise Bernard Loth, qui poursuit
: sur le plan financier, la ville a décidé
de verser une aide à la construction pour éviter
d'avoir des emprunts trop importants. »

ASNIERES,
HIER APRES-MIDI. Deux élus attaquent de nouveau le
projet du parking de l'hôtel de ville en justice alors
que la mairie vient tout juste d'installer son panneau de
permis de construire. (LP/M.F.)
Marisa
Faion
|
Affaire
de la subvention de 200. 000 € : l'enquête
financière se poursuit
Manuel AESCHLIMANN, député-maire
d'Asnières entendu pour la 3ème fois devant
le Juge d'instruction
Nous apprenons que le 31 mai 2006, Manuel Aeschlimann
a été entendu comme témoin assisté,
accompagné de son avocat, Me Olivier Schnerb, par
le Juge d'Instruction Richard Pallain.
***********************************
DEPECHE CONFIRMEE PAR LE JOURNAL " LE PARISIEN
"
L'ACTU EN FLASH 24 Heures
ASNIERES
LE
31 MAI, le député-maire UMP d'Asnières,
Manuel Aeschlimann, a été entendu comme
témoin assisté, accompagné de son
avocat, M e Olivier Schnerb, par le juge d'instruction
Richard Pallain. Le député-maire aurait
été longuement interrogé dans le
cadre d'une enquête sur la subvention d'un festival.
Une
affaire qui remonte à 2001 et dans laquelle l'ancien
député-maire Frantz Taittinger avait été
mis en examen pour « favoritisme » par le
même juge.
A
l'époque, les enquêteurs s'interrogeaient
sur une surfacturation de la manifestation ; la subvention
qui avait été octroyée paraissait
surdimensionnée pour un simple défilé
organisé dans les rues de la ville. Cela fait trois
fois que l'élu est convoqué.
LE
PARISIEN mardi 6 juin 2006
|
NOUVELLES
FRASQUES JUDICIAIRES DU DIRECTEUR DE CABINET DE MANUEL
AESCHLIMANN
Asnières
Le directeur de cabinet du maire au tribunal
COSTUME
sombre et cravate flamboyante, Francis Pourbagher, directeur
de cabinet du maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann,
s'avance à la barre du tribunal correctionnel de
Nanterre. Hier, jugé par la 15 e chambre pour «
dénonciation calomnieuse », l'homme se montre
grave et tendu. Il « confirme in extenso »
sa plainte déposée en octobre 2003 à
l'encontre d'un automobiliste qui aurait tenté
de l'écraser, selon ses dires.
Mais
hier, c'est la plainte de l'automobiliste, Shebli Anvar,
membre d'une association opposée à la municipalité,
qui a mené le directeur de cabinet devant le tribunal.
Au soir du 28 octobre 2003, en pleine campagne électorale
pour les cantonales, Francis Pourbagher « circule
en ville pour vérifier les panneaux d'affichage
». Place de la République, il s'arrête
devant l'affiche dégradée de la candidate
qu'il soutient et « entend le moteur d'une voiture.
» « Je me suis retourné et j'ai commencé
à traverser. C'est là que le véhicule
m'a foncé dessus. J'ai eu très peur. »
«
Cela nous laisse pantois »
Malgré
cette frayeur qu'il décrit, il relève le
numéro d'immatriculation de la voiture. Première
contradiction soulevée par le tribunal : «
Vous interprétez comme une menace le moteur vrombissant,
alors vous traversez... », s'étonnent les
magistrats. « J'ai appelé le député-maire,
Manuel Aeschlimann, pour lui dire ce qui venait de m'arriver
», reprend le prévenu. « Il m'a conseillé
d'appeler le commissaire de police », explique le
directeur de cabinet. « Vous êtes victime
d'une tentative d'homicide et vous appelez d'abord le
maire ? », s'étonnent encore les juges.
Réponse : « Oui, c'est mon patron. J'avais
peut-être besoin qu'il me rassure. » «
Une sorte de thérapie », ironise le tribunal.
« Vous avez donné le numéro d'immatriculation
au commissaire ? » interroge le président,
Alain Prache. Le prévenu « ne s'en souvient
plus ». Et pour cause. C'est seulement le lendemain
de cette « agression » qu'il a communiqué
le numéro, en déposant plainte. «
Vous disposez d'un élément capital pour
que la police arrête votre agresseur et vous ne
le donnez pas au commissaire ? » Hésitation
du prévenu devant des magistrats insistants. «
Cela nous laisse pantois », commente le président.
Face aux « invraisemblances » du récit
de Francis Pourbagher et s'inquiétant d'une éventuelle
« instrumentalisation de la justice et des services
d'enquête », le procureur Bruno Bougie a requis
un supplément d'information. Notamment pour que
soient vérifiés les appels téléphoniques
du prévenu et pour que soit entendu le commissaire
de police. Mais, estimant disposer d'éléments
suffisants, le tribunal n'a pas donné suite à
cette requête, mettant son jugement en délibéré
pour le 22 juin. Olivier Schnerb, avocat du prévenu,
a plaidé la relaxe. L'avocat de la partie civile,
Jean-René Farthouat, réclame 10 000 €
de dommages et intérêts.
ASNIERES.
Le tribunal, qui doit rendre son jugement suite à
la plainte pour « dénonciation calomnieuse
» contre Francis Pourbagher (à gauche), ici
en compagnie du maire, Manuel Aeschlimann , a mis l'affaire
en délibéré . (DR.)
Valérie
Mahaut
Le Parisien , samedi 27 mai 2006
voir
autres articles >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>
|
INSECURITE
TOUJOURS EN HAUSSE
DELINQUANCE SUR LES PERSONNES ET LES BIENS A ASNIERES
...
Asnières/Tribunal
L'agresseur de vieilles dames reste en prison
IL
AVAIT SEMÉ la terreur chez les vieilles dames d'Asnières.
Abdelhak S., celui qui est accusé d'avoir agressé
cinq vieilles dames à Asnières en avril
et mai 2004, a été condamné vendredi
dernier à trois ans d'emprisonnement. Son procès
s'était tenu le 5 mai dernier devant la 12 e chambre
du tribunal correctionnel de Nanterre qui avait mis le
jugement en délibéré.
Incarcéré depuis le printemps 2004, le «
saucissonneur » restera donc encore un moment en
prison. Lors de son procès, le procureur avait
requis six ans de prison, mais retenant son « altération
du discernement au moment des faits » relevée
par un expert psychiatre, le tribunal a prononcé
une peine nettement inférieure aux réquisitions.
C'est le 3 avril 2004 qu'Abdelhak, 33 ans à l'époque,
agresse sa première victime. Il suit sa proie jusqu'à
son immeuble, puis dans le hall de l'immeuble. Et s'engouffre
dans l'appartement de celle-ci au moment où l'octogénaire
ouvre la porte. Pour quelques euros et la carte bleue,
il bâillonne et ligote sa victime sur le lit avant
de s'enfuir. L'agresseur recommence deux fois le 5 avril
puis enchaîne encore avec deux agressions à
la fin du mois et début mai. L'une des victimes
ne devra sa survie qu'à sa fille, venue la visiter
à l'improviste. La pauvre femme est restée
seule pas moins de quinze heures, ligotée et bâillonnée,
un foulard enfoncé dans la bouche. Elle suffoquait
quand sa fille l'a délivrée. Pour Jocelyne
Querre, l'avocate de l'agresseur, le doute devait profiter
à son client. Des traces ADN d'un autre homme que
lui avaient été retrouvées sur un
gant dans l'appartement d'une victime. Mais le «
saucissonneur » avait été formellement
reconnu par les vieilles dames.
V.M.
Le
Parisien , lundi 22 mai 2006
ASNIERES
Une quarantaine de véhicules vandalisés
MAUVAISE
surprise pour les habitants d'un quartier proche des Grésillons,
à Asnières. Plusieurs vandales se sont introduits
dans le parking en sous-sol situé à l'angle
des rues de la Parfumerie et Pierre-Boudou, à deux
pas de la place Voltaire, et ont endommagé une
quarantaine de véhicules durant la nuit de dimanche
à lundi. C'est un travailleur matinal qui a surpris
les malfaiteurs en train de fouiller sa voiture alors
qu'il descendait vers 5 heures dans le parking.
Surpris, les voleurs ont rapidement pris la fuite. Alertés,
les policiers du commissariat d'Asnières se sont
rendus sur place pour constater les dégâts.
Les malfaiteurs brisaient les vitres pour s'introduire
dans les véhicules et cherchaient visiblement à
faire main basse sur des objets de valeur. Une quinzaine
de plaintes ont déjà été déposées
par les victimes. Début avril déjà,
les habitants des Grésillons avaient été
la cible des vandales. Deux individus avaient été
interpellés par les policiers.
Le
Parisien , mardi 16 mai 2006
|
Un livre qui
se veut une bio d'un présidentiable... mais qui
consacre près de 50 pages sur 300 au marigot asniérois
!
(
Notre critique : Les initiés n'apprendront pas
grand chose. Pourtant l'auteur décrit relativement
bien l'atmosphère judiciaire qui sévit actuellement
sur Asnières mais ne s'attarde pas suffisamment,
selon nous, aux causes et surtout perpétue l' image
très, très surfaite du Maire en tant que
" conseiller" à l'U.M.P.
Détail un peu irritant aussi , les sources sont
rarement mentionnées et de nombreuses erreurs sont
commises. A lire néanmoins )
Portrait
Frédéric Charpier sur les traces
de Sarkozy
JOURNALISTE
d'investigation, Frédéric Charpier, 51 ans,
n'est pas un philanthrope ; il sait faire des concessions
mais il déteste le mensonge et l'information superfétatoire.
Dans son nouveau livre « Nicolas Sarkozy : enquête
sur un homme de pouvoir », qui vient de paraître
en librairie, comme dans tous les ouvrages qu'il a écrits,
l'écrivain aime partir à la rencontre de
ceux qui font l'histoire, l'embellissent parfois et la
défont souvent. Pas toujours facile.
« Pour ce livre, 90 % des entrées m'ont été
refusées, il y a eu un manque total de fair-play,
se souvient l'écrivain en parlant des proches de
Nicolas Sarkozy qui n'ont pas voulu le rencontrer. Moi,
j'ai pris l'habitude de ne pas fréquenter les politiques,
surtout ceux sur qui j'écris. J'ai bien senti que
la tendance naturelle c'était d'éviter de
déplaire à Nicolas Sarkozy. »
Huit
mois de recherches
Cela n'empêche aucunement ce journaliste au long
cours de croiser les informations, d'accumuler les faits
et de tirer des conclusions. On l'a bien compris, ce livre
n'est pas un dithyrambe consacré à l'actuel
ministre de l'Intérieur, plutôt un portrait
sans concession. « Je n'avais aucun a priori sur
l'homme, avoue pourtant Frédéric Charpier.
Je partais du principe qu'il existait un bruit médiatique
stupéfiant depuis son arrivée en 2002. Mais
on avait du mal à établir un bilan réel
de ce qu'il avait fait et à comprendre ce qu'il
voulait faire. » Pour cette dernière enquête,
qui n'est pas « encore un livre sur Sarkozy »
et qui se résume en 312 pages, il a fallu huit
mois de recherches et de rencontres... souvent sur les
terres alto-séquanaises, le berceau de Nicolas
Sarkozy. « Où il y avait des proches, des
inspirateurs, lâche l'écrivain, citant tour
à tour Patrick Devedjian, mais aussi le clan des
Corses, feu Achille Peretti, l'ancien maire de Neuilly
(1947-1983) et Charles Ceccaldi-Raynaud, député-maire
de Puteaux, avec en toile de fond, l'incontournable Charles
Pasqua. Il réserve une place de choix au député-maire
d'Asnières, Manuel Aeschlimann... qu'il surnomme
« le poisson pilote » : « Neuilly est
une ville morte, Asnières est vivante et le plus
drôle, c'est que l'opposition est de droite, relate
Frédéric Charpier. Manuel Aeschlimann n'a
pas une notoriété importante même
si on le voit apparaître sur la scène nationale
de temps en temps. Il a deux images : il est épisodiquement
auréolé de ses diplômes et de ses
analyses à l'UMP ; c'est aussi un potentat local
dans une ville incroyable où se multiplient les
lettres anonymes et les procédures judiciaires.
»
«
Nicolas Sarkozy : enquête sur un homme de pouvoir
», écrit par l'écrivain-journaliste
Frédéric Charpier, aux Editions Presses
de la Cité ; 312 pages au prix de 19 €, dans
toutes les librairies.
Marisa
Faion
Le
Parisien , vendredi 02 juin 2006
|
Quand la
municipalité - sous couvert de rénovation
urbaine - use abusivement de son droit de préemption,
spécule au détriment des propriétaires
de pavillons et densifie le tissu urbain...
URBANISME:
Préemption : la ville veut acheter 100 000 €
moins cher
Asnières
ACHETER
ou vendre un bien immobilier n'est pas un acte anodin.
Valérie Osmont, consultante en ingénierie
sociale, en sait quelque chose. Cette jeune et dynamique
quadra, qui travaille et habite un petit pavillon situé
rue Louise, à Asnières, vient d'en vivre
la triste expérience.
Agissant
au nom et comme gérante majoritaire de la société
Kuku Stop, société civile au capital de
6 000 €, elle décide de se défaire
de ce bien immobilier acheté au printemps 1999
pour faire l'acquisition, à titre personnel cette
fois, d'une habitation plus spacieuse. Les acquéreurs
potentiels se succèdent pour visiter sa maison
d'une surface de 125 m 2 avec vue directe sur la station
de métro Gabriel-Péri. Un compromis de vente
sera même finalement signé fin janvier pour
la somme de 330 000 €. Entre-temps, Valérie
Osmont se prépare de son côté à
l'achat d'une nouvelle maison...
«
La commune envisage le réaménagement du
front bâti »
C'est
là que les ennuis commencent : « Je n'ai
pas pu le signer à cause du droit de préemption
exercé par la ville, souligne l'intéressée.
Au moment de vendre, nous avons eu la mauvaise surprise
de constater que la ville faisait jouer son droit de préemption
pour un prix très en deçà de la valeur
du marché. Elle proposait d'acheter mon bien 99
000 € moins cher .» Et d'ajouter, scandalisée
: « Je me doutais que cette préemption aurait
lieu puisque, il y a trois ans, la ville avait fait une
proposition si basse que j'avais renoncé à
vendre à l'époque. Aujourd'hui, au regard
des prix de l'immobilier, la proposition d'achat de la
ville est scandaleuse. » D'ici à la fin du
mois, les vendeurs du pavillon que compte acquérir
Valérie Osmont risquent de lui demander les 10
% d'indemnisation que prévoit la réglementation
en cas de dénonciation du compromis.
Cette
situation n'est pas propre à Asnières. Et
s'il existe des droits pour se défendre (voir l'encadré)
, la parade contre de tels procédés reste
un vrai casse-tête. A Asnières, selon le
responsable du service d'urbanisme de la ville, le quartier
Voltaire se trouve dans une zone de droit de préemption
renforcé : « La ville envisage le réaménagement
du front bâti, on démolit certains pavillons
insalubres », souligne le directeur de l'urbanisme.
ASNIERES.
Selon l'estimation de son bien par l'administration, Valérie
Osmont devrait céder son pavillon à la ville
qui veut le préempter pour 99 000 euros de moins
que le prix du marché. (LPM.F.)
Marisa
Faion
Le Parisien , lundi 08 mai 2006
|
INSTANTANES....LES
ASNIEROIS NOUS SIGNALENT... ( ad libitum )
Insécurité
à Asnières : aucun quartier n'est désormais
épargné !
( Sélection de quelques faits délictueux
récents généralement non repris dans
la presse locale et qui ne risquent pas d'être évoqués
dans le journal municipal " Asnières infos
" ... )
- Règlements de compte en continu dans
le quartier nord d'Asnières
Des riverains nous signalent, désabusés
par tant de laxisme, qu'une voiture a encore brûlée
le dimanche 23 avril 2006 vers 22h 45 rue Henri Poincaré.
Ce type de délit par sa banalité statistique
ne suscite même plus de réaction efficace
et d'investigation de la part des forces de l'ordre contre
le ou les auteurs ... Surtout ne pas combattre les trafics
liés à la narco-économie, tel semble
être le mot d'ordre !
- Cambriolages rue des Parisiens et visite de
parking en sous-sol
.... Quelques jours auparavant des riverains nous avaient
indiqué la recrudescence de ce type de délits
dans le quartier.
- Place Voltaire : règlement de compte
intra-communautaire...Même le Parisien
cette fois-ci, y consacre une brève le 26 avril.
Lundi 24 avril à l'angle de la place Voltaire et
de la rue Gabriel Péri, un homme de 26 ans a agressé
un homme de 38 ans en lui portant plusieurs coups de couteau,
au motif qu'il ne supportait plus ses insultes ! La victime
a été transporté dans un état
jugé très grave, l'enquête confiée
au SDPJ 92. Pour information, des personnes présentes
sur les lieux et effarées qu'une telle scène
de massacre puisse se passer dans notre ville en plein
jour, nous ont confié que les forces de l'ordre
avaient mis plus de 20 minutes pour intervenir !!!
- Visite de parking en sous-sol et vandalisme
sur véhicules : Dans le Quartier résidentiel
des philosophes, rue Montesquieu ....une grosse berline
endommagée et une moto de grosse cylindrée
allemande volée aurait été retrouvée
selon les riverains.
- Jets de bouteilles sur la chaussée :
Rue Diderot, mercredi 3 mai vers 21 h 00 des
"jeunes" de type africain et agés entre
12 à 15 ans trainent dans les rues et "s'amusent"
à briser des bouteilles en verre sans être
aucunement inquiétés..... Que feront-ils
à 18 ans si, au premier chef, ni les parents -
et par suppléance - ni les pouvoirs publics n'interviennent
?
Vox clamantis in deserto
?
Quand on vous dit que la Police Municipale n'a plus les
moyens de ses missions et est démotivée,
que le quartier nord est un territoire abandonné
ou la loi ne s'applique plus, et que, pour faire
court,au delà des discours pseudo-sécuritaires
de l'UMP locale en période électorale et
de Manuel AESCHLIMANN en particulier, il n' y a pas de
réelle volonté politique de répression
de la délinquance et des trafics de drogue....
|
Dérives
municipales :
"Big Brother is watching you, don't worry, be happy
!"
APRES
LES SUPPRESSIONS ABUSIVES DU DROIT D'EXPRESSION D' ELUS
MUNICIPAUX,
( cf. tribunes libres mensuelles censurées
inopinément dans le journal municipal "Asnières
infos" )
LE SCANDALE DANS L' UTILISATION DES CAMERA DE VIDEOSURVEILLANCE....
ENCORE UN NOUVEL INCIDENT QUI ILLUSTRE LES PRATIQUES LIBERTICIDES,
LA CONFUSION ET L' ABUS DE POUVOIR
QUI SEVISSENT - A DES FINS PARTISANES - CHEZ CERTAINS
ELEMENTS EN MAIRIE
Liberté
d'expression: Pratiquer l’affichage libre ou associatif
à Asnières peut vous mener directement au
poste de Police !!!
- Asnières, 4 Mai 2006, avenue d'Argenteuil face
à la mairie annexe, encore une suréaliste
scène digne de Cloche-merle : deux policiers sur
ordre de la Mairie ( cf. pour preuve, photos de l'inénarrable
et zélé Francis POURBAGHER, directeur de
cabinet du maire Manuel AESCHLIMANN, présent sur
les lieux ainsi que des fonctionnaires territoriaux clairement
indentifiés et volontairement floutés )
se seraient rendus coupables de voie de fait ( délit
d'entrave à l’affichage libre, atteinte aux
libertés publiques ) et d'abus de pouvoir ( en
l'absence de trouble manifeste à l'ordre public
) contre un administré qui affichait sur des panneaux
associatifs, supposés "libres".
- En dépit de la loi ( cf. Code de l'Environnement
in Article L. 581-13 et Décret d'application n°
82-220 du 25 février 1982 portant application de
la loi n° 79-1150 du 29 décembre 1979 relative
à la publicité, aux enseignes et préenseignes
en ce qui concerne la surface minimale et les emplacements
de l'affichage d'opinion et des associations sans but
lucratif ), ce énième incident est à
resituer dans le contexte tendu et très liberticide
instauré par l'actuelle municipalité en
vue de confisquer totalitairement tout espace d'opinion
- et pourtant légalement dévolu à
cet effet ! - par un abus de propagande municipale à
la fois couteux pour les finances locales et sans intérêt
public véritable, si ce n'est chanter la plupart
du temps les mérites supposés de la politique
du maire actuel.

( Photos
reproduites avec l'aimable autorisation du site www.asnierois.org
)
QUESTION
CANDIDE
:Tout administré, contribuable ou électeur
peut en effet se poser légitimement la question
si tout ce petit monde
( directeur de cabinet du maire et spécifiquement
les agents de mairie affectés à cette petite
besogne ) remplit -t - il réellement
- durant les heures de travail - une mission d'intérêt
public au service de la ville d'Asnières et des
Asniérois ?
Liberté
d'expression: Bataille autour des panneaux d'affichage
LE PARISIEN
du 5 mai 2005
LES
PANNEAUX d'affichage libre sont âprement disputés
par les colleurs d'affiches de tout poil à Asnières.
Hier
un incident s'est produit rue d'Argenteuil, à deux
pas de la mairie annexe, entre les colleurs de la mairie
et un citoyen d'Asnières, Philippe Petit, qui n'est
autre que le conjoint de l'ex-conseillère régionale
et ex-maire adjointe de la commune, l'UMP Josiane Fischer.
Debout depuis 6 heures du matin pour coller son texte
« Halte à la propagande du maire ! »,
Philippe Petit s'est retrouvé nez à nez
avec les colleurs d'affiches de la mairie qui recouvraient
son texte d'une large feuille de publicité sur
la rencontre de grands maîtres d'échecs organisée
par la ville... « Ils recollent devant moi, c'est
un jeu qui dure depuis des années, lâche
Philippe Petit qui ajoute : C'est une confiscation des
panneaux d'affichage libre. »
Appelé
sur place, le responsable des services généraux
n'a pas su tempérer les ardeurs des uns et des
autres. Philippe Petit a fini par se retrouver menotté,
au commissariat. Cette histoire anodine finira-t-elle
une fois de plus devant les tribunaux ?
Le
Parisien, 5 mai 2006
|
NOUVELLE
CENSURE
DANS
« ASNIERES INFOS »
Mœurs
asniéroises : Les Asniérois ne
retrouveront pas encore ma tribune mensuelle en tant qu’élu
dans le journal municipal dans son numéro de mai
2006 et ceci depuis deux mois consécutifs. En effet,
elle vient d’être encore tout simplement censurée,
en dehors de toute légalité, en accord avec
Monsieur le Maire, au prétexte très, très
abusif d’un supposé retard dans sa transmission.
Nous nous réservons le droit de déférer
ce nouvel abus de pouvoir caractérisé devant
les juridictions compétentes.
******************
(
TRIBUNE CENSUREE DE MAI )
ET
NOUVELLE CONDAMNATION JUDICIAIRE…
Par
arrêt rendu le 27 avril 2006, la 8ème Chambre
de la Cour d’appel de Versailles a condamnée
à nouveau le journal « Asnières infos
» en la personne de son directeur de la publication
pour diffamation publique à l’encontre d’Hubert
MASSOL
(
Nous reviendrons sur cette affaire prochainement )
Connectez-vous
sur www.massol.org
|
TRIBULATION
JUDICIAIRE SUR FOND DE NOTE RG
Asnières Le
rapport des RG sur la Fondation Ostad-Elahi vient d'être
déclassifié
Une
dépêche AFP parue dans Le Parisien du 22
avril 2006
LA COMMISSION consultative du secret de
la défense nationale (CCSDN) a émis un avis
favorable à la déclassification d'un rapport
des renseignements généraux (RG) portant
sur la Fondation Ostad-Elahi, dans une affaire de diffamation
l'opposant à la mairie d'Asnières-sur-Seine.
L'avis de la CCSDN, publié au « Journal officiel
» hier, fait suite à un arrêt de la
cour d'appel de Versailles du 25 janvier 2006 demandant
la déclassification du rapport RG du 7 septembre
2005 sur la Fondation Elahi.
Diffamation
Cet
arrêt est « intervenu dans le cadre d'une
procédure d'appel entre la Fondation et Francis
Delage, jugé coupable de diffamation envers particulier
en raison de sa race, de sa religion ou de son origine
», selon l'avis publié au « JO ».
En juin 2005, Francis Delage, adjoint au maire UMP d'Asnières
Manuel Aeschlimann, avait été condamné
par le tribunal de Nanterre pour diffamation à
2 000 € d'amende, pour avoir diffusé dans
la ville d'Asnières à 40 000 exemplaires
un tract intitulé « Communiqué de
la mairie d'Asnières » et insinuant que la
fondation serait une secte sans en employer le terme.
Le 6 septembre 2005, M. Delage avait à nouveau
été condamné pour diffamation envers
la fondation à 1 500 € d'amende, le tribunal
jugeant qu'« à partir de différends
portant sur l'urbanisme, voire des querelles de personnes,
M. Delage et ceux non poursuivis qui l'ont assisté
ont diffusé un texte » visant à «
jeter l'opprobre public sur une fondation par ailleurs
reconnue d'utilité publique ».
(AFP.)
Le Parisien , samedi 22 avril 2006
|
Les
impôts locaux augmentent dans 17 villes sur 36
En dépit de la proximité des élections
municipales, certains maires n'arrivent plus à
contenir les taux d'imposition
( cf. Le Parisien édition du 11/04/066 )
ASNIERES en 8ème
position dans le département pour les
hausses d'impôts ...
TAXE D' HABITATION ........12,27
( taux en 2006 ) ............. + 2,28 ( variation 2005/2006
)
TAXE FONCIER BATI ........ 10,1 ( taux en 2006 ) .............
+ 2,28 ( variation
2005/2006 )
lire
l'article du parisien 2>>>>>>>
lire
l'article du parisien 2>>>>>>>
|
Lu
dans le journal "Les Echos" du 3 avril 2006
Manuel,
petit calculateur politicien ou le refus de l'engagement
!
[ Commentaire du député-maire d'Asnières
à propos de l'attitude de Nicolas Sarkozy dans
le mouvement contre le CPE ]
"S'afficher
si rapidement dans la foulée du chef de l'Etat
peut mettre en danger Nicolas Sarkozy, qui pouvait se
contenter de rester loin du front" s'inquiète
le député Manuel Aeschlimann, chargé
du suivi de l'opinion publique à l'UMP."
|
ASNIERES
: AESCHLIMANN ENTENDU COMME TEMOIN
Le
maire UMP d'Asnières, Manuel Aeschlimann, a été
entendu vendredi, par un juge d'instruction de Nanterre
comme témoin assisté dans une affaire de
favoritisme dans l'attribution d'un marché public
par la mairie et a été confronté
à son prédécesseur RPR, Frantz Taittinger,
seul mis en examen. La confrontation aurait duré
près de sept heures, selon ces mêmes sources.
Le parquet de Nanterre avait ouvert en mai 2003 une information
judiciaire pour "octroi d'avantage injustifié,
recel et détournement de fonds publics". L'affaire,
qui remonte à 1998, concerne un projet monté
par Manuel Aeschlimann, alors premier adjoint au maire
Taittinger, de festival folklorique, qui avait coûté
200 000 €. Le préfet rejette le contrat pour
non-conformité au Code des marchés publilcs.
Mais la ville persiste à confier l'organisation
à CDA Production ainsi qu'à une association
paramunicipale, Asnières Communication, ces structures
étant gérées par Dominique Carbonnier
ami de Manuel Aeschlimann.
Le
Parisien, le 05 avril 2006
|
Mairie d'Asnières
: une boulémie judiciaire souvent injustifiée
Plus de 600.000 € pour des règlements de
frais et d’honoraires d’avocats, des règlements
de frais et d’honoraires d’huissiers de
justice, des règlements de frais de contentieux,
des règlements de frais de procédures.
Certains actes pris par le Maire par délégation
ne semblent manifestement pas d'intérêt
communal et à ce titre sont susceptibles d'être
déférés en justice... En attendant
le contribuable asniérois trinque !
***********
Asnières
Blogs : constats d'huissier en série
LES CONSTATS d'huissiers sur les sites Internet et autres
blogs de la ville se multiplient à Asnières.
Une procédure obligatoire selon le maire, Manuel
Aeschlimann... Ce qui n'est pas de l'avis de tout le monde.
Lors
du dernier conseil municipal, le MNR Hubert Massol, dont
le site n'a pas été épargné,
s'est d'ailleurs inquiété de ces pratiques
: « Maintenant, quand on fait un blog, on est un
délinquant, s'inquiète le mégrétiste.
On fait un constat d'huissier par avance sur la teneur
des sites dans le but de faire un procès ensuite
. Les Asniérois n'ont pas à faire les frais
de vos suspicions ; d'ailleurs, c'est une mesure qui est
susceptible d'être annulée par le tribunal
administratif. »
Le
socialiste Luc Bérard de Malavas a renchéri
: « Quatorze constats d'huissier pour des sites
Internet, c'est carrément des constats d'intimidation...
Les élus et les associations qui émettent
des critiques sur votre action municipale sont systématiquement
attaqués. » Au budget prévisionnel,
452 000 € auraient été inscrits pour
les frais d'avocats et autres procédures selon
Bernard Loth, directeur général des services.
« Seules 24 décisions sur 55 sont de nature
juridique », souligne encore Hubert Massol. Le maire
contre-attaque en s'adressant à l'opposition :
« On énumérera vos recours, il y en
a beaucoup plus que ceux qu'on a fait contre vous, lâche
Manuel Aeschlimann. Vous attaquez tous les conseils municipaux
; toutes les délibérations sont attaquées
en justice. »
Les
échanges entre élus se terminent rarement
sans procès
A
Asnières, les échanges entre les élus
de l'opposition et ceux de la majorité lors des
séances publiques des conseils municipaux se terminent
rarement sans procès il est vrai . Les derniers
à en avoir fait les frais sont Jean-Jacques Semoun,
ex- adjoint au maire passé aujourd'hui dans l'opposition,
et le conseiller municipal centriste Bruno Casari, qui
viennent d'être assignés en justice par le
directeur général des services, Bernard
Loth, pour « outrage envers un fonctionnaire public
».
«
Il y a une judiciarisation de la politique à Asnières,
s'inquiète à son tour le conseiller municipal
PS Sébastien Pétrasanta. Quand ce ne sont
pas les constats d'huissiers, ce sont les droits de réponse
et les procès. »
Quatorze
constats d'huissier pour des sites Internet et autres
blogs concernant la ville ont été établis
à la demande de la mairie, selon un élu
socialiste. (LP/M.F.)
Marisa
Faion
Le Parisien , jeudi 06 avril 2006
voir
l'article en pdf
|
Asnières/Future
mosquée
Une subvention qui crée la polémique
POLEMIQUE
sur fond de débat sur la laïcité au
dernier conseil municipal d'Asnières. L'opposition,
droite et gauche confondues, s'est interrogée sur
l'opportunité d'une subvention de 24 000 €
en direction de l'Association culturelle d'entente d'Asnières
(Acea) dont l'adresse correspond à celle de la
mosquée Al-Hidaya Al-Islamiya. Les élus
soupçonnent la ville d'utiliser ainsi un moyen
détourné pour participer au financement
de la construction de la future mosquée de 1 800
m 2 .
« Vous déclarez qu'il s'agit d'une association
d'utilité publique alors qu'elle a été
seulement créée l'an dernier et qu'il faut
trois ans pour obtenir cette reconnaissance, s'est interrogé
le conseiller municipal MNR Hubert Massol, en s'adressant
au maire, Manuel Aeschlimann. Il n'y a pas non plus d'indication
sur le nombre d'adhérents et l'objet social reste
flou ; pour du soutien scolaire, je trouve que 24 000
€, c'est un peu disproportionné. » Un
argument repris par les socialistes : « C'est quatre
fois plus que l'attribution faite au club des Chardons
qui accueille un nombre supérieur d'enfants »,
a souligné Luc Berard de Malavas. L'ex-adjoint
au commerce, Laurent Martin Saint-Léon, connu pour
ses positions anticommunautaristes, a enfoncé le
clou : « Vous contournez la loi de 1905 qui n'autorise
pas le financement des lieux de culte, par le biais d'une
association culturelle, a-t-il affirmé. Vous avez
tenté de le faire en catimini en joignant cette
délibération aux affaires générales.
Or la construction de la mosquée est un problème
qu'il faut aborder avec humanisme et intelligence car
cette construction va modifier la vie de tout un quartier.
»
«
C'est une association culturelle »
Attaqué,
le député-maire UMP a riposté : «
Faites attention de ne pas en faire une chose politique,
ce pourrait être discriminatoire. C'est une association
culturelle et elle n'a pas pour vocation de financer la
mosquée. Nous avons une approche objective. Je
ne connais pas un maire qui refuserait une subvention
à une association culturelle. » Et l'adjointe
Marie-Dominique Aeschlimann de préciser : «
Sur les 1 800 m 2 , 670 m 2 seraient affectés à
l'association culturelle ; 118 enfants seraient reçus
dans le cadre de l'activité de soutien scolaire.
Par ailleurs, des cours d'alphabétisation pour
les femmes étrangères seraient assurés
en partenariat avec la Maison des femmes. D'autres financements
seront mobilisés, comme le Fonds social européen...
» Outre le soutien scolaire, on retrouve dans le
rapport moral de l'association remis par la ville des
actions humanitaires comme l'organisation de repas chauds
l'hiver, l'accompagnement administratif des seniors et
l'accueil des SDF...

ASNIERES,
RUE DE L'ABBE-LEMIRE. Alors que les travaux de la mosquée
ont à peine commencé, les élus de
l'opposition s'interrogent sur l'opportunité d'une
subvention culturelle. (LP/MARISA FAION.)
Marisa
Faion
Le
Parisien , lundi 03 avril 2006
voir l'article en pdf
|
Bilan
Les émeutes ont fait plus d'un million de dégâts
UN
MILLION cent quarante-sept mille cinquante et un euros
et huit centimes. Telle est la somme exacte représentant
la facture des émeutes de l'automne 2005 dans le
département des Hauts-de-Seine, après les
émeutes de l'automne. Un montant « total
du coût de remise en état » évalué
par la région à partir des montants fournis
par les collectivités locales et les organismes
du département.
Parmi les villes les plus touchées : Suresnes,
dont la halle entièrement détruite par le
feu, coûte 869 000 € ; Issy-les-Moulineaux
où les travaux de remise en état de l'école
maternelle des Epinettes, dont une classe a été
partiellement incendiée, s'élèvent
à plus de 30 000 € ; Asnières, dont
l'installation des caméras de surveillance a été
partiellement abîmée, a également
pour 30 000 € de réparation. A Antony et Gennevilliers,
une série de « dégâts mineurs
» porte la facture respectivement à près
de 10 000 et près de 20 000 €. A la fin des
émeutes de l'automne 2005, la région Ile-de-France
a voté la constitution de deux fonds de solidarité.
30
000 € à Asnières et Issy
Le
premier de 20 millions d'euros, est destiné à
aider les communes cibles d'incendies et de vandalisme.
Le second, de 2 millions, s'adresse aux particuliers.
Cinq mois après les nuits de violence, les villes
ont à peu près chiffré leurs dégâts
et sont, pour beaucoup, encore en négociation avec
leurs assurances. L'Etat, sollicité à plusieurs
reprises, a refusé d'indemniser les collectivités
locales. La mise en oeuvre du fonds régional est
donc très attendue, elle permettra de lancer les
travaux de remise en état des équipements.
Jeudi, les élus de la commission permanente du
conseil régional doivent approuver les modalités
de répartition et de versement. En voici les points
essentiels.
Des avances de 50 % à 80 %. Sur la base de l'estimation
détaillée du coût de la remise en
état des équipements publics dégradés
entre le 26 octobre et le 21 novembre 2005, la région
attribuera une avance pouvant aller jusqu'à 50
% pour les villes les plus riches, et à 80 % pour
les plus pauvres. C'est le potentiel fiscal moyen par
habitant en 2004 (1 174,58 €) qui sépare les
deux catégories de communes. Exemple : Suresnes,
Gennevilliers et Issy-les-Moulineaux sont au-dessus et
auront droit à 50 %; En revanche, Antony et Asnières
sont au-dessous et peuvent prétendre à 80
%.
Conventions entre villes et région. Pour bénéficier
de l'aide, les villes devront fournir un échéancier
prévisionnel des travaux et signer une convention
avec la région. Les demandes d'avances peuvent
être déposées jusqu'au 31 août.
Dans un délai de sept ans, l'avance versée
à la ville sera totalement ou en partie remboursée
à la région, en fonction des indemnisations
obtenues auprès des assurances.
Blandine Seigle
Le
Parisien , lundi 03 avril 2006
|
Le
Parisien 31 mars 2006
L'UMP
suspend l'élu trublion candidat aux élections
internes
APRÈS
LE RETRAIT de sa délégation d'adjoint délégué
au maire au commerce et à l'artisanat d'Asnières,
Laurent Martin Saint-Léon, qui
s'oppose à la politique locale du député-maire
UMP, Manuel Aeschlimann, n'en finit pas de payer ses prises
de position.
Lire
suite de l'article de Marisa Faion >>>
|
INSTANTANE
29/03/06 - 19H30 ASNIERES Quartier philosophes
- SCENE DE RIXE ORDINAIRE SUR LA VOIE PUBLIQUE
On nous signale à l'angle des rues Liouville, Prony
et Montesquieu un rassemblement d' une trentaine de "jeunes"
"beurs" contre "blacks" agés
pour la plupart entre 15 et 25 ans qui s'affrontent au
milieu de la chaussée endommageant les véhicules
stationnés ; la police ayant été
appellée par nos soins.
C e n'est pas la première fois à cet endroit
que des échauffourées de ce type ont lieu.
Monsieur le Maire en a été par ailleurs
déjà maintes fois alerté par les
habitants, ce dernier devant leur mécontentement
s'étant même senti obligé de leur
répondre.... mais pour dire quoi et faire quoi
au juste afin d'endiguer cette montée de l'insécurité
palpable sur toute la ville !
|
LA
MAIRIE D‘ ASNIERES VEUT- ELLE FINANCER EN CACHETTE
UN CENTRE ISLAMIQUE ?
-A.C.E.A…Connaissez-vous
cette association qui se cache derrière ce sigle
mystérieux et demande l’attribution d’une
subvention de 24.000 €, au prochain Conseil Municipal
le 30 mars 2006 à 20 h 00 ? Les élus n’en
ont été informés que le 22 mars sans
plus de précision sur ce projet et cette subvention
publique. Cette association loi de 1901 est déclarée
à la préfecture des Hauts-de-Seine comme:
« ASSOCIATION CULTURELLE L’ENTENTE D’ASNIERES
(A.C.E.A.) Objet : expositions, débats, conférences,
cultures, échanges œcuméniques, sports,
loisirs, etc. ; se doter de tous les moyens de communication,
d’édition et d’un site internet ; diffuser
et promouvoir les cultures et les langues d’origine
; maintenir et renforcer les liens de fraternité
et de solidarité ; participer à la lutte contre
toute exclusion. Siège social : 23, rue de l’Abbé-Lemire,
92600 Asnières-sur-Seine. Date de la déclaration
: 1er février 2005. »
Pourquoi Monsieur le Maire dissimule t-il aux Asniérois
qu’à cette adresse se trouve la mosquée
d’Asnières Al Hidaya Al Islamyia et propose
t-il aux contribuables de financer en réalité
un centre coranique ?
Vue en perspective de la future mosquée ( doc. Mosquée
d’Asnières )
23 -25 rue de l’abbé Lemire 92600 Asnières
|
ASNIÈRES-
INSECURITE
( brève parue dans Le Parisien , samedi 25 mars 2006
)
(
ENCORE UN ! ) Braquage à la boutique de viennoiserie
PEU AVANT 20 heures, juste avant la fermeture, le malfaiteur
s'est glissé sous le rideau métallique abaissé
pour s'introduire dans ce magasin Point Chaud. L'homme a
alors brandi une bombe lacrymogène, menaçant
l'employée et exigeant de se faire remettre le contenu
de la caisse. Le malfaiteur s'est ainsi emparé d'environ
300 € avant de prendre la fuite.
La police judiciaire est saisie de l'affaire.
|
LE
DIMANCHE 19 MARS 2006 A 9 H 45
NON
AU DEPLACEMENT DE LA STATUE
NON A ASNIERES DEFIGURE !
Le monument aux morts sera-t-il déplacé
?
Petite
interrogation du côté des administrés
asniérois. Selon un arrêté municipal,
qui porte sur la création provisoire d'une interdiction
du stationnement du 13 au 17 mars, place A.- Briand, l'entreprise
les Pierreux Franciliens aurait été dépêchée
par la municipalité « en vue d'effectuer
des travaux d'aménagement ». Or, à
cet endroit même, se trouve l'ancien monument aux
morts de la guerre de 1870, pour lequel deux élus,
mais aussi l'Union française des anciens combattants,
avaient demandé une protection au titre des monuments
historiques ! C'est aussi à cet endroit, en plein
coeur de ville, que doit se construire un parking souterrain
pour lequel une requête en annulation a été
demandée auprès du tribunal administratif.
D'où l'émoi de certains habitants qui se
demandent si la statue, qui attend toujours son classement,
ne sera pas déplacée durant cette période.
La question a été posée au maire
UMP Manuel Aeschlimann, lors du dernier conseil municipal.
Ce dernier n'a pas confirmé que l'entreprise était
chargée de ce déplacement.
LE
PARISIEN LUNDI 13 MARS 2006
A l’appel des Anciens Combattants de la ville ,
des riverains, d’élus et de tous les Asniérois
soucieux du maintien en l’état du patrimoine
local, la population est conviée à venir
manifester symboliquement sa contestation du projet actuel
de déplacement de la statue du monument aux morts
et de la suppression des espaces verts environnants (
place Aristide Briand devant la poste ).
Monsieur le Maire, prétextant la construction d’un
parking souterrain fort discutable en ce lieu pour des
raisons à la fois techniques et budgétaires
- et dont la décision est par ailleurs attaquée
en justice par deux élus auprès du tribunal
de Versailles - projette ce déplacement en dépit
du profond désaccord manifesté tant par
les associations d’anciens combattants que des nombreux
riverains de la place Aristide Briand.
De plus, cette entreprise de défiguration d’un
site afin de pouvoir y installer au même emplacement
une disgracieuse et polluante cheminée d’évacuation
des gaz d’échappement ( ! ), intervient au
moment où le Conservatoire régional des
Monuments Historiques étudie l’inscription
de la statue à l’inventaire supplémentaire
des Monuments Historiques, œuvre érigé
en 1901 par l‘architecte Cousteix et le sculpteur
Auguste Maillard, élève de Dalou et de Falguière.
NON AU BETONNAGE, NON A LA POLLUTION
POUR LA SAUVEGARDE DU CENTRE VILLE ET DU PATRIMOINE
RENDEZ-VOUS
DEVANT LA STATUE
POUR UN BREF HOMMAGE AUX ENFANTS D’ASNIERES MORTS
POUR LA PATRIE
LE
DIMANCHE 19 MARS 2006 A 9 H 45
voir
le tract distribué
|
"
ASNIERES, UN CAS A PART "
C'est "LE MONDE" qui le dit !
Blogs citoyens : à l'ouest, du nouveau
SUITE
>>>>
Insécurité
ASNIERES
- Nord / Quartier des Mourinoux –
Un homme blessé par balles
Mardi
7 mars 2006 vers 22h 00 un homme se trouve devant un immeuble
du quartier nord de la ville en voiture. Il est à
ce moment agressé par deux individus qui lui tirent
deux coups de feu et le touche au bras et dans le dos.
Il se serait réfugié au poste de la police
municipale. Ses jours ne sont plus en danger. La P.J.
enquête.
|

Nous
rappellons que l'
entrée est libre.
Séance
publique
ouverte
à tous !
|
Rappel
La
séance du premier Conseil
Municipal de l'année 2006
se déroulera,
dès 20h,
jeudi 9 mars
à l'Hôtel de Ville.
Ce Conseil municipal est préparatoire au Conseil
prévu le 30 mars 2006 concernant le vote du Budget
de la ville pour l'exercice 2006
L'ordre
du jour est le suivant :
1°)
Nomination du Secrétaire de Séance.
2°)
BUDGET PRIMITIF 2006 :
Débat
sur les Orientations Budgétaires de la Commune, conformément
à l’article L. 2312-1 du Code Général
des Collectivités Territoriales.
|
Conseil Municipal du
09/03/06 sur le débat d'Orientation Budgétaire:
Compte-rendu d'un débat en trompe l'oeil !
Formalité rendue obligatoire
conformément aux dispositions du Code des Collectivités
Territoriales, ce conseil fut bien un débat formel
voire carrément faussé.
- En effet, le document remis aux conseillers
municipaux ne traitait d'Asnières que sur une quinzaine
de pages sur une cinquantaire ( ! ), le reste n'étant
qu'un fourre tout artificiel de considérations
macro-économiques sur , par exemple, la zône
euro ou la relance de l'activité internationale
! Bref, on était loin des finances municipales.
- Comme à son habitude et bien que ne présentant
pas un caractère d'urgence, M.Aeschlimann, abusant
de son pouvoir de maire, essaya d'emblée de rajouter
- en sus de l'ordre du jour communiqué aux élus
- un rapport d'activité relatif au conseil économique
et social de la ville. Mais devant la bronca provoquée
par ce non- respect de la légalité et de
la représentation communale ( le rapporteur ne
pu lire sa communication ), monsieur le Maire décida
de passer enfin à l'examen de l'ordre du jour tel
que prévu initialement.
- Le document budgétaire fut alors
présenté par vidéo-projecteur par
Madame la directrice du service financier qui devait avouer
devant la distorsion des histogrammes et chiffres avancés
qu'il présentait quelques petites erreurs...sans
que monsieur le Maire ou son adjoint chargé des
finances de la ville n'apportent le moindre rectificatif
!
- Puis vient le tour d'un vague conseiller
municipal délégué au budget qui selon
certains Asniérois n'habiterait pas la commune...
mais chargé de nous dire que les impôts vont
encore augmenter pour cette année !
- Chacun présent à cette
séance aura pu constater l'autosatisfaction en
matière de dépenses de "communication"
supposées indolores budgétairement de la
part de notre édile et a contrario, son absence
de réponse claire ou de réponse tout court
concernant, par exemple, la question préoccupante
du gonflement de la dette de la ville dite faussement
" maitrisée" ( soit 137 000 000 euros
pour l'année 2005 ) alors que la commune est au
bord de la tutelle préfectorale pour mauvaise gestion
financière.
- Rien d'explicite non plus concernant
le déplacement programmé de la statue du
monument aux morts de la place Aristide Briand ( bien
qu'en l'absence à ce jour de toute autorisation
par les services des Monuments Historiques saisis du dossier
), rien aussi, corrolairement, sur le caractère
illégal de la délibération votée
le 15 décembre 2005 concernant la construction
d'un parking en centre ville et déférée
en justice par deux élus...
( cette réalisation obérant pourtant lourdement
le bugdet communal dés l'exercice 2006 ! )
En attendant ( peut -être ? ) un débat sur
le fond, rendez-vous à la séance budgétaire
le 30 mars 2006 à 20h en Mairie. Entrée
libre !
|
TARTE
A LA CREME SUR LE MULTI-COMMUNAUTARISME ET CLIENTELISME
POLITICIEN
- M. AESCHLIMANN, Maire d'ASNIERES, sans
doute pour conjurer sa désastreuse politique pour
la ville ( endettement budgétaire record, urbanisme
surdensifié bas de gamme, fuite des commerces de
proximité, explosion des violences et de l'insécurité...),
nous assène à nouveau la thèse éculée
du "multiculturalisme" à la petite semaine
présentée comme la panacée supposée
aux difficultés de la société française
et nous prône les vertus de l'ethno-marketing .
Oubliant manifestement que l'histoire nous démontre
que les sociétés "multi-confessionnelles"
sont multiconflictuelles.
- Il suffit pour s'en rendre compte de voir l'actualité
criminelle et délictueuse de ces derniers jours
en France avec, par exemple, le meurtre d' Ilan Halimi
par une bande dirigée par un franco-ivoirien de
confession musulmane, celui d'un père de famille
d'origine algérienne, Chaïb Zehaf, les aggressions
de deux jeunes juifs à Sarcelles et la mort de
Raphaël Clin...( liste non exhaustive ! )
(
lire l'analyse parue dans le journal "Le Monde"
du 08/03/06)
|
INFORMATIONS
LOCALES OU GROSSIERE PROPAGANDE DU MAIRE FINANCEE AVEC
L' ARGENT DES CONTRIBUABLES ASNIEROIS ?
L'Expansion, journal économique mensuel dans sa
livraison de mars 2006 n° 706 en pages 72 et 73 et
sous le titre "Fièvre éditoriale
chez les élus locaux" , article signé
par Franck Dedieu,
pose la question et met en cause particulièrement
la politique dispendieuse et le nombre des publications
municipales à Asnières ( 7 au total ! )
Le mensuel souligne que: "Du maire au président
de région, ils veulent tous leur gazette. Une communication
parfois coûteuse et jamais dénuée
de calcul politique. "
"La
devise républicaine sur le fronton, le portrait
de Jacques Chirac, le traditionnel service de la voierie
et le bureau de l'état civil... En apparence, rien
ne distingue la mairie d'Asnières (Hauts-de-Seine)
d'une autre. Sauf, peut-être un détail, bien
connu de ses habitants: elle abrite aussi...un véritable
groupe de presse. Le sémillant Manuel Aeschlimann,
premier magistrat UMP de la ville, y concocte sept publications,
tirées chacune à plusieurs milliers d'exemplaires.
Au traditionnel magazine généraliste Asnières
Infos s'ajoutent des éditions très ciblées.
Selon une sélection effectuée à partir
deslistes électorales, chaque Asniérois
reçoit sa revue: les petits, les ados, les seniors
et les femmes. Sans oublier les suppléments week-end,
distribués le dimanche sur les trois marchés
de la ville par des agents communaux, un par marché.
De la lecture, beaucoup de lecture..."
"Le
coût de mes publications avoisine les 500 000 euros,
soit à peine 0,48% du budget total de la ville,
plaide de son côté le sarkozyste Manuel Aeschlimann
en bon directeur de campagne. Les frais de distribution
sont très serrés et les recettes publicitaires,
non négligeables."
"Je
me déplace sur le terrain, il faut que ça
se voie", allègue de son côté
Manuel Aeschlimann. Il promeut non seulement son image,
mais aussi ses initiatives. Les retraités Asniérois
ont ainsi découvert-avec soulagement ?- l'emplacement
des nouvelles caméras de vidéosurveillance
installées par la police municipale."
Et le magazine de tirer la leçon par cette phrase
en forme de maxime :
"Quel que soit
le montant final de la facture, le contribuable finance
souvent un véritable outil d'autopromotion camouflé
derrière un concept de presse".
|
En
dépit du fiasco du premier "collège
de la réussite" à Asnières,
la classe politicienne départementale persévère
dans ses erreurs éducatives et budgétaires
et la presse minimise en qualifiant d'"incident"
des faits d'agression sexuelle en réunion sur mineur...
>>>
lire l'article du quotidien Le Parisien >>>
|
Asnières
Parking du centre : deux élus attaquent le projet
en justice
SEPT NIVEAUX en sous-sol, 330 places et un coût
estimé à quelque 8,9 M€... Le projet
de parking souterrain qui doit s'implanter dans le centre-ville
d'Asnières, sous la place Aristide-Briand, près
de l'hôtel de ville, risque de voir sa construction
retardée une fois de plus (voir encadré)
. Deux élus d'opposition ont décidé
de saisir le tribunal administratif pour faire annuler
une délibération prise lors du conseil municipal,
le 15 décembre.
Le texte soumis au vote concernait l'approbation du choix
du délégataire chargé de la construction
et de l'exploitation du futur parc de stationnement ainsi
que l'acceptation du contrat de concession de travaux
et de service public. Il demandait au conseil d'autoriser
le maire à signer ledit contrat. Les deux élus,
Hubert Massol (MNR), conseiller municipal,
et Laurent Martin Saint-Léon,
ex-maire adjoint UMP aujourd'hui dans l'opposition, estiment
que le maire n'a pas communiqué les éléments
du dossier dans un délai suffisant pour permettre
l'examen des pièces et la réflexion suffisante
pour délibérer. Ils pensent aussi que de
nombreuses modifications étaient apportées
à ce projet de délibération. «
Ce conseil s'est avéré très long,
les débats se sont concentrés sur l'affaire
de l'interview iranienne du directeur de cabinet, souligne
Laurent Martin Saint-Léon. La délibération
nous a été distribuée pour un vote
immédiat alors que c'est un projet dont on parle
depuis quatre ans. On nous a imposé un projet de
délibération modifiée qui n'a même
pas été validé par la commission
des affaires générales de la mairie qui
se réunit une semaine avant le conseil. »
Les deux élus pointent le coût exorbitant
de la future construction. « Le projet repose sur
un montage financier aberrant et prohibitif pour le contribuable,
alors que des sommes folles (plus de 600 000 € )
ont déjà été englouties et
qu'aucun coup de pioche n'a été donné,
souligne Laurent Martin Saint Léon. En plus du
prix du parking (plus de 8 M€), la ville s'engage
à verser en une fois dans le mois qui suit le début
des travaux une subvention d'équipement égale
à 3 590 M€ , elle garantit les emprunts nécessaires
pour un montant plafonné de 4 350 M€ et les
Asniérois devront verser 265 000 € de subventions
d'exploitation pendant trente ans, c'est-à-dire
11 653 M € . On ne voit pas ce qui justifie cette
durée de trente ans. »
Marisa Faion
Le
Parisien , samedi 04 mars 2006
|
PARKING
Asnières / Parking du centre
Quatre années de procédures
Juillet
2002,
premier contrat de concession (réalisation et
gestion) signé avec Omniparc (ex-Gisparc-GTM).
Septembre
2002 : le préfet demande l'annulation de
la délibération pour « erreur de procédure
au niveau des Codes des marchés publics »
et saisit le tribunal administratif qui lui donne raison.
Juin 2003,
le conseil municipal d'Asnières adopte le principe
de la signature d'un acte transactionnel portant sur 816
000 € pour indemniser la société Omniparc.
Dans cette délibération, il approuve également
le lancement d'une nouvelle procédure en vue de
la conclusion d'un bail emphytéotique administratif
pour la construction d'un parking aux abords de l'hôtel
de ville.
Août
2004, afin de conclure le bail emphytéotique
(BEA), la ville a dû procéder au déclassement
d'une partie de la place Aristide-Briand et doit donc
recourir à une enquête publique qui a eu
lieu du 2 au 20 août. Elle sera annulée par
le maire à la suite d'un recours portant sur la
date et la durée de l'enquête, mais aussi
sur le choix du commissaire-enquêteur, un fonctionnaire
de la ville, ainsi que sur l'absence d'étude d'impact
liée travaux.
Novembre
2004,
nouvelle enquête publique du 2 au 19 novembre qui
donne lieu à un avis défavorable du commissaire-enquêteur
car il considère que les conditions de l'enquête
ne permettent d'informer le public sur les motifs du déclassement
(signature du BEA) et sur les conséquences pour
la ville et les contribuables.
Décembre
2005, le maire abandonne la procédure de
BEA et fait adopter lors du conseil de décembre
2005 le principe d'une concession de service public, revenant
au montage juridique initialement choisi. Le conseil municipal
approuve le choix du titulaire du contrat de délégation
et le contrat d'attribution. C'est cette délibération
qui est aujourd'hui attaquée.
Le
Parisien , samedi 04 mars 2006
|
Le
Parisien , jeudi 02 mars 2006
ON
NE COMPTE PLUS les naissances de sites Internet et autres
blogs sur la commune d'Asnières. Hier encore, la
Toile s'est enrichie d'un nouvel arrivant. Il s'agit du
tout nouveau site de l'Association des républicains
d'Asnières-Colombes sud (ARA).
Ce
qui donne un avant-goût de ce que sera la prochaine
campagne électorale. Finis les tracts papiers anonymes,
diffamatoires ou de propagande, distribués dans
les boîtes aux lettres. Les joutes se font désormais
via le Net où chacun, selon son style, déploie
ses arguments.
Les
blogs se multiplient
Après
le premier, né en décembre 2003, le site
associatif, asniérois.org, plusieurs élus
de la ville ont décidé de suivre le mouvement
et d'exprimer librement leurs convictions sur le Web.
C'est déjà le cas du MNR Hubert Massol,
qui communique via son site www.massol.org
ou du PS Sébastien Piétrasanta qui lui a
préféré le blog, une version plus
interactive.
Aujourd'hui
le site www.asnieresrepublicain.com
de l'association ARA s'inscrit dans cette logique. Il
a été fondé par plusieurs citoyens
issus d'horizons politiques divers et relayé par
le groupe Asnières républicain au sein du
conseil municipal, via la conseillère municipale
Corinne Previtali et l'ex-maire adjoint à la sécurité
aujourd'hui simple conseiller municipal, Laurent Martin
Saint-Léon. « L'ARA se veut le lieu de rassemblement
de tous ceux qui partagent les mêmes convictions
humanistes et républicaines et rejettent la très
grave dérive communautaire que connaît Asnières
», explique son président, Laurent Martin
Saint-Léon.
Marisa
Faion
Le
Parisien , jeudi 02 mars 2006
|
UNE
ENQUETE PUBLIQUE SUR LE PLAN LOCAL
D'URBANISME ( P.L.U. ) D'ASNIERES EST EN COURS
Une enquête publique portant
sur le projet de Plan Local d’Urbanisme aura lieu
à l’Hôtel de Ville au service de l’Urbanisme
du lundi 20 février au mardi 21 mars 2006 inclus.
Le
public pourra consulter le dossier et présenter
ses observations sur le registre d'enquête au service
de l'urbanisme pendant la durée de l'enquête,
du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à
17h.
Par
décision du tribunal Administratif en date du 15
décembre 2005, une commission d'enquête a
été désignée, comprenant :
Monsieur Pierre Barbier : Président,
Monsieur Jean-Claude Douillard : membre titulaire,
Monsieur frédéric raveau : membre titulaire,
Monsieur Claude Richer : membre suppléant.
LES DATES A RETENIR :
Un
ou des membres de la commission se tiendront à
la disposition du public pour recevoir ses observations
à la mairie au service de l'urbanisme, les :
lundi 20 février 2006 de 9h à 12h
samedi 4 mars de 9h à 12h
mercredi 8 mars de 9h à 12h
mercredi 15 mars de 14h à 17h
samedi 18 mars de 9h à 12h
mardi 21 mars de 14h à 17h.
Toute
correspondance relative à l'enquête peut
être adressée à la commission d'enquête
à la Mairie d'Asnières, 1 place de l'Hôtel
de Ville.
Le rapport et les conclusions de la commission d'enquête,
transmis par celle-ci dans le délai d'un mois à
l'expiration de l'enquête, seront tenus à
la disposition du public dès leur réception
en mairie.
Le service Urbanisme est installé à la Mairie
d'Asnières. Tél. : 01 41 11 15 40
Question : - Cette enquête est -elle bien légale
dans la mesure où auparavant les élus de
la ville n'ont pas été informés (
volumineux dossier non remis au élus ! ) lors de
la séance du 29 septembre 2005 du Conseil Municipal
à propos du vote relatif au bilan de la concertation
et arrêt de projet de P.L.U. précisément
?
- Par ailleurs, constatant cette violation grossière
et manifeste de la loi, Hubert MASSOL, en tant que conseiller
municipal, a déféré cette délibération
en annulation devant le Tribunal Administratif de Versailles.
|
DU
FRIC OU RAZZIA SUR LA VILLE ?
INSECURITE PERSISTANTE DANS LE QUARTIER NORD QUI S'APPARENTE
AUX METHODES DU MILIEU / CLIMAT RELATIONNEL TRES DEGRADE
EN INTERNE EN MAIRIE / DELATIONS DIVERSES PAR LA RECEPTION
SUR NOTRE SITE WWW.MASSOL.ORG DE MAILS " ANONYMES",
ACCUSATEURS CONTRE L'ACTUEL DIRECTEUR GENERAL DES SERVICES...
CES AFFAIRES SONT-ELLES LIEES ? NE SONT-ELLES QUE LA MANIFESTATION
DE REGLEMENTS DE COMPTE VIRULENTS ENTRE PERSONNELS DE
LA MAIRIE ? EXISTE-T- IL UNE FORME DE CHANTAGE A LA SECURITE
?
Quoi qu'il en soit le Maire Manuel AESCHLIMANN reste étrangement
silencieux !
Le
Parisien 14 février 2006
Mystérieuses tensions dans les quartiers
Incendies
de voitures, feux de poubelles, caillassages... Un drôle
de climat règne dans les quartiers nord d'Asnières
depuis le début du mois. Un malfaiteur isolé
aurait-il des comptes à régler ? A moins
qu'il ne s'agisse d'un groupe de fauteurs de trouble ?
Cinq
voitures ont été incendiées, des
poubelles ont brûlé et le poste de police
municipale a fait l'objet d'un caillassage en règle.
Un regain de tension que ni la police ni la municipalité
ne s'expliquent. Les hommes du commissariat d'Asnières
enquêtent pour mettre la main sur le ou les incendiaires,
cherchant à déterminer si un lien existe
entre toutes ces affaires.
Aux
Mourinoux, quartier où les incidents se multiplient,
on évoque " des problèmes avec la police
municipale, la mairie, de vieilles histoires"...
Bref, rien de concret. En clair, personne ne comprend
ce qui se passe mais force est de constater que la tension
est perceptible. La police est particulièrement
attentive et les CRS patrouillent. Lundi dernier, une
voiture a été incendiée dans un parking
de 1500m² et un groupe de personnes a vidé
un extincteur sur les grilles du poste de la police municipale,
après avoir jeté des cailloux sur le bâtiment
et une voiture. Dans un e-mail adressé à
bon nombre de services municipaux, un mystérieux
expéditeur pointe des relations difficiles entre
une partie de la jeunesse et de la municipalité.
L'augmentation du tarif de certaines activités
proposées aurait agacé un groupe de jeunes
gens qui sont allés se plaindre dans le bureau
du directeur des services. Mais un accord a été
trouvé.
"Bizarrement,
le soir même, les quartiers nord brûlent"
écrit le corbeau. "Ce serait idiot de brûler
des voitures alors que le problème est réglé",
commente-t-on à la mairie.
Valérie
Mahaut
|
DERNIERE
MINUTE

Asnières-Nord,
vendredi 10 février 22h 50
ON BRULE ENCORE DES VOITURES
Mais où est donc passée la brigade de
"veille citoyenne" de monsieur le Maire ?
Des habitants viennent de nous signaler que des incidents
déjà observés depuis plusieurs
jours et scandaleusement sans réponse efficace
des forces de l'ordre ( cf. Le Parisien édition
92 du 8 et 9 février ) ont repris cette nuit.
A cette heure on dénombre de source sure déjà
au moins une voiture brulée, rue de l'égalité.
>>>
voir
autres photos >>>
|
ASNIERES
BOULEVARD VOLTAIRE - JEUDI 9 FEVRIER 11h15
ENCORE UN BRAQUAGE A LA BANQUE !
Nouveau
braquage d'une banque à Asnières, cela en
devient presque banal de l'annoncer. Cette fois-ci, c'est
au tour de l'agence Fortis du boulevard Voltaire.
Un homme armé menace la guichetière et se
fait ouvrir le sas pour son complice encapuchonné.
Bilan 7000 € dérobés.
Sempiternelle question
:
A quoi servent donc ces couteuses caméra de vidéo-surveillance
implantées par monsieur le Maire ? La ville a t-elle
encore une politique en matière de sécurité
des biens et des personnes ? Concrètement, quelles
missions sont dévolues à la Police Municipale
( actuellement démantelée ) en complémentarité
avec la Police Nationale ?
|
Février
2006 -
EXPLOSION MULTIFORME DE
LA VIOLENCE SUR ASNIERES
SUIVANT EN CELA UNE PROGRESSION CONSTATEE DEPUIS
LE DERNIER TRIMESTRE DE 2005, VOICI LA LISTE NON EXHAUSTIVE
DES FAITS :
INCENDIES DE VOITURE ET DE POUBELLES, DEGRADATION ET CAILLASSAGE
DU POSTE DE POLICE MUNICIPALE A ASNIERES-NORD ( QUARTIER
DEJA VICTIME,DEBUT JANVIER,D' UN INCENDIE AU MAGASIN GIGASTORE,
TRES PROBABLEMENT D' ORIGINE CRIMINELLE ET AYANT ENTRAINE
LA MORT D'UN JEUNE POMPIER DE 25 ANS ), VIOL EN REUNION
SUR MINEUR A L' "INTERNAT DE LA REUSSITE" (
SIC ! ) INAUGURE RECEMMENT PAR NICOLAS SARKOZY...
MAIS QUE FONT CONCRETEMENT MONSIEUR LE MAIRE M. AESCHLIMANN
ET LES FORCES DE POLICES POUR ENDIGUER CETTE SPIRALE DE
LA DELINQUANCE ?
CETTE SCANDALEUSE INERTIE ETANT A RAPPROCHER DES CHIFFRES
MIROBOLANTS AVANCES TOUT DERNIEREMENT PAR LE JOURNAL DE
LA MAIRIE "ASNIERES INFOS " SUR UNE PRETENDUE
BAISSE DE 13 % DE L'INSECURITE QUE CONNAITRAIT NOTRE VILLE
ET QUE DIRE DES ACTIONS EN JUSTICE DILIGENTEES AU NOM
DE LA MAIRIE PAR MONSIEUR LE MAIRE CONTRE DES ELUS D'OPPOSITION
QUI CONTESTENT PRECISEMENT ET A JUSTE TITRE CES STATISTIQUES
LITTERALEMENT BIDONNEES ( CF. ARRET DE LA COUR D'APPEL
DE VERSAILLES DU 30 NOV. 2005 PRONONCANT LE DEBOUTE DE
M. AESCHLIMANN, DEPUTE-MAIRE CONTRE HUBERT MASSOL, CONSEILLER
MUNICIPAL).
I ) - Des incendies en série
dans le quartier des Mourinoux
UNE
SÉRIE D'INCIDENTS a agité la nuit de lundi
à mardi dans le quartier des Mourinoux à
Asnières. Des actes de vandalisme qui ne sont pas
sans rappeler les violences urbaines de novembre dernier.
En moins d'une heure, un parking et des poubelles ont
été incendiés et le poste de police
municipale attaqué.
Rapidement
maîtrisé, l'incendie du parking a pu être
circonscrit à une seule voiture, mais les dégâts
auraient pu être autrement plus sérieux.
La soirée débute avec la dégradation
du poste de police municipale de la rue Henri-Poincaré.
Deux
heures pour éteindre le feu dans le parking
Peu
avant 22 heures, un ou plusieurs vandales vident le contenu
d'un extincteur sur les grilles protégeant les
locaux et caillassent le poste. Des pierres atteindront
les murs, mais aussi une voiture de police, endommagée
par les projectiles. Moins d'un quart d'heure plus tard,
une Fiat Panda stationnée dans le parking s'enflamme.
Un incendie dont l'origine criminelle fait peu de doutes.
Aussitôt alertés, les pompiers vont sur place.
Le
risque de propagation est important dans ce parking de
1 500 m 2 , situé au beau milieu du quartier, juste
au-dessous d'un supermarché. Avec six engins, une
trentaine de pompiers sont dépêchés
dans le parking. Ils mettront environ deux heures à
éteindre le feu et écarter tout danger.
Seule la Fiat sera détruite, mais canalisations
et câbles électriques seront aussi sérieusement
endommagés.
Vers
22 h 30, la série continue avec l'incendie de détritus
contenus dans un chariot de supermarché. Tout au
long de la soirée, d'autres feux ont été
allumés dans les poubelles du quartier. Le ou,
vraisemblablement, les auteurs de ces actes de vandalisme
n'étaient pas identifiés hier soir.
V.
M.
Le
Parisien , mercredi 08 février 2006
II) - L'internat de la réussite
rattrapé par la violence
Le Parisien , mercredi
08 février 2006
L'événement
Asnières
MAUVAIS
COUP pour l'internat de la réussite d'Asnières.
La structure pilote lancée par le président
du conseil général, Nicolas Sarkozy, pour
aider des adolescents de milieux défavorisés
dans leur scolarité, a été le théâtre
de graves dérives. Cinq des huit pensionnaires
de l'établissement, implanté à Asnières,
ont en effet été impliqués dans un
viol en réunion sur l'un de leurs camarades.
Les
faits se sont produits début janvier dans le pavillon
de l'Institut Baguer où sont hébergés
provisoirement les jeunes pensionnaires scolarisés
depuis la rentrée au collège François-Truffaut.
Deux des pensionnaires soupçonnés de viol
ont été exclus définitivement à
la suite d'un conseil de discipline et les trois autres,
qui auraient « laissé faire », ont
été renvoyés chez eux pour une période
de dix jours. Au moment des faits, les élèves,
des garçons âgés de 12 à 13
ans, étaient seuls, l'assistant d'éducation
qui devait assurer leur surveillance recevant la famille
d'un des pensionnaires. Une enquête a été
diligentée par la brigade des mineurs de la sûreté
départementale.
«
Demander à l'encadrement d'être plus vigilant
»
L'affaire,
révélée par le site Internet asnierois.org
, suscite des réactions parmi la communauté
éducative. « L'internat est une structure
qui échappe au conseil d'administration du collège
», lâche Agnès Verduran, responsable
du Snes, Syndicat national des enseignements du second
degré. « Il fonctionne avec du personnel
précaire. Les élèves ont été
recrutés à la va-vite... Il fallait en plus
que ce projet se fasse très rapidement pour prendre
de vitesse Jean-Louis Borloo qui, dans son plan de cohésion
sociale, avait lui aussi annoncé la création
de tels établissements. » Et d'ajouter :
« Ce n'est qu'une opération marketing, un
coup de pub pour Nicolas Sarkozy ! » Un élu
PS d'Asnières, Sébastien Pietrasanta, renchérit
: « L'idée de base est excellente sauf qu'il
y a un défaut criant d'encadrement qui a eu des
conséquences graves. On ne peut pas toujours faire
des effets d'annonce sans mettre les moyens en face pour
une bonne application. »
Du
côté de l'inspection académique, dont
dépend la structure, on évoque un fait malheureux.
« Les élèves sont des volontaires
qui n'ont pas de résultats scolaires méritants
mais qui s'accrochent, le but est de les aider, explique
Gilles Bal, inspecteur d'académie adjoint. On ne
peut imputer ces faits à l'encadrement, l'assistant
d'éducation se trouvait à proximité
immédiate. Un assistant pour huit élèves,
c'est optimal, on ne pourra faire mieux. On peut en revanche
demander à l'encadrement d'être plus vigilant.
»
Au
conseil général, à l'origine de la
création de cet internat, on tente de relativiser
les faits. L'affaire dérange, l'internat devait
être une vitrine. « On assure la matérialité,
les locaux sont conformes », résume Isabelle
Balkany, vice-présidente déléguée
aux affaires scolaires au conseil général,
qui rappelle au passage que 40 000 € ont été
déboursés pour assurer le gîte et
le couvert aux huit pensionnaires. Elle ajoute : «
C'est un incident... grave. Mais le pire, c'est qu'ils
n'avaient même pas conscience de ce qu'ils faisaient.
Les enfants de cet âge, ça fait des bêtises
plus ou moins énormes. Ça montre qu'il faut
les encadrer et leur apprendre que ce qu'ils ont fait
est mal. »
ASNIERES.
En octobre 2005, Nicolas Sarkozy inaugurait son premier
internat de la réussite à Asnières
en compagnie du principal du collège François-Truffaut
et des jeunes. (LP/CHRISTINE HENRY.)
Marisa
Faion
Le
Parisien , mercredi 08 février 2006
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D'autres
pensionnats verront bien le jour comme prévu
LA
DELEGUEE aux affaires scolaires du conseil général,
Isabelle Balkany, est catégorique : « L'incident
qui s'est produit à François-Truffaut ne
remet pas en cause le projet d'internats de la réussite.
D'autres verront le jour sur le département. »
Asnières, ville pilote, accueillera ainsi, à
la rentrée prochaine, un second établissement
sur son territoire, au collège Renoir. Un projet
qui inquiète d'ores et déjà les enseignants.
« Nous nous inquiétons de n'avoir été
informés que de manière orale et incomplète
: quid des statuts de cet internat, des critères
de recrutement, de son financement, des conventions signées
entre l'Education nationale et le conseil général,
des fondements idéologiques et pédagogiques
d'une telle entreprise ? » s'interrogent des enseignants
qui reprochent au passage le mutisme observé par
l'administration sur le sujet.
Selon
les professeurs, le bâtiment A, où se trouvaient
six salles de cours ainsi qu'un foyer socio-éducatif,
a fermé. Il est remplacé par quatre préfabriqués
exigus placés sur les terrains de sport. C'est
dans ce bâtiment désormais libre que le nouvel
internat de la réussite, de 24 places, devrait
s'installer selon Isabelle Balkany qui souligne que dans
les futures structures, les familles des pensionnaires
sélectionnés seront amenées à
participer financièrement.
A
terme, tout le département doit être couvert.
D'autres internats devraient voir le jour à Boulogne,
à Bourg-la-Reine et à La Garenne-Colombes.
M.F.
Le
Parisien , mercredi 08 février 2006
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( A voir également les éditions régionales
de FR3 Paris-Ile-de-France ce mercredi 8 février
2006 )
|
La
sombre affaire Mayetic
: entre rumeurs et désinformation
J’ai
rencontré hier matin, au Press Club de Paris, Bruno
de Beauregard et Miguel Membrado, les deux ex-fondateurs
de Mayetic, start up française créée
en 1996, spécialisée dans le travail collaboratif
en ligne, qui vient d’être liquidée
dans des conditions assez incroyables. Elle avait réussi
l’exploit, rare en France, de rivaliser avec Microsoft,
IBM et Documentum, et de fournir des solutions d’entreprises
à des grands groupes français et étrangers.
A
la suite d’une sombre affaire de diffamation impliquant
Bruno de Beauregard et le député-maire d’Asnières,
Manuel Aeschlimann, Mayetic perd brutalement son principal
actionnaire, la Caisse de dépôts et consignations.
Tout s’enchaîne rapidement: dépôt
de bilan au mois de novembre 2005, liquidation judiciaire
en décembre, 23 salariés licenciés,
et un repreneur désigné ce mardi 24 janvier
(voir cet article).
Miguel Membrado et Bruno de Beauregard étaient
encore sous le choc, se demandant comment une association
de quartier en opposition avec un maire sur une ZAC (zone
d’aménagement concertée) peut être
accusée de couvrir une secte, et pourquoi un procès
en diffamation peut faire couler une entreprise de dix
ans.
C’est
Bruno de Beauregard qui parle: "Cette histoire très
compliquée a démarré en septembre
2003, par le refus de concertation du député-maire
UMP d’Asnières avec l’association de
quartier dont je suis le président, sur l’aménagement
de la ZAC Métro à Asnières".
Le maire d’Asnières aurait fait croire que
l’association de la ZAC Métro était
le paravent d’une prétendue secte, la fondation
Ostad Elâhi, pourtant reconnue d’utilité
publique, et dont la présidente d’honneur
est Madame Bernadette Chirac!!! En outre, le nom de cette
fondation est celui d’une famille iranienne persécutée
par le régime de la république islamique
d’Iran, alors que le directeur de cabinet du député-maire
d’Asnières, Ramine (Francis) Pourbagher,
est lui aussi iranien, et serait très proche du
régime actuel.
L’association
de la ZAC Métro et la fondation Ostad Elâhi
ont attaqué la mairie en diffamation. La mairie
a perdu en première instance, les jugements en
appel des trois procès lancés sont attendus
le 25 janvier. Pour faire bon poids, le directeur de cabinet
du député-maire a fait croire qu’un
membre de l’association de la ZAC Métro,
qui distribuait des tracts, avait tenté de l’écraser
avec sa voiture. Mis en examen pour dénonciation
calomnieuse, le directeur de cabinet attend son procès
devant le tribunal correctionnel de Nanterre (92).
Et
les rapports de la DCRG (Direction centrale des renseignements
généraux) ou de la DST (la Direction de
surveillance du territoire) déconseillent aux organisations
gouvernementales de faire appel à la société
Mayetic, en raison des liens de Bruno de Beauregard, son
président, avec la fondation Ostad Elâhi?
(voir le Monde du 22/01/05). Des faux, selon Bruno de
Beauregard, "s’il est vrai que j’ai infiltré
la direction générale des impôts,
la Gendarmerie nationale et l’OTAN, alors qu’on
me passe immédiatement les menottes, et qu’on
me mette en prison!"
Et
maintenant, qu’allez-vous faire? "Immigrer
aux Etats-Unis, pour créer une autre entreprise,
les entrepreneurs sont mal vus en France".
|
INCENDIE
DU GIGASTORE A ASNIERES : VERS LA PISTE CRIMINELLE ?
LA PJ 92 LANCE UN APPEL A TEMOIN
-
Relayé dans les colonnes du journal "Le Parisien",
la Police Judiciaire des Hauts-de-Seine lance un appel
à témoin
à propos de l'incendie du GIGASTORE, situé
à Asnières près des 4 routes et à
l'origine de la mort d'un jeune pompier
( cf. nouvelles précédentes ).
-
Il est demandé à toute personne présente
dans le magasin avant l'incendie d'appeler l'un des numéros
suivants :
le
01.41.37.74.19 ou
bien le 01.41.37.74.20
|
FIBRE
TRES HAUT DEBIT : ASNIERES CHOISI COMME ZONE TEST PAR
FRANCE TELECOM
L'opérateur
historique a annoncé hier la construction d'un
réseau relié à chaque abonné
acheminant 100 mégabits par seconde.
par
Catherine MAUSSION
LIBERATION : mercredi 18 janvier 2006
Didier
Lombard, le patron de France Télécom,
a tranché : «On n'aime pas, chez nous,
les solutions de bout de ficelle.» La France aura
donc un très beau réseau de fibre, plus
de 100 mbits/s, tiré depuis le central téléphonique
jusque chez l'abonné. Cela s'appelle le FTTH
(Fiber To The Home). L'opérateur, qui a bâti
il y a cinquante ans l'un des plus beaux réseaux
de cuivre au monde, tient à sa réputation.
Plutôt que d'améliorer les débits
sur le réseau existant, il saute directement
à l'étape suivante, en optant pour le
tout fibre, soit «la technologie la plus performante».
Didier Lombard, parce que les finances de l'opérateur
sont en berne, a dû en rabattre toutefois sur
le calendrier. Il va falloir patienter.
Retenue.
«Aujourd'hui, le réseau actuel (ADSL) est
tout à fait suffisant», a expliqué
le PDG de l'opérateur historique. Effectivement,
avec 20 mbits/s, soit le débit offert en ville,
l'internaute peut déjà tout faire : regarder
la télé, échanger ses photos, télécharger
de la musique, des vidéos, animer son blog...
Donc, pas de hâte. «Cela veut dire qu'on
ne va pas investir massivement en 2006, 2007, pour un
réseau dont les clients n'auront pas besoin»,
poursuit Didier Lombard. Les analystes, qui tiennent
à l'oeil les comptes d'un France Télécom
encore lourdement endetté, apprécieront
la retenue.
Connecter
un foyer coûte très cher : autour de 1
000 euros par prise. Si déploiement il y a, ce
sera plutôt à compter de 2008. Et l'investissement,
même à cette date, a encore prévenu,
Didier Lombard, ne sera pas «massif, mais progressif».
Prudent, l'opérateur va lancer dans les semaines
à venir «un pilote». Il s'agit de
tester l'appétit des foyers pour de nouveaux
services, rôder les solutions technologiques et
réfléchir à la meilleure façon
de s'y prendre pour rentrer dans l'immeuble, négocier
avec le syndic et passer la fibre dans les gaines...
Bref, «vérifier qu'il y a un marché».
Les zones tests sont déjà choisies : priorité
aux clients «les plus friands de technologie».
Et visiblement, ils n'habitent pas dans la Creuse. France
Télécom a élu Paris (IIIe, IVe,
VIe et VIIe arrondissements, un peu de XIIIe, pour ses
tours d'habitation, et un peu de XVIe). Autre zone test,
les Hauts-de-Seine, autour d'Issy-les-Moulineaux, de
Boulogne et de Rueil-Malmaison, mais aussi au nord du
département, du côté d'Asnières
et de Villeneuve-la-Garenne «là où
il y a de l'appétence pour la télévision...»
En attendant cette nouvelle autoroute, les internautes
devront se contenter pour quelques années encore
des 20 mbits/s offerts aujourd'hui.
Inconnue.
En choisissant de tirer sa fibre optique jusqu'au domicile
de l'abonné, l'opérateur laisse tomber
le cuivre. Pourtant, en poussant le débit sur
ce fil-là, il était possible d'atteindre
les 50 mbits/s. Mais, hier, France Télécom
a voulu tourner la page.
Reste
tout de même une inconnue. Quelle sera l'attitude
du régulateur ? Didier Lombard a nié hier
avoir demandé l'exclusivité du nouveau
très gros tuyau pour en priver ses concurrents.
Mais il a mis en garde : «Il faut que tout cela
se fasse dans des conditions économiques raisonnables.»
Si non, pas de réseau.
|
mercredi
18 janvier 2006
Mayetic ferme et le travail collaboratif devient orphelin
Le
français Mayetic, crée
il y a dix ans, et spécialisé dans les solutions
de travail collaboratif nous apprends qu'elle a été
placée en liquidation judiciaire le 13
décembre 2005 par le Tribunal de Commerce de Paris
La nouvelle vient de tomber, et elle est plutôt
mauvaise pour l'avenir du travail collaboratif. Rappelons
que la société Mayetic était la seule
société française organisée
en télé travail à 100 %, et qu'à
ce titre elle était considérée comme
l'un des quatre acteurs majeurs du collaboratif en France,
avec Microsoft, IBM et EMC-Documentum.
Dans
un communiqué, la direction du groupe dénonce
une campagne médiatique diffamatoire et d'appel
au boycott à son encontre, (Le Monde du 21/10/2005,
JT 19/20 Ile de France 3 du 22/10/2005 et Le Vrai Journal
de Canal+du 06/11/2005) qui selon elle, était orchestrée
contre Mayetic et son président, Bruno de Beauregard.
Des
enquêtes menées par des journalistes spécialisés
semblent accréditer la thèse selon laquelle
Manuel Aeschlimann, député-maire UMP d'Asnières-sur-Seine,
et proche conseiller de Nicolas Sarkozy, serait à
l'origine de cette campagne.
D'après
les conclusions des journalistes "celui-ci reprocherait
à M. Bruno de Beauregard une activité associative
en matière d'urbanisme un peu trop encombrante
pour sa mairie..." donc pour nos confrères,
il s'est fait justice lui-même...
Enfin,
il reste à le prouver et cela va être le
travail de la justice, qui a été saisie
de cette affaire et établira les responsabilités
de chacun. Mais, pour les collaborateurs de la société
la justice a raté un wagon, puisqu'ils ont tous
été licenciés le 28 décembre
2005.
Cette
campagne est intervenue au moment précis où
un nouvel apport financier était demandé
à la caisse des dépôts et des Consignations
(seul actionnaire financier de la société
Mayetic, qui y avait investi 4,3 millions d'euros et détenait
35 % du capital). Dans le même temps, des négociations
très avancées en France avec France Telecom/Equant
pour un accord de distribution mondial en marque blanche
étaient en cours... Un beau gâchis.
Mayetic
avait reçu le label européen Euréka
en 2004, et était soutenue financièrement
par l'ANVAR, et la DATAR avait retenu sa plate-forme de
travail collaboratif parmi les outils d'efficacités
collectives préconisés pour les pôles
de compétitivités.
Son
catalogue de clients le prouve, puisque pas moins de 10
% des sociétés du CAC 40 avait fait confiance
en Mayetic ainsi que nombre de grands comptes tels France
3, PriceWaterHouseCoopers, CNP Assurances, Ville de Paris
ou l'Organisation Mondiale de la Santé.
Son
site web d'espaces de travail collaboratif gratuit, en
ligne depuis novembre 2000, est aussi une preuve de la
vitalité du groupe puisqu'il est toujours utilisé
quotidiennement par plus de 14.000 associations, écoles,
universités, PME, TPE, collectivités locales
ou ONG, réparties dans plus de 97 pays. Ce qui
représente la seconde audience mondiale du domaine
avec plus de 200.000 utilisateurs et 45.000 espaces de
travail collaboratifs.
|
Le
message de l'Union Syndicale Professionnelle
des Policiers Municipaux et de l’ensemble des
Policiers Municipaux d’Asnières-sur-Seine
Aux Sapeurs-Pompiers de Colombes,
Très
attristés par le drame qui a endeuillé votre
caserne le vendredi 06 janvier 2006 à Asnières-sur-Seine,
le Président, les Membres du bureau ainsi que les
Délégués de l'Union Syndicale Professionnelle
des Policiers Municipaux et l’ensemble des Policiers
Municipaux d’Asnières-sur-Seine s’associent
de tout coeur à votre peine.
Nous
vous assurons notre soutien total en ces moments douloureux
et vous présentons nos très sincères
condoléances à la famille du Caporal Grégory
Pailot ainsi qu’à ses proches et ses collègues.
Nous
souhaitons un prompt rétablissement aux Sapeurs-Pompiers
blessés et vous demandons de bien vouloir leur
transmettre notre plus profonde sympathie.
Le
Délégué Départemental
|
APRES
LE DRAME, LES QUESTIONS SE POSENT
La
sécurité du Gigastore
déjà mise en cause en 2001
L'événement
Asnières
LE
DRAMATIQUE incendie qui s'est produit au Gigastore, le
grand bazar du quartier des Quatre-Routes, à Asnières,
où un jeune pompier de 23 ans a trouvé la
mort, ne manque pas de susciter aujourd'hui quelques interrogations
sur le respect des normes de sécurité. Et
pour cause, le magasin qui a pris feu vendredi dernier
a déjà fait l'objet de controverses en 2001.
A
l'époque, la direction de Gigastore avait émis
une demande de « dérogation au principe du
repos dominical » auprès de la municipalité
d'Asnières. Mais la requête avait été
acceptée sous certaines conditions : « Etant
donné la situation actuelle de ce magasin, je propose
d'émettre un avis favorable sous réserve
que Gigastore respecte enfin les règles de sécurité
en libérant l'accès pompiers du bâtiment
et en mettant fin définitivement à une ouverture
du sous-sol au public », déclarait à
l'époque le maire UMP, Manuel Aeschlimann, dans
une délibération du conseil municipal datant
du 5 janvier 2001. Et il ajoute en conclusion : «
En tout cas, sous réserve de ces préconisations
en matière de sécurité, nous donnons
un avis favorable pour maintenir un espace commerçant
sur le marché. Je le redis, sous ces réserves
lourdes confirmées par des habitants proches. »
«
Le sous-sol n'a jamais été un local de réserve
mais un local de vente ouvert au public » Les premiers
éléments de l'enquête recueillis par
le service départemental de la police judiciaire
(SDPJ) chargé des investigations confirment que
l'incendie s'est déclaré au sous-sol, au
rayon literie : un endroit qui reçoit depuis toujours
du public, comme le confirme un proche de la mairie qui
s'exprime sous couvert d'anonymat. Pourtant, une commission
de sécurité est bel et bien passée
en janvier 2004 et a donné un avis favorable, toujours
selon ce témoin : « Ce magasin a toujours
été un foutoir, les camions de livraison
n'ont pas d'accès spécifique et passent
par les accès de secours. Il n'existe pas non plus
d'aire de stockage. C'est pour ça que les allées
sont souvent encombrées. Le sous-sol n'a jamais
été un local de réserve mais un local
de vente ouvert au public. » Et de souligner : «
La commission de sécurité convoquée
par le maire avertit les responsables du magasin de son
passage comme le veut la législation en cours,
et son rôle est de vérifier que ce qui est
en place fonctionne : portes incendie, blocs secours,
alarme, désenfumage... Lorsque la commission passe,
tout est en ordre, comme ce fut le cas la dernière
fois, en janvier 2004. Le problème, c'est que dès
qu'on a le dos tourné, ça recommence. Tout
le monde le sait mais il n'y a jamais eu de suivi. »
Contactée, la direction de Gigastore affirme que
« l'interdiction a été requise par
la commission communale de sécurité de janvier
2003 et a été levée en juillet 2004
par la municipalité, à la suite d'un audit
effectué par la société de contrôle
agréée, l'Apave ». Or, la demande
initiale de fermeture du sous-sol au public formulée
par le conseil municipal en avril 2001 est définitive
et non pas provisoire, comme le stipule la délibération
municipale. Alors, pourquoi la ville est-elle revenue
sur sa décision ? Que s'est-il passé entre
ces deux dates ? Les investigations du SDPJ chargé
de l'enquête, qui doit dans un premier temps déterminer
avec précision l'origine de l'incendie, devraient
également pouvoir répondre, dans un deuxième
temps, aux questions relatives à la conformité
des conditions d'accueil de la grande surface.
ASNIERES,
VENDREDI. Le magasin qui a pris feu vendredi dernier,
causant la mort d'un jeune pompier, a déjà
fait l'objet de controverses en 2001 concernant la conformité
des différents dispositifs de sécurité
ainsi que l'ouverture de son sous-sol au pub (LP/S.M.)
Trois
commissions de sécurité en cinq ans
SUR
PLACE au moment de l'incendie, le directeur de cabinet
de la ville, Francis Pourbagher, souligne que la délibération
prise en 2001 par la municipalité, où elle
demande une fermeture définitive du sous-sol au
public, doit être interprétée différemment.
« Cette délibération conditionne en
fait l'exploitation du sous-sol du magasin à la
réalisation de certains travaux, tient à
préciser le directeur de cabinet. Entre 1999 et
2004, au moins trois commissions communales de sécurité
composées d'élus, de pompiers, de représentants
de la DDE... se sont réunies et ce n'est pas rien
! S'il y avait eu le moindre risque et si le magasin n'avait
pas fourni des éléments concrets qui prouvent
qu'il est en conformité, nous aurions fait fermer
l'établissement. Par ailleurs, s'il s'avère
que le drame est consécutif à un manquement
aux normes de sécurité, la responsabilité
pénale du gérant serait de toute façon
engagée. Lorsque la commission donne un avis, le
responsable de l'établissement doit se conformer
aux exigences de sécurité. On ne peut anticiper
sur les conclusions du laboratoire central de police et
des enquêteurs. Sur place, j'ai remarqué
que les accès pompiers étaient dégagés,
c'est déjà un point positif. » Les
accès pompiers, régulièrement entravés
par les résidants, ont été dégagés
juste avant les fêtes de Noël, grâce
aux travaux réalisés par la copropriété
et non par les responsables de la mairie ou du Gigastore.
Marisa
Faion
Le Parisien , mardi 10 janvier 2006
|
Le
site d'informations municipales et politiques
www.massol.org
vous
présente ses meilleurs vœux pour 2006.
Au
delà des traditionnels « bonheur, santé
et prospérité », nous pensons
que l’actualité récente réclame
des souhaits plus circonstanciés.
Nous
souhaitons que nos compatriotes retrouvent des villes
et des campagnes pacifiées, débarrassées
des violents et des incendiaires. Nous souhaitons que
l’on puisse prendre les transports en commun sans
avoir la peur au ventre. Nous souhaitons que nos enfants
puissent s’instruire dans des classes débarrassées
des délinquants, qu’ils y retrouvent l’envie
de savoir et, avec leurs enseignants, le goût de
l’effort et du travail bien fait.
Nous
souhaitons une justice juste, des coupables rapidement
débusqués et punis, et des victimes soutenues.
Nous souhaitons que cessent les mensonges officiels et
que tombent les bâillons. Nous souhaitons que reviennent
la raison, la dignité et l’ordre.
Nous
souhaitons que soient encouragées l’envie
et la liberté de créer et d’entreprendre.
Nous
souhaitons donc le rejet de la « politique spectacle
» et le retour de « la » Politique,
avec un grand « P », pratiquée par
des hommes et des femmes qui n’ont pour ambition
que celle de servir le pays.
Nous
souhaitons enfin que nos compatriotes agissent avec courage
dans ce sens afin de retrouver la fierté d’être
Français.
|
Incendie
à Asnières: mort d'un pompier
FRANCE
2 /
Un
pompier trouve la mort dans un incendie à Asnières
Un
sapeur-pompier de 25 ans est mort vendredi en luttant
contre un incendie à Asnières
Le sinistre, qui s'est déclaré peu après
10H45, dans le sous-sol d'un bâtiment de huit niveaux,
32 rue de la Redoute, a été maîtrisé.
Huit
sapeurs-pompiers qui luttaient contre l'incendie ont été
blessés, quatre d'entre eux intoxiqués par
des fumées ont été évacués
vers trois hôpitaux militaires de la région
parisienne.
L'enquête
a été confiée au service départemental
de police judiciaire des Hauts-de-Seine. En fin d'après-midi,
l'origine de l'incendie restait inconnue, selon une source
policière.
"La
chaleur intense, l'opacité et la toxicité
des fumées ainsi que la densité du stockage
ont rendu cette intervention longue et difficile",
précise la BSPP (brigade des sapeurs-pompiers de
Paris), pour ce "feu de sous-sol de 500 m2 dans lequel
était stockée une grande quantité
de diverses marchandises".
Quelque
80 hommes de la BSPP de onze casernes sont intervenus
avec 24 engins et ont mis cinq heures pour éteindre
le sinistre, ajoute le communiqué.
Vers
13H00, quatre pompiers se sont retrouvés bloqués
au sous-sol. Trois d'entre eux ont pu être rapidement
remontés, mais le quatrième, le brigadier-chef
Grégory Pailot, a été porté
manquant.
Cinq
militaires de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris
ont été tués en septembre 2002 en
luttant contre un incendie dans un immeuble à Neuilly-sur-Seine
et un sapeur-pompier de la BSPP a également été
tué en août 2003, lors d'un incendie à
Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
|
Un
regard du Nouvel Observateur sur la démocratie asnièroise...
lire >>>
ASNIERES:
INSECURITE TOUJOURS PLUS !
QUE NOUS RESERVE 2006 ?
-
Internautes, faîtes lire ces quelques brèves
indiscrètes : vous ne risquez pas de les lire dans
le bulletin municipal dit "Asnières infos",
- dans le numéro de janvier 2006 n° 266, par
exemple,- pourtant financé par les contribuables
asniérois.
- Par
son contenu rédactionnel, ce média municipal,
littéralement assujetti à quelque "happy
few", est révélateur de la grave et
caricaturale dérive monégasque que connaît
notre ville.
- L'
accaparement de plus en plus outrancier par la famille
AESCHLIMANN de la majeure partie de l'espace dédié
aux photos dans le journal frise la mégalomanie
à défaut du ridicule !
-
Désormais, les Asniérois ne se reconnaissent
plus dans ce magazine au contenu très vaguement
"people" qui n'est plus, depuis un temps trop
long déjà, un journal d'informations municipales
crédibles au service de l'intérêt
général et donc de tous les Asniérois
sans sectarisme politicien. ( pour preuve : cf. les multiples
condamnations pénales du directeur de la publication,
le plus souvent pour des faits de diffamations publiques
à l'encontre d'honorables Asniérois ou élus
de la ville, ou encore, dans un autre registre, les condamnations
administratives engageant la commune, pour lesquelles
ce journal a été sanctionné ces dernières
années ! )
"La vérité vous rendra libre"
( Saint - Jean )
-
Oyez, braves gens ! Ne soyez pas incrédules ! Cela
s'est bien passé dans notre ville durant les fêtes
de fin d'année... et pourtant personne en Mairie
n' a osé briser publiquement l’odieuse chape
de plomb sur ces événements locaux. Chut
! Cela risquerait d’être politiquement incorrect
et de troubler les « grandes soirées
de vœux 2006 » organisées par la
Mairie !
1 ) - BRAQUAGE A LA BNP
DE LA PLACE DES BOURGUIGNONS - A QUOI SERT DONC LE DISPOSITIF
DES 34 CAMERAS DE VIDEOSURVEILLANCE ANNONCE DANS« ASNIERES
INFOS »?
( fait délictueux grave, entièrement
passé sous silence par l'ensemble des média
municipaux ! )
- Mercredi 28 décembre 2005 vers 10h00,
3 hommes armés, encagoulés et casqués
surgissent à l'agence de la BNP située au
196,bd Voltaire, aux abords de la
place des Bourguignons et tiennent en respect clients
et employés. Leur forfait accompli, Ils s'enfuient
à moto emportant environ 8000 €. La police
Judiciaire des Hauts-de-Seine est en charge de l'enquête
mais d’après les premiers éléments
recueillis, les témoignages semblent infructueux
et les fameuses caméras de vidéosurveillance
- dont le Maire ne manquent pourtant pas une occasion
de nous en faire la réclame à défaut
de nous en indiquer le prix pour la collectivité
- sont encore étrangement et scandaleusement aveugles.
- Tout comme, pour rappel, lors d'un braquage similaire
d'une banque à la place de la Station en face de
l'école Sainte Geneviève et plus récemment,
à la place Jean-Jacques Rousseau, où là,
la caméra
a été carrément détruite en
novembre au début des émeutes ethniques
par les petits narco-délinquants du coin, soucieux
de protéger leur territoire de « deal »
et de copier leurs « grands frères »,
érigés en modèle par certains média
inconscients et politiciens pour des raisons bassement
électoralistes !
-
A son corps défendant, il faut préciser
pour être tout à fait juste, que la Police
Municipale, en charge du visionnage, n'est pas actuellement
en mesure d'effectuer correctement ses missions, suite
au changement de direction, démantèlement
de ses effectifs et de ses moyens par Monsieur le Maire
( Que sont devenues, par exemple, les belles motos de
la P.M ? ).
- Par contre, à l’encontre de cette réalité
criminelle comprise objectivement et en guise de réponse
pour le moins très légère, nous avons
encore droit en page 6 dans le dernier "Asnières
infos" ( réf. précitée plus
haut ), à un ridicule articulet - vu le ton d’autosatisfaction
adopté et quant à sa teneur - qui ose, sans
nul gêne, vanter cyniquement l'efficacité
du système actuel et son extension à 34
caméras. Mais, au final, rien ne transparaît
sur le coût global du dispositif et la pertinence
des emplacement des dites caméras.
2
) NOUVELS ACTES DE VIOLENCES : ASNIERES PREMIER AU CLASSEMENT
DEPARTEMENTAL DES VOITURES INCENDIEES !
.....mais cela n'empêche pas "Asnières
infos", dans son n° 266 de janvier 2006, en page
6 toujours, d'occulter la réalité de cette
délinquance et de dresser, contre toute évidence,
un portrait flatteur des initiatives prises dans le domaine
de la sécurité en titrant abusivement :
"Sécurité : un dispositif efficace
contre la délinquance" (Sic ! ). Pour (contre)preuves,
voici la dureté de certains faits:
- Nuit de la Saint-Sylvestre 2005
( 31 déc. 2005 - 1er janv. 2006 )
- En l'absence de communication à ce sujet des
services de Mairie, d'ordinaire plutôt prolixes
, on nous signale oralement et de sources concordantes
( cf. journal "Le Parisien" et chiffres du ministère
de l'Intérieur ) que notre ville détiendrait
le triste et peu enviable classement de tête du
département pour les incendies de véhicules(
au nombre de trois au dernières nouvelles, rien
que pour cette nuit ).
- A ce lamentable décompte, il ne faut pas manquer
d’y rajouter la trentaine de voitures déjà
détruites lors des toutes récentes émeutes
socio-éthniques,( sans oublier l’incendie
criminel des 3000 m2 des locaux de TF1 situés sur
le quai Aulagnier ), faits scandaleusement passés
sous silence lors des nombreuses prestations médiatiques
de Monsieur le Maire et lors du dernier Conseil municipal
du 15 décembre 2005, ce dernier étant plus
prompt manifestement à communiquer sur un pseudo
"Comité de veille citoyenne" d’autant
plus inefficace, qu' illégal et ridicule dans ces
agissements. Le bilan à mettre à son actif,
hormis avoir indisposé les policiers dans leurs
manœuvres, est bien maigre : à savoir , avoir
réussi la suprême prouesse« citoyenne » ,
digne des travaux d' Héraclès, en effet
… éteindre un départ de feu de poubelle
dans le quartier nord ! Que de battages et d’équipes
de télévision déplacées pour
si peu !
-Ces faits de délinquance ne sont que l’illustration
de l'échec patent d’une politique électoraliste
à courte vue , en matière de contrats de
ville et de sécurité, menée par l'actuelle
majorité municipale.
-Mais visiblement, ces piteux résultats n'empêchent
pas notre édile de se " faire mousser"
(toujours en page 6 d'"Asnières infos"
) et de nous annoncer, dés les premiers jours de
janvier, avec l’aplomb qui le caractérise,
une baisse très hypothétique de 13 % ( sic
! ) de la délinquance pour 2005 sur la ville; alors
que les décomptes officiels des chiffres en matière
de sécurité, pour l'année considérée,
sont normalement disponibles et publiés le plus
souvent qu'à partir du mois de mars de l'année
suivante !
- Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois
que Monsieur le Maire s'emmêle par excès
d'optimisme et précipitation en ce domaine très
sensible mais néanmoins précis ( cf. un
très récent arrêt de la Cour d'appel
de Versailles, rendu le 30 novembre 2005 par la 8ème
Chambre qui a débouté de son action, M.
AESCHLIMANN, député-maire, contre Hubert
MASSOL, conseiller municipal, et relatif à une
polémique datant de 2004 concernant des pourcentages
pour le moins ambigus ,annonçant déjà
des baisses spectaculaires de l’insécurité
sur la ville, par la voie d’un tract en forme de
communiqué triomphant émanant de la Mairie.
- Or, En l' absence de mentions des sources officielles,
en l'absence de
données absolues, les juges d'appel ont pleinement
reconnu la ,bonne foi du contradicteur et la légitimité
d'en débattre dans le cadre municipal.
-Tous les statisticiens le savent, on peux faire dire
n'importe quoi ou
presque à un pourcentage émis abstraitement
sans chiffres concrets à
mettre en relation !
- Le journal « Asnières infos »
semble décidément, en ce début d’année,
encore bien reparti pour relayer lourdement le même
type d’argumentation approximative ne reposant que
sur de vagues pourcentages invérifiables et ressassés
en boucle par la Mairie. Les fondements en sont manifestement
spécieux car parcellaires, et même au final
d’une rigoureuse analyse, inexacts car faussés.
En effet, il est flagrant que le journal « Asnières
infos » se livre à une rétention
et à une dissimulation de l’ensembles des
donnés chiffrées concernant l‘insécurité,
susceptibles de nourrir fort à propos le débat,
étant donné les moyens d’informations
et l’accès dont il dispose auprès
des services de Police.
-
Les Anciens appelaient l'interprétation quelque
peu subjective des faits, pouvant même consister
en une légère dénaturation des faits,
la "licentia poetarum".
Mais en matière de chiffres et de statistiques
sur la sécurité - science réputée
exacte - cela ne fait franchement pas sérieux !
|
A
Asnières, la musique soufie n'adoucit pas le maire
L'élu dénonçait
une secte. Débouté par la justice, il reçoit
l'appui des RG.
Libération
du 28 décembre 2005, par
Renaud LECADRE
ASNIERES:
INSECURITE TOUJOURS PLUS !
QUE NOUS RESERVE 2006 ?
Internautes, faîtes lire ces quelques brèves indiscrètes
que vous ne risquez pas de voir dans le numéro de janvier
n° 266,
mardi
20 décembre 2005, 14h27
Censure à l'Agence France-Presse
"Nicolas
Sarkozy a-t-il eu la main heureuse en nommant le fringuant
député-maire d'Asnières-sur-seine
, Manuel Aeschlimann, "Monsieur opinion publique" de
l'UMP ? [...]
L'élu d'Asnières (Hauts-de-Seine) aurait aussi tendance
à la manipuler,
quand il ressent le besoin de mettre au pas
une opposition locale trop remuante à son goût."
>>>lire
l'intégral de l'article>>>>>>>
CONSEIL
MUNICIPAL DU 15 DEC. DERNIER
:
UN CORRESPONDANT NOUS ENVOIE SON
TEMOIGNAGE
lire>>>>>>>>>>>
compte-rendu
du conseil municipal houleux du 15.12.2005
!
PARKING
DU CENTRE VILLE : LE MAIRE VEUT PASSER EN FORCE
et
l'ordre du jour du conseil municipal du 15.12.2005
L’affaire
« Irasnières » secoue le conseil municipal
voir
article du quotidien 20 MINUTES (15.12.2005)
ASNIERES
: LE SCANDALE DU PARKING DU CENTRE VILLE
LE
COLLECTIF DES RIVERAINS DU CENTRE VILLE APPELLE LES ASNIEROIS A
SE RENDRE A LA SEANCE
DU
CONSEIL MUNICIPAL DU 15 DECEMBRE 2005 A 20H00 !
(lire le document sous pdf)
INFORMATION
JUDICIAIRE
Le 30 novembre
2005, la 8 ème Chambre
de la Cour d'appel de Versailles
à la suite de la 14 ème Chambre du TGI de
Nanterre ,
a de nouveau débouté
Manuel
AESCHLIMANN de son action en diffamation contre Hubert MASSOL.
La
Cour « considérant qu‘un débat
entre opposants sur les chiffres relatifs à la sécurité
d‘une commune présente un intérêt
légitime (…) »
a reconnu la bonne foi d’Hubert MASSOL |
Prolongement
du Tramway T1 Saint-Denis-Asnières /
Ouverture de l'enquête publique le 12 déc. 2005
Affaire
du DVD "iranien" ou les deux visages de Pascale POURBAGHER.....
-
Pascale Pourbagher ( voilée ),
conseillère municipale de la ville
et épouse du directeur de cabinet
de Manuel AESCLIMANN, Député -maire UMP
d'Asnières-sur-Seine

( photo extraite du DVD qui nous
est parvenu,
relatif à une émission intitulée "Monsieur
le Maire"
diffusée par la télévision
d'Etat
de la République Islamique d'Iran
le 4 août 2005 et consacrée à Ramine ( Francis
POURBAGHER. )

- Photo extraite du trombinoscope du conseil municipal
de la ville d'Asnières-sur-Seine ( site officiel de la
ville d'Asnières-sur Seine )
Mme Pascale POURBAGHER
Conseillère municipale
Déléguée
aux Centres de Loisirs,
aux Activités péri-scolaires,
au Contrat Educatif Local et aux Ecoles maternelles
21.11.2004
/ 21.11.05
IN
MEMORIAM
IL Y A UN AN :
Mickaël LEFEBVRE jeune gardien de
la Paix, 28 ans, en poste au commissariat d'Asnières,
décédait des suites de ses blessures suite
à une course poursuite. |
Des
sans-papiers expulsés de la permanence de l'UMP
à Asnières
20 novembre 2005
ASNIERES
BRÛLE !!!
Asnières, les pompiers
veillaient, au milieu des décombres,
à ce que les incendies ne reprennent pas.
(source
: quotidien METRO - mardi 6 novembre 2005)

voir
article du parisien (08/11/2005)
05/11/05
- Analyse d'un de nos correspondants:
GUERRE
ETHNIQUE : LA RÉPÉTITION
A
LIRE DERNIERE TRIBUNE DE NOVEMBRE 2005
L'EXPLOSION FISCALE
Tribune
libre parue dans le bulletin municipal "ASNIERES INFOS"
n° 264 de novemmbre 2005 en page 26
haut
de page
03/11/05
- SUR LE FRONT DE LA GUERILLA URBAINE ETHNIQUE
ET ANTI-FRANCAISE EN REGION PARISIENNE:
LEGERS INCIDENTS AUSSI A ASNIERES..."
VERBATIM
:
"On est sur une poudrière.
On a tout fait sur le terrain.
L'honnêteté m'oblige à dire que malgré tout
nos efforts,
la situation continue de se dégrader dans nos cités.
Face à une situation extrêmement grave,
il faut trouver des terrains d'entente gauche-droite".
M. Jean-Marie Bockel sénateur maire de Mulhouse
(extrait
Ouest-France du mercredi 2 novembre 2005 page 2 Politique)
FRANCIS
POURBAGHER MIS EN EXAMEN...
VA T - IL DEMISSIONNER ?
LES ASNIEROIS VONT- ILS PAYER POUR SES FRAIS D' AVOCAT ?
Projet
de révision du P.O.S./ ZAC UNILEVER/
L'enquête publique est prolongée
jusqu'au 21 février 2005
VENEZ CONSIGNER MASSIVEMENT EN MAIRIEVOTRE OPPOSITION A CE PROJET DE
BETONNAGE D'UNE ZONE INONDABLE !
A
MANUEL AESCHLIMANN
PARKING
PUBLIC DU CENTRE-VILLE REPONSE
|
A
Bucarest comme à Moscou : "Marche des gens normaux"
contre les défilés homo...
Violences
Urbaines
N ouveaux incidents éclatent en France (03.06.2006)
Le
Pen et Mégret envisagent un remariage d'intérêts
Consultez
les avis de recherche de la police nationale....c'est très
instructif !
L’
ESCLAVAGE, parlons-en !
Loi
Sarkozy sur l'immigration " choisie" : une imposture !
La loi est inapplicable à l'Algérie...
Ca
se dit en Turquie.... « Grâce à vos lois démocratiques,
nous vous envahirons. Grâce à nos lois islamiques, nous
vous conquerrons »
COÛT
DE L’IMMIGRATION POUR LA FRANCE
50 MILLIARDS D’EUROS
(
soit 330 milliards de Francs nouveaux, ou 33.000 milliards d'anciens
Francs )
SELON
UN ANCIEN EXPERT DU FMI
Benjamin
PERROTIN, 19 ans assassiné au couteau ...
encore une jeune victime française "en banlieue"
qui n'a pas fait la "une" des média, ni l'indignation
de l'établissement politicien
Encore
"une chance pour la France" communautariste de demain (selon
l'expression consacré par certains politiciens) :
Vidéo
prise par un portable de l'agression de la prof de Porcheville -Yvelines
- par Abdoullah- 18 ans...
Katyn
:
Histoire et droit
Le massacre de Katyn devant la Cour européenne des droits de
l'homme ?
...soit 66 ans après le massacre de soldats polonais par l'U.R.S.S.
- et
imputé initialement à l'Allemagne hitlérienne
- des familles demandent
justice
Quaero,
nébuleuse
de la recherche d’information
Délinquance
: Les mineurs en groupe interdits de séjour à Montfermeil
LE
DÉVELOPPEMENT DE L'ISLAM FONDAMENTALISTE EN FRANCE :
ASPECTS
SÉCURITAIRES, ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX
Un rapport daté de septembre 2005 du Centre Français
de Recherche sur le Renseignement
Hommage
à Joe, tué pour un MP3 Communautarisation
de la France
Violences confessionnelles à l' hôpital
Selon
la presse, Washington envisage des frappes sur les sites nucléaires.
Bush
est prêt à dégainer contre l'Iran
Trafic
de papiers : un haut fonctionnaire écroué
Bruits
de tirs dans les faubourgs est de N'Djamen
Finance
islamique
: ce que charrie la charia
«Oui,
je suis Bernardo Provenzano»
Après 43 ans de clandestinité, le patron de la mafia
sicilienne, successeur de Toto Rina, a été cueilli mardi
par la police dans une ferme des environs de Corleone.
Bouteflika
ajourne le traité d'amitié franco-algérien
Communautarismes
Le point de vue de Pierre VIAL
( éditorial paru dans la revue "Terre & Peuple"
)
L’immigration
choisie, une dangereuse lubie chère à N. Sarkozy...
Telles
sont , en substance, les conclusions du rapport de l’inspection
générale de l’administration qui pointe que la
France n'a plus, dans l'état actuel de son économie,
les moyens d'accueillir de nouveaux immigrés.
Violences
urbaines
Prenant
prétexte des manif anti-C.P.E., lorsque la racaille s'en prend
aux manifestants incrédules ( photos explicites des violences
)
Mais
que fait le Ministre de l'Intérieur pour empêcher ce
retour vers la barbarie en plein Paris ? ( place des Invalides )
Contre
l'intolérance islamique...
Des lois musulmanes contre les chrétiens, cela suffit !
Le
pape demande
la libération de Rahman, condamné à mort pour
s'être converti au christianisme en Afganistan
Le
dernier livre de Charles Pellegrini :
"Banlieues en flammes "
Un
Français interrogé sur trois se dit "raciste"
Quant
à la notion de " violences conjugales" sert à
masquer des moeurs provenant de populations migrantes inassimilables
CRISE DE LA REPRESENTATION POLITIQUE
lire >>>>
Iouri
Loujkov, maire de Moscou : « l'homosexualité est contre-nature
»05-03-2006
Editorial
lucide du "Point"
sur les causes principales du mal français (10/11/2005)
Quand
les Pays-Bas montre l'exemple en Europe en bloquant l'immigration
musulmane 08
mars 2006
Selon
un sondage récent réalisé par la TNS Soffres,
53 % des Français jugent fortement
dégradée l'image des hommes politiques
70 % déclarant même ne pas se reconnaitre
dans les partis politiques....
Vers un séisme politique et systèmique à la prochaine
élection présidentielle en 2007 ?
24/02/06
- Homofolie d' un arrêt de la Cour de Cassation
contre le droit fondamental pour tout enfant d'avoir un père
et une mère....
Délires
multicommunautaires et clientélismes électoralistes
contre l'unité nationale et la liberté d'expression
Caricatures
de Mahomet : Manifestations anti-européennes à Ankarra
Les
islamistes projetaient un attentat à Paris
Lyon:
Heurts entre manifestants turcs et anti-CPE
et
lire aussi...
Certains
en France peuvent se permettre de nier des génocides, mais
pas tous !
Le
malaise grandit au
Parti socialiste
ITALIE
Alessandra
Mussolini: "Mieux vaut
être fasciste que pédé"
ANTILLES
:
500 manifestants pour le gendarme Clin
Nouvelles
agressions dans le RER A
La
manifestion contre le racisme et l'antisémitisme : certains
sont exclus, d'autres rigolent...
Un
militaire français tué dans un accrochage en Afghanistan
le
viol des femmes non musulmanes par des musulmans en Europe
4 mars, 2006
L'
" immigration sanitaire " a été multipliée
par 16 en 4 ans !
L'enseignante
poignardée en plein cours en décembre à Etampes dénonce
"l'omerta" de sa hiérarchie
Train
Nice-Lyon : LES QUESTIONS
M.
Chirac s'affiche à gauche pour sa fin de présidence
ENDETTEMENT
DE LA FRANCE
C'est pire que ce qu'on pouvait s'imaginer !
Le récent rapport Pébereau remis
au ministre de l'économie l'estime
à total de 2000 milliards d' €,
soit 120% du PIB
FACE
A LA POLEMIQUE SUR LE PASSE COLONIAL DE LA FRANCE ET LA MEPRISABLE REPENTANCE
DE CHIRAC
UN RAPPEL JUDICIEUX DE L'AFRICANISTE BERNARD LUGAN :
"En 1950, à la fin de la période coloniale, l'Afrique
rassemblait 9% de la population mondiale et totalisait 7% du commerce
planétaire;
en 2004, avec 14% de la population mondiale, sa part dans le commerce
mondial est tombé à 2%."
LA
POLITIQUE D'IMMIGRATION

NAPOLEON
Paris, place vendôme, le 02.12.2005
IL
Y A 200 ANS .... "LE SOLEIL D'AUSTERLITZ"
mais la "république" chirachienne préfère
se répandre sur les banlieues ethniques plutôt que de célébrer
l'événement !
Emeutes
ethniques et "bavures" policières.... Vous avez dit bavure
!! La
Cour européenne de Strasbourg confirme en appel l'interdiction du
foulard islamique dans les universités turques
vu
d'Israël Pour
Fox News, des "insurgés musulmans" et une "société
socialiste" 20minutes (10.11.2005)
"Une
chance pour la France ?" ... Ras
le bol à Stains Réaction
de Jirinovski aux émeutes ethniques en france
INTEGRATION
DES IMMIGRES EXTRA-EUROPPENS:
L'ECHEC DU "MODELE FRANCAIS"
ET DE LA POLITIQUE DE N. SARKOZY ALIAS MONSIEUR VOITURES BRULEES
Les
actes antifrançais listés sur Internet
1 500 attaques terroristes perpétrées depuis 1965 contre
la France ou ses intérêts dans le monde sont consultables
sur les sites www.interieur.gouv.fr
ou www.frstrategie.org
Les
actes antifrançais listés sur Internet
1 500 attaques terroristes perpétrées depuis 1965 contre
la France ou ses intérêts dans le monde sont consultables
sur les sites www.interieur.gouv.fr
ou www.frstrategie.org
Direction
Centrale des R.G.:
l ' Islam radical investit dans la mode ado
20%
DE MUSULMANS DANS L'ARMÉE FRANÇAISE...
DU
NOUVEAU A DROITE
VILLEPIN DEVANCE SARKOZY
(côte de confiance 48% contre 47% )
source"Baromètre
du Figaro Magazine / Octobre 2005
Révision
de la loi de 1905 :Sarkozy veut faire financer les mosqués sur
fonds publics !
M.
Sarkozy plaide à nouveau pour "un toilettage" de la loi
de 1905
Hausse
générale des impôts locaux
(15 septembre 2005)
Parrainage
pour les présidentielles...les basses manoeuvres
URBANISME
ET AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
L'ILE DE FRANCE REVISE SON SCHEMA DIRECTEUR POUR 2020
Le Monde 14.09.2005
REGION
IDF : UN BESOIN EN LOGEMENTS ESTIMES A 20000
Le Monde 14.09.2005
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