ACTUALITE


Résultats

Elections Municipales

(voir tableau)

Liste MASSOL (MNR) : 10,78 %

Liste RIÉRA (gauche plurielle) : 28,06 %

Liste AESCHLIMANN (RPR) : 50,11 %

Liste CASARI (DVD) : 11,02 %

ELECTIONS CANTONALES (canton Sud)

(voir tableau)

Ballottage favorable à AESCHLIMANN contre NAVARRO

AESCHLIMANN (RPR) : 46,20 %

FILI (DVD) : 10,80 %

NAVARRO (PS) : 26,48 %

MASSOL (MNR) : 7,13 %

BESSAGUET (PC) : 3,93 %

LEPAPE (FN) : 5,45 %


Résultats selon chiffres de la mairie

municipales

cantonales


   

Un lycéen poignardé par un camarade

«IL S'EN EST FALLU de peu... Un coup de couteau supplémentaire, et j'aurais pu perdre mon enfant ! » La mère de Stéphane, 15 ans et demi, est effondrée et révoltée à la seule évocation de la pénible agression dont a été victime son fils à la sortie du lycée Erea (Ecole régionale d'enseignement adapté) d'Asnières. Lundi, en salle de classe, Stéphane et plusieurs de ses camarades qui suivent une formation en chaudronnerie, chahutent. Gentiment, d'abord, puis plus violemment. Rien de bien alarmant toutefois, d'autant qu'aucun des adolescents concernés n'a la réputation d'être particulièrement violent, « je n'ai jamais rencontré le moindre problème avec eux », confie même le directeur d'établissement. A la sortie des cours, pourtant, les esprits se sont échauffés, et une véritable bagarre rangée éclate à quelques centaines de mètres du lycée, rue de la Comète. « Les gamins se sont d'abord battus à mains nues, commente la mère de Stéphane, puis, l'un des jeunes a sorti un couteau suisse et s'en est pris immédiatement à mon fils, avant que deux passants parviennent enfin à les séparer. »

Violemment frappé à plusieurs reprises, au niveau du sternum et à la jambe gauche ; traumatisé, le jeune homme parviendra tout de même à gagner l'appartement de sa soeur à Colombes, puis l'hôpital Louis-Mourier où il a pu être soigné. « Nous avons porté plainte le soir même, souligne la mère de Stéphane - qui s'est également constituée partie civile au nom de son fils mineur - parce que ces débordements de violence sont inadmissibles. Tout comme le fait de posséder une arme et de venir en classe avec. » Mardi matin, l'agresseur de Stéphane a été intercepté par l'équipe pédagogique qui avait eu vent des événements dès son arrivée au lycée où les policiers d'Asnières l'ont interpellé. Il a été placé en garde à vue et déféré hier matin au parquet de Nanterre. Quant à Stéphane, particulièrement choqué, il bénéficie de quatre jours d'incapacité totale de travail (ITT). « Nous avons reçu les deux familles, confie le proviseur du lycée pour tenter de les rassurer et de leur apporter notre aide. C'est un acte grave, mais isolé et incontrôlé, puisque ces jeunes ne se sont jamais montrés violents. » L'agresseur a néanmoins été exclu temporairement de l'établissement. Une mesure conservatoire d'une durée de huit jours au-delà de laquelle ne peut aller la direction sans réunion du conseil de discipline.

Cécile Beaulieu Le Parisien


Communiqué de presse de Jean-Yves Le Gallou Président du groupe MNR au Conseil régional d'Ile-de-France Délégué général du Mouvement National Républicain

AFFAIRE DE POISSY :

LE MNR A ENGAGÉ DES POURSUITES POUR FORFAITURE CONTRE LE COMMISSAIRE DE POLICE DE POISSY ET LE SUBSTITUT DU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE

Maître Eric Delcroix, avocat de Michel Mosnier, candidat MNR à Poissy, et d¹Odile Bonnivard, du MNR, a déposé plainte avec constitution de partie civile contre le Commissaire de Poissy, M. Degas et le Substitut du Procureur, Mme Christine Moreau. Ces agents publics ont en effet perturbé le déroulement démocratique de l¹élection en engageant des poursuites et en procédant à la garde à vue d¹un candidat dans des conditions contraires au code électoral. La plainte se fonde notamment sur les articles suivants du code pénal : 432-1, 432-4, 432-7 et les articles L-97, L-107 et L-109 du code électoral. Ces articles concernent notamment les manoeuvres frauduleuses visant à détourner des suffrages et le fait, par le dépositaire de l'autorité publique, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle.


Asnières - La mairie taguée. « Trahison », « Hold-up ». Deux slogans vengeurs ont été badigeonnés sur les façades de l'hôtel de ville d'Asnières, dans la nuit de samedi à dimanche. Pas de signature, mais une hypothèse : en évinçant au dernier moment la plupart de ses anciens colistiers, Manuel Aeschlimann (le maire RPR sortant) ne s'est manifestement pas fait que des amis. Peine perdue : dès hier matin, les tags ont été effacés.

Le Parisien 05.03.2001


LE MAIRE, SA FEMME... SANS LES SORTANTS

CE N'EST PAS UNE TEMPETE c'est un raz de marée ! Le maire sortant , Manuel Aeschilmann, n'a pas été tendre envers certains élus de l'équipe municipale sortante. La liste qu'il a déposée, jeudi 1er mars, à 14h30, à la préfecture s'apparenterait même plutôt à un beau règlement de comptes. De son équipe, il ne reste que huit survivants ! Exit Christian Leblond, premier adjoint, Philippe Olivier maire adjoint délégué à la culture et Josiane Fischer adjointe déléguée au patrimoine ... Le maire voulant renouveler et rajeunir son équipe. Josiane Fischer pensait figurer en première position sur la liste de Manuel Aeschilmann. "Je suis surprise... que répondre ? Cela n'a pas de nom, balbutiait-elle, visiblement assomée par cette nouvelle qu'elle n'attendait pas. J'ai vu Manuel Aeschlimann jeudi après midi à 17 heures, il m'a confirmé que j'étais en première position... C'est énorme, je ne peux le croire et, si c'est exact, c'est un attentat politique..."

L'explication se résume peut-être dans cette seule phrase : "J'ai voulu une liste homogène, fidèle à un projet et à un bilan, d'où la sépartoin d'avec certaines personnes", précisait encore hier Manuel Aeschlimann, ajoutant au passage, "je n'avais aucun engagement envers qui que ce soit d'ailleurs je présente ma liste pour la première fois ce dimanche. Je vouslais qu'elle soiit en accord avec mes objectifs."

Sa jeune épouse en position éligible

Une fidélité sans faille qui a même poussé le maire sortant à inclure sur sa nouvelle liste, à la 26e place et donc en position éligible, sa jeune épouse Marie-Dominique "très impliquée dans vie asnièroise" selon ses propres termes et dont la popularité, toujours selon Manuel Aeschimann, est égale à la sienne (sic). Après trois ans de mandat (NDRL : Manuel Aeschlimann est devenu maire à la suite de la surprenante démission pour raisons de santé de Frantz Taittinger en 1998), les dissensions au sein du conseil n'ont pourtant pas manqué et Manuel Aeschlimann n'a pas toujours fait l'unanimité dans ses prises de position. Josiane Fischer, elle, n'était pas de celles qui se laissaient "marcher sur les pieds"."Le maire ne m'accordait pas sa confiance d'une manière générale, lâche à son tour le premier adjoint Chrisian Leblond. Pour ce qui concerne la nouvelle liste, c'est son choix. Ce que je peux dire en revanche c'est que peu de personnes étaient au courant de ce qui se préparait..."

Par stratégie, il est courant de ne pas révéler les noms de peur que certains ne choisissent de partir dans le camp adverse. Une procédure dont a largement usé le maire sortant : ce jeudi 1er mars, Manuel Aeschlimann a déposé sa liste à 14h30 et a déclaré deux et demi plus tard à Josiane Fischer qu'elle figurerait en bonne place alors qu'il était acquis qu'elle en était évincée..

Le Parisien 03.03.2001 article de Marisa Faion


 
LA DELINQUANCE dans les Hauts de Seine augmente pourtant elle baisse... ?

La délinquance dans les Hauts de Seine a augmenté de 6%, les chiffres du ministère répartis par département et par district (voir les chiffres) le confirme. Dans un récent article, Le Parisien édition 92, nous révèle les vrais chiffres de cette évolution dans le département non plus par district mais : ville par ville. Le ministère de l'intérieur se refusant toujours de communiquer de peur d'alarmer l'opinion pendant les élections municipales et cantonales. Et pour cause !

Plusieurs villes en forte hausse, La Défense + 35 % qui subit vols à l'arraché et vols à l'étalage (on se souviendra de l'actualité récente sur le parvis avec cette horde de "jeunes" cagoulés et armés de couteaux, haches etc. ) . Suivent Meudon, Sèvres avec près de 28 % de hausses. Là ce sont la fraude sur les chèques et les cartes bleues, ainsi que des dégradations sur les véhicules et bâtiments. Clichy en hausse de 21 % : dégradations commises dans les parkings. Issy-les-Moulineaux boucle ce palmarès avec 18 % de hausses !

Pourtant elle baisse dans certaines communes, il semble, toujours selon Le Parisien, qu'elle ait profité de l'arrivée de la police de proximité. Ainsi à Nanterre, Asnières, Puteaux ou Colombes, qui inversent carrément la tendance.... comme à Asnières (-3.3 % !!!). Il est toutefois surprenant de constater de tels écarts dans les taux d'élucidation :Saint-Cloud (16%) et Gennevilliers (31%). Pour les policiers ces taux ne reflètent pas seulement l'efficacité des commissariats, mais aussi la nature de la délinquance. "Il est plus facile d'arrêter le petit voyou qui arrache des sacs à main à Colombes ou à Gennevilliers que de résoudre une affaire de chèques volés dans les beaux quartiers, commente l'un d'eux. La délinquance est plus ou moinss dissimulée selon les secteurs. Ce qui fait varier les chiffres. Evidemment, le travail des collègues joue un rôle."

QU'EN PENSENT LES PROFESSIONNELS SUR LE TERRAIN ?

DES CHIFFRES contestés par les policiers

DANS LES RANGS de la police nationale, les chiffres de la délinquance sont pour le moins constestés, voir brocardés.

"A chacun sa façon de compter, cela dépend des commissariats, affirme un officier. Il y en a qui enregistrent toutes les plaintes, d'autres qui font le tri." Ainsi les petites infractions vols de portables, dégradations de voitures qui font exploser les statistiques sont-elles discrètement évacuées dans certains services. Et pour cela, rien de plus simple : il suffit de les enregistrer par informatique sous un certain code, qui less sort des statistiques officielles. Ou encore de dissuader les citoyens de porter plainte. "Quand un commissaire se montre parfiatement transparent, il risque d'avoir de très mauvais chiffres, et donc quelques remontées de bretelles de la part de sa hièrarchie", indique l'un d'eux. Une évidence : "Ces chiffres sont extrêmement difficile à interpréter. Quand on sait qu'un meurtre a la même valeur dans les stratistiques globales qu'un vol à la roulotte, on peut douter de leur intérêt. Car l'effet sur le sentiment d'insécurité n'est pas vraiment le même."

Le Parisien du 01.03.2001


CATHERINE MEGRET - On veut nous faire taire !

COMMUNIQUE DE PRESSE DE CATHERINE MEGRET 01 / 03 / 2001 Décision judiciaire contre le programme électoral de Catherine Mégret : une décision insensée Catherine Mégret considère qu'en rendant un jugement sur son programme électoral, le tribunal de grande instance d'Aix-en-Provence bafoue le principe pourtant essentiel en démocratie de la séparation des pouvoirs. Elle rappelle que le propre d'un programme électoral est de proposer aux électeurs de changer ce qui existe, y compris dans la loi. C'est d'ailleurs ce que fait M. Seguin à Paris en annonçant la création d'une police municipale pour l'instant interdite par la loi à Paris. Si maintenant les programmes électoraux doivent être soumis aux juges, c'est que la liberté n'est plus totale et que la démocratie est mise sous tutelle. Catherine Mégret fera appel de cette décision insensée qui menace la république.


LES AGRESSEURS D'UNE ADOLESCENTE DE 14 ANS CONDAMNES A UN AN FERME

Deux adolescents 20 et 21 ans ont écopés d'une peine de 3 ans dont deux avec sursis le 12 février 2001 par la 20e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre qui avaient agressé sexuellement, avec un complice mineur une adolescente de 14 ans dans un immeuble d'une cité d'Asnières.

En février 1999, accompagnée de sa mère la jeune fille s'était décidée à porter plainte.

L'audience s'est déroulée à huis clos, (...), mais durant l'instruction les agresseurs de l'adolescente avaient reconnu avoir eu, à tour de rôle, un rapport sexuel avec leur victime, prétendant qu'il sagrissait d'une fille facile. Le substitut du procureur qui reclamait trois ans de prison dont deux avec sursis, a également obtenu du tribunal l'interdiction pour les auteurs de la "tournante" (NDRL : agression sexuelle en réunion) d'approcher la victime. Cette dernière s'est vu allouer un dédommagement à hauteur de 50 000 F (7 622 euros)

Le complice mineur des deux condamnés, âgé de 17 ans au moment des faits, sera, quant à lui, jugé ultérieurement par le tribunal pour enfants.

(Le Parisien 13.02.2001)


MALRAUX : Insécurité au quotidien.

Le collège du nord d'Asnières a fait l'objet de plusieurs articles dans les journaux ainsi que de reportages sur les différentes chaines de télévision. La conséquence est encore malheureusement : l'insécurité. A tel point que le collège est fermé faute de pouvoir trouver une solution au problème quasi quotidien de la violence, l'indiscipline, la peur des enseignants face aux agressions de certains élèves (un professeur de français a été mutée après avoir reçu une gifle), la peur même des élèves dans l'enceinte et à l'extérieur de l'établissement scolaire. Comme cela est relaté dans un article du parisien du 23 janvier dernier :"Depuis le début de l'année, la gifle, mais aussi une baffe à un aide-éducateur, le tabassage d'un élève, des jets d'oeufs sur un enseignant, et le vol plané de chaises et de tables jetées par les fenêtres en plein cours, ont valu l'exclusion définitive à 5 élèves. L'établissement enchaîne les conseils de discipline, 7 sont encore programmés. "je n'ose pas me retourner au tableau, j'ai déjà reçu une pile sur la tête, des cartouches d'encre ouvertes, un compas..." commente une jeune enseignante". On parle de" couloir de la mort " un sous-sol tortueux où les petits de 6e se faisaient taper dessus. Le collège comprend 1153 élèves (une mosaique de 38 nationalités) sur 800 places théroiques.


CATHERINE MEGRET cette mère de famille française est traînée devant les tribunaux.

pour avoir proposé en conseil municipal de la ville qu'elle administre, Vitrolles-en-Provence, une prime de 5000 francs à la naissance d'un nouvel enfant dans les familles françaises ou originaires de l'Union européenne.

A l'heure où un rapport de l'ONU recommande l'admission en France de 23 millions de nouveaux immigrés pour combler le déficit démographique à venir, un maire et son conseil municipal n'auraient pas le droit de voter la moindre mesure d'encouragement à la natalité française.

Pour l'avoir osé, Catherine Mégret risque 200 000 F d'amende et deux ans de prison !!!


L'ARUCHE

L'ARUCHE SOUTIEN HUBERT MASSOL !

L'Association des Riverains, Usagers, Contribuables, Habitants et / ou Electeurs, s'engage...

voir article : L'ARUCHE (cliquez sur le mot)


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