Razzia barbaresque en plein Paris :

Les voyageurs du métro parisien dépouillés par une centaine de « jeunes »...

( et ça ne fait pas la une des journaux papiers et télévisés !)
Dimanche 05 novembre 2006


 

 

Ce qui dans tout pays civilisé scandaliserait et ferait la une des médias est chez nous devenu simple fait divers ! Peut-être n’en avez même pas entendu parler vu la curieuse discretion des média sur ce sujet ?

( cf. coupure jointe du Parisien du 04 novembre 2006)

Mardi 31 octobre 2006, vers 21 h, une centaine de « jeunes » ont attaqué les passagers des métros des lignes 4 et 12, entre les stations Marcadet-Poissonniers et Château Rouge, en les dépouillant de leurs affaires personnelles : sacs à main, téléphones portables, baladeurs MP3, etc.

Des rames bondées où les agressions se multiplient, des voyageurs qui fuient le métro complètement paniqués et, pour finir, des policiers contraints d'évacuer une station.

Cela se passe chez nous. Au pays de la douceur de vivre… Des droits de l’homme... Au pays dont le ministre de l’intérieur, candidat à la présidence de la république, promet depuis des mois et des mois, avec force gesticulations, qu’avec lui, tout ira mieux…

Mais quelles mesures sérieuses et concrètes notre ministre a-t-il prises depuis qu’il est aux manettes ?

· La suppression de la double peine ? Un objectif de la gauche, direz-vous… Mais lui l’a réalisé. Il fallait le faire, quand même !

· L’instauration d’un Conseil des Musulmans de France ? C’est lui, encore. La remuante UOIF, proche des Frères musulmans, y a même été légitimée.

· La discrimination positive ? C’est toujours lui !

Quoi d’autre qui irait dans le bon sens ???

Ah, oui ! Nous allions l’oublier … C’est grâce à ses mâles et sonores propos que notre ministre de l’intérieur entretient notre grande patience et retarde l’explosion du ras-le-bol des honnêtes citoyens. Rien de neuf, direz-vous. Combien de gouvernements, en effet, depuis des lustres, ne nous ont-ils pas déjà tranquillisés ? Anesthésiés, même ?

Reconnaissons pourtant que Sarko, lui, s’y emploie avec une constance et des moyens peu communs. On peut même se demander si il n’est pas pour quelque chose dans l’étonnante discrétion dont font preuve certains de nos médias à l’égard d’événements pourtant intolérables.



Surtout, pas de vagues. Ménageons la racaille et tranquillisons les braves gens

Il n’y a pas eu de morts dans ces métros, quand même…