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Un
lycéen poignardé par un camarade
«IL S'EN
EST FALLU de peu... Un coup de couteau
supplémentaire, et j'aurais pu perdre
mon enfant ! » La mère de Stéphane, 15
ans et demi, est effondrée et révoltée
à la seule évocation de la pénible
agression dont a été victime son fils
à la sortie du lycée Erea (Ecole
régionale d'enseignement adapté)
d'Asnières. Lundi, en salle de classe,
Stéphane et plusieurs de ses camarades
qui suivent une formation en
chaudronnerie, chahutent. Gentiment,
d'abord, puis plus violemment. Rien de
bien alarmant toutefois, d'autant
qu'aucun des adolescents concernés n'a
la réputation d'être particulièrement
violent, « je n'ai jamais rencontré le
moindre problème avec eux », confie
même le directeur d'établissement. A la
sortie des cours, pourtant, les esprits
se sont échauffés, et une véritable
bagarre rangée éclate à quelques
centaines de mètres du lycée, rue de la
Comète. « Les gamins se sont d'abord
battus à mains nues, commente la mère
de Stéphane, puis, l'un des jeunes a
sorti un couteau suisse et s'en est pris
immédiatement à mon fils, avant que
deux passants parviennent enfin à les
séparer. »
Violemment
frappé à plusieurs reprises, au niveau
du sternum et à la jambe gauche ;
traumatisé, le jeune homme parviendra
tout de même à gagner l'appartement de
sa soeur à Colombes, puis l'hôpital
Louis-Mourier où il a pu être soigné.
« Nous avons porté plainte le soir
même, souligne la mère de Stéphane -
qui s'est également constituée partie
civile au nom de son fils mineur - parce
que ces débordements de violence sont
inadmissibles. Tout comme le fait de
posséder une arme et de venir en classe
avec. » Mardi matin, l'agresseur de
Stéphane a été intercepté par
l'équipe pédagogique qui avait eu vent
des événements dès son arrivée au
lycée où les policiers d'Asnières
l'ont interpellé. Il a été placé en
garde à vue et déféré hier matin au
parquet de Nanterre. Quant à Stéphane,
particulièrement choqué, il bénéficie
de quatre jours d'incapacité totale de
travail (ITT). « Nous avons reçu les
deux familles, confie le proviseur du
lycée pour tenter de les rassurer et de
leur apporter notre aide. C'est un acte
grave, mais isolé et incontrôlé,
puisque ces jeunes ne se sont jamais
montrés violents. » L'agresseur a
néanmoins été exclu temporairement de
l'établissement. Une mesure
conservatoire d'une durée de huit jours
au-delà de laquelle ne peut aller la
direction sans réunion du conseil de
discipline.
Cécile Beaulieu Le Parisien
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Communiqué de presse de
Jean-Yves Le Gallou Président du groupe
MNR au Conseil régional d'Ile-de-France
Délégué général du Mouvement
National Républicain AFFAIRE DE POISSY :
LE
MNR A ENGAGÉ DES POURSUITES POUR
FORFAITURE CONTRE LE COMMISSAIRE DE
POLICE DE POISSY ET LE SUBSTITUT DU
PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE
Maître Eric
Delcroix, avocat de Michel Mosnier,
candidat MNR à Poissy, et d¹Odile
Bonnivard, du MNR, a
déposé plainte avec constitution de
partie civile contre le Commissaire de Poissy,
M. Degas et le Substitut du Procureur,
Mme Christine Moreau. Ces agents publics
ont en effet perturbé le déroulement
démocratique de l¹élection en
engageant des poursuites et en procédant
à la garde à vue d¹un candidat dans
des conditions contraires au code
électoral. La plainte se fonde notamment
sur les articles suivants du code
pénal : 432-1, 432-4, 432-7 et les
articles L-97, L-107 et L-109 du code
électoral. Ces articles concernent
notamment les manoeuvres frauduleuses
visant à détourner des suffrages et le
fait, par le dépositaire de l'autorité
publique, d'ordonner ou d'accomplir
arbitrairement un acte attentatoire à la
liberté individuelle.
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Asnières - La mairie
taguée. « Trahison », « Hold-up ».
Deux slogans vengeurs ont été
badigeonnés sur les façades de l'hôtel
de ville d'Asnières, dans la nuit de
samedi à dimanche. Pas de signature,
mais une hypothèse : en évinçant au
dernier moment la plupart de ses anciens
colistiers, Manuel Aeschlimann (le maire
RPR sortant) ne s'est manifestement pas
fait que des amis. Peine perdue : dès
hier matin, les tags ont été effacés.Le Parisien
05.03.2001
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LE
MAIRE, SA FEMME... SANS LES SORTANTSCE N'EST PAS
UNE TEMPETE c'est un raz de marée ! Le
maire sortant , Manuel Aeschilmann, n'a
pas été tendre envers certains élus de
l'équipe municipale sortante. La liste
qu'il a déposée, jeudi 1er mars, à
14h30, à la préfecture s'apparenterait
même plutôt à un beau
règlement de comptes. De son
équipe, il ne reste que huit survivants
! Exit Christian Leblond, premier
adjoint, Philippe Olivier maire
adjoint délégué à la culture
et Josiane Fischer adjointe
déléguée au patrimoine ... Le
maire voulant renouveler et rajeunir son
équipe. Josiane Fischer
pensait figurer en première position sur
la liste de Manuel Aeschilmann. "Je
suis surprise... que répondre ? Cela n'a
pas de nom, balbutiait-elle,
visiblement assomée par cette nouvelle
qu'elle n'attendait pas. J'ai vu
Manuel Aeschlimann jeudi après midi à
17 heures, il m'a confirmé que j'étais
en première position... C'est énorme,
je ne peux le croire et, si c'est exact,
c'est un attentat politique..."
L'explication
se résume peut-être dans cette seule
phrase : "J'ai voulu une liste
homogène, fidèle à un projet et à un
bilan, d'où la sépartoin d'avec
certaines personnes", précisait
encore hier Manuel Aeschlimann, ajoutant
au passage, "je n'avais aucun
engagement envers qui que ce soit
d'ailleurs je présente ma liste pour la
première fois ce dimanche. Je vouslais
qu'elle soiit en accord avec mes
objectifs."
Sa jeune épouse en
position éligible
Une fidélité sans faille
qui a même poussé le maire sortant à
inclure sur sa nouvelle liste, à la 26e
place et donc en position éligible, sa
jeune épouse Marie-Dominique "très
impliquée dans vie asnièroise"
selon ses propres termes et dont la
popularité, toujours selon Manuel
Aeschimann, est égale à la sienne
(sic). Après trois ans de mandat (NDRL :
Manuel Aeschlimann est devenu maire à la
suite de la surprenante démission pour
raisons de santé de Frantz Taittinger en
1998), les dissensions au sein du conseil
n'ont pourtant pas manqué et Manuel
Aeschlimann n'a pas toujours fait
l'unanimité dans ses prises de position.
Josiane Fischer, elle, n'était pas de
celles qui se laissaient "marcher
sur les pieds"."Le
maire ne m'accordait pas sa confiance
d'une manière générale, lâche à
son tour le premier adjoint Chrisian
Leblond. Pour ce qui concerne la
nouvelle liste, c'est son choix. Ce que
je peux dire en revanche c'est que peu de
personnes étaient au courant de ce qui
se préparait..."
Par stratégie, il est
courant de ne pas révéler les noms de
peur que certains ne choisissent de
partir dans le camp adverse. Une
procédure dont a largement usé le maire
sortant : ce jeudi 1er mars, Manuel
Aeschlimann a déposé sa liste à 14h30
et a déclaré deux et demi plus tard à
Josiane Fischer qu'elle figurerait en
bonne place alors qu'il était acquis
qu'elle en était évincée..
Le Parisien 03.03.2001
article de Marisa Faion
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LA DELINQUANCE dans
les Hauts de Seine augmente pourtant elle
baisse... ? La
délinquance dans les Hauts de Seine a
augmenté de 6%, les chiffres du
ministère répartis par département et
par district (voir les chiffres) le
confirme. Dans un récent article, Le
Parisien édition 92, nous révèle
les vrais chiffres de
cette évolution dans le département non
plus par district mais : ville par ville.
Le ministère de l'intérieur se refusant
toujours de communiquer de peur d'alarmer
l'opinion pendant les élections
municipales et cantonales. Et pour cause
!
Plusieurs
villes en forte hausse, La Défense + 35
% qui subit vols à l'arraché et vols à
l'étalage (on se souviendra de
l'actualité récente sur le parvis avec
cette horde de "jeunes"
cagoulés et armés de couteaux, haches
etc. ) . Suivent Meudon, Sèvres avec
près de 28 % de hausses. Là ce sont la
fraude sur les chèques et les cartes
bleues, ainsi que des dégradations sur
les véhicules et bâtiments. Clichy en
hausse de 21 % : dégradations commises
dans les parkings. Issy-les-Moulineaux
boucle ce palmarès avec 18 % de hausses
!
Pourtant
elle baisse dans certaines communes, il
semble, toujours selon Le Parisien,
qu'elle ait profité de l'arrivée de la
police de proximité. Ainsi à Nanterre,
Asnières, Puteaux ou Colombes, qui
inversent carrément la tendance....
comme à Asnières (-3.3 % !!!). Il est
toutefois surprenant de constater de tels
écarts dans les taux d'élucidation
:Saint-Cloud (16%) et Gennevilliers
(31%). Pour les policiers ces taux ne
reflètent pas seulement l'efficacité
des commissariats, mais aussi la nature
de la délinquance. "Il est plus
facile d'arrêter le petit voyou qui
arrache des sacs à main à Colombes ou
à Gennevilliers que de résoudre une
affaire de chèques volés dans les beaux
quartiers, commente l'un d'eux. La
délinquance est plus ou moinss
dissimulée selon les secteurs. Ce qui
fait varier les chiffres. Evidemment, le
travail des collègues joue un
rôle."
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QU'EN
PENSENT LES PROFESSIONNELS SUR LE TERRAIN
?
DES
CHIFFRES contestés par les policiers
DANS LES RANGS de la police
nationale, les chiffres de la
délinquance sont pour le moins
constestés, voir brocardés.
"A chacun sa façon de
compter, cela dépend des commissariats,
affirme un officier. Il y en a qui
enregistrent toutes les plaintes,
d'autres qui font le tri." Ainsi les
petites infractions vols de portables,
dégradations de voitures qui font
exploser les statistiques sont-elles
discrètement évacuées dans certains
services. Et pour cela, rien de plus
simple : il suffit de les enregistrer par
informatique sous un certain code, qui
less sort des statistiques officielles.
Ou encore de dissuader les citoyens de
porter plainte. "Quand un
commissaire se montre parfiatement
transparent, il risque d'avoir de très
mauvais chiffres, et donc quelques
remontées de bretelles de la part de sa
hièrarchie", indique l'un d'eux.
Une évidence : "Ces chiffres sont
extrêmement difficile à interpréter.
Quand on sait qu'un meurtre a la
même valeur dans les stratistiques
globales qu'un vol à la roulotte,
on peut douter de leur intérêt. Car
l'effet sur le sentiment d'insécurité
n'est pas vraiment le même."
Le Parisien du 01.03.2001
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CATHERINE
MEGRET - On veut nous faire taire !
COMMUNIQUE DE PRESSE DE
CATHERINE MEGRET 01 / 03 / 2001 Décision
judiciaire contre le programme électoral de
Catherine Mégret : une décision insensée
Catherine Mégret considère qu'en rendant un
jugement sur son programme électoral, le
tribunal de grande instance d'Aix-en-Provence
bafoue le principe pourtant essentiel en
démocratie de la séparation des pouvoirs. Elle
rappelle que le propre d'un programme électoral
est de proposer aux électeurs de changer ce qui
existe, y compris dans la loi. C'est d'ailleurs
ce que fait M. Seguin à Paris en annonçant la
création d'une police municipale pour l'instant
interdite par la loi à Paris. Si maintenant les
programmes électoraux doivent être soumis aux
juges, c'est que la liberté n'est plus totale et
que la démocratie est mise sous tutelle.
Catherine Mégret fera appel de cette décision
insensée qui menace la république.
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LES
AGRESSEURS D'UNE ADOLESCENTE DE 14 ANS CONDAMNES
A UN AN FERME
Deux
adolescents 20 et 21 ans ont écopés d'une peine
de 3 ans dont deux avec sursis le 12 février
2001 par la 20e chambre du tribunal correctionnel
de Nanterre qui avaient agressé sexuellement,
avec un complice mineur une adolescente de 14 ans
dans un immeuble d'une cité d'Asnières.
En février
1999, accompagnée de sa mère la jeune fille
s'était décidée à porter plainte.
L'audience
s'est déroulée à huis clos, (...), mais durant
l'instruction les agresseurs de l'adolescente
avaient reconnu avoir eu, à tour de rôle, un
rapport sexuel avec leur victime, prétendant
qu'il sagrissait d'une fille facile. Le substitut
du procureur qui reclamait trois ans de prison
dont deux avec sursis, a également obtenu du
tribunal l'interdiction pour les auteurs de la
"tournante" (NDRL : agression sexuelle
en réunion) d'approcher la victime. Cette
dernière s'est vu allouer un dédommagement à
hauteur de 50 000 F (7 622 euros)
Le complice
mineur des deux condamnés, âgé de 17 ans au
moment des faits, sera, quant à lui, jugé
ultérieurement par le tribunal pour enfants.
(Le Parisien
13.02.2001)
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MALRAUX :
Insécurité au quotidien.
Le collège
du nord d'Asnières a fait l'objet de plusieurs
articles dans les journaux ainsi que de
reportages sur les différentes chaines de
télévision. La conséquence est encore
malheureusement : l'insécurité.
A tel point que le collège est fermé faute de
pouvoir trouver une solution au problème quasi
quotidien de la violence, l'indiscipline, la peur
des enseignants face aux agressions de certains
élèves (un professeur de français a été
mutée après avoir reçu une gifle), la peur
même des élèves dans l'enceinte et à
l'extérieur de l'établissement scolaire. Comme
cela est relaté dans un article du parisien du
23 janvier dernier :"Depuis le début de
l'année, la gifle, mais aussi une baffe à un
aide-éducateur, le tabassage d'un élève, des
jets d'oeufs sur un enseignant, et le vol plané
de chaises et de tables jetées par les fenêtres
en plein cours, ont valu l'exclusion définitive
à 5 élèves. L'établissement enchaîne les
conseils de discipline, 7 sont encore
programmés. "je n'ose pas me retourner au
tableau, j'ai déjà reçu une pile sur la tête,
des cartouches d'encre ouvertes, un
compas..." commente une jeune enseignante".
On parle de" couloir de la mort "
un sous-sol tortueux où les petits de 6e se
faisaient taper dessus. Le collège comprend 1153
élèves (une mosaique de 38 nationalités) sur
800 places théroiques.
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CATHERINE
MEGRET cette mère de famille française est
traînée devant les tribunaux.
pour avoir
proposé en conseil municipal de la ville qu'elle
administre, Vitrolles-en-Provence, une prime de
5000 francs à la naissance d'un nouvel enfant
dans les familles françaises ou originaires de
l'Union européenne.
A l'heure
où un rapport de l'ONU recommande l'admission en
France de 23 millions de nouveaux immigrés pour
combler le déficit démographique à venir, un
maire et son conseil municipal n'auraient pas le
droit de voter la moindre mesure d'encouragement
à la natalité française.
Pour
l'avoir osé, Catherine Mégret risque 200 000 F
d'amende et deux ans de prison !!!
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L'ARUCHE
L'ARUCHE
SOUTIEN HUBERT MASSOL !
L'Association
des Riverains, Usagers, Contribuables, Habitants
et / ou Electeurs, s'engage...
voir
article : L'ARUCHE (cliquez sur le mot)
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