Contre
l’islamisation, défendons la république
Non confessionnel,
le MNR n’entend évidemment pas dénoncer une religion.
Chacun est libre de pratiquer la religion de son choix. En revanche,
il veut combattre un projet politique de transformation de la société
française mené par le parti islamiste. Ce dernier veut
à l’évidence imposer à notre pays les règles
publiques de la charia et pousse ses positions sur tous les fronts,
avec les moyens classiques d’un parti politique : organisation,
réseaux, militants et maintenant des élus dans les instances
officielles. Le MNR veut combattre le parti islamiste car ses options
et son projet sont incompatibles avec les valeurs qui fondent notre
république et notre civilisation.
L’islamisme
refuse la laïcité
La charia, véritable programme de gouvernement ne distingue pas
le temporel du religieux. Cette confusion s’oppose à la
tradition constante du monde européen qui a toujours distingué
le pouvoir politique des fonctions religieuses («rendez à
Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à
César»).
L’islamisme
est incompatible avec la démocratie
Le parti islamiste défend le principe d’une règle
immuable, la charia, qui s’impose à tout et à tous.
Pour les islamistes, elle est donc au dessus de la Constitution et des
lois votées par le parlement. Elle se trouve donc en contradiction
avec les principes républicains, avec le principe même
d’une constitution comme avec celui de la souveraineté
populaire.
L’islamisme
soumet la femme à l’homme
L’application de la charia est en totale contradiction avec la
tradition occidentale affirmée par le préambule de la
constitution qui « garantit à la femme, dans tous les domaines,
des droits égaux à ceux de l’homme. »
La tactique
islamiste est simple. Faire passer dans les mœurs un certain nombre
de points essentiels de la charia. C’est ainsi que les militantes
islamistes qui portent le voile dans les lycées ou dans les administrations
ont pour but de banaliser cette pratique et de rendre inéluctable
son acceptation.
Nos
propositions d’action au sein des régions
Face au parti islamiste, il est urgent d’agir et l’action
doit couvrir tous les domaines, y compris celui de l’action régionale
:
1 - Exclure des financements
associés aux politiques urbaines toute organisation liée
de près ou de loin au parti islamiste.
2 - Ne tolérer
aucune concession aux militants islamistes dans les lycées qui
sont de compétence régionale. En particulier, tout signe
d’appartenance au parti islamiste sera prohibé (voile,
foulard, interdits alimentaires, etc.).
3 - Ne participer au financement
d’un équipement public qu’à la condition expresse
que celui-ci sera accessible à l’ensemble de la population
sans distinction de sexe ou de religion.
haut
de page
Contre
la crise scolaire, mettons de l’ordre à l’école
L’objectif
de l’école n’est plus aujourd’hui de transmettre
un savoir mais davantage de socialiser les enfants et les jeunes, de
les fondre dans un moule «citoyennement correct». Or, contre
ce projet dangereux, le gouvernement ne fait rien.
Il faudrait
pourtant supprimer le collège unique, instrument de l’égalitarisme
socialiste et source de nombreux problèmes et désenchantements.
Cette suppression devrait s’accompagner d’une diversification
des cursus et des filières afin que chacun trouve une voie adaptée
à ses goûts et capacités. Il faudrait aussi supprimer
les IUFM, lieux clos du pédagogisme, pour rendre la formation
des professeurs à l’Université. Enfin il est temps
de mettre fin à la violence, au trafic de drogue et aux menées
des militants islamistes dans les lycées.
Nos
propositions d’action au sein des régions
1 - Favoriser l’émulation
et le mérite par la création de prix régionaux
pour récompenser le meilleur élève de chaque classe.
2 - Mettre fin à
l’orientation par l’échec dans le supérieur
en instituant des tests d’entrée à l’université
de sorte que chaque bachelier puisse juger de ses capacités.
3 - Supprimer les innombrables
actions «éducatives» subventionnées qui consistent
à distraire les élèves de ce qui devrait être
l’essentiel de leur activité : apprendre.
4 - Mener une action très
ferme contre les trafics et la consommation de drogue dans les lycées
et mettre en place des vidéo-surveillances aux entrées
et aux points sensibles de ces établissements.
5 - Exiger des lycées
le respect de la laïcité contre toute tentative d’islamisation.
haut
de page
Contre
le mal-vivre, défendons la vie et l’environnement
La France
vieillit et n’assure plus le renouvellement de ses générations.
Sa population d’origine tend à disparaître, ce qui
crée une situation dramatique. Un pays qui vieillit perd en effet
son dynamisme, n’investit plus dans l’avenir et se condamne
à accueillir sur son sol une population de substitution.
Priorité
aux familles
L’encouragement aux naissances, les aides aux familles, l’aide
aux mères en difficulté, les facilités accordées
aux mères de famille ayant une activité professionnelle
sont actuellement sacrifiés. Il est temps de donner la priorité
aux familles.
Mais accueillir des enfants c’est aussi rendre le territoire accueillant.
Notre terre, nos paysages issus des mouvements naturels et du travail
de l’homme sont constitutifs de notre patrimoine national et régional.
Attachés à nos racines et à notre héritage,
nous avons aussi pour priorité de défendre et de mettre
en valeur notre patrimoine naturel aujourd’hui gravement menacé
par des pollutions de toutes sortes : celles qui s’attaquent aux
milieux naturels, l’eau, l’air ou les sols, mais aussi la
pollution visuelle et les nuisances que connaissent les usagers des
transports. Dans tous ces domaines, il faut agir pour défendre
l’environnement et combattre le mal-vivre.
Nos
propositions d’action au sein des régions
1 - Des structures d’accueil
des mères seules et en difficulté seront réalisées.
2 - L’accès
à la propriété des familles françaises de
trois enfants ou plus sera encouragé par des prêts régionaux
à taux zéro.
3 - Les femmes doivent
pouvoir concilier réellement activité professionnelle
et vie familiale. Il faut pour cela encourager le télétravail
par le maillage du territoire en bornes de connexion à haut débit.
4 - Les entreprises seront
financièrement encouragées à créer des services
d’accueil des enfants du personnel et un effort important de création
de crèches sera réalisé dans les petites communes.
5 - Pour les familles
de trois enfants et plus, les charges de pension et demi pension dans
les lycées seront réduites ainsi que les charges de transport
régional et les frais de logement étudiant.
6 - La région mettra
en valeur les sites naturels et procédera à la réhabilitation
de nombreux éléments de notre patrimoine culturel.
7 - Pour la sécurité
et l’harmonie de nos paysages, il sera procédé à
l’enfouissement des lignes EDF et Telecom.
8 - Pour favoriser la
qualité de vie, la région développera les transports
et tout particulièrement les transports non polluants.
haut
de page
Contre
le déclin économique, récompensons le travail
La France
connaît un déclin économique particulièrement
inquiétant. Un déclin qui résulte principalement
du sort réservé à ceux qui travaillent, lesquels
sont de plus en plus pénalisés au bénéfice
de ceux qui profitent. Tout est fait pour dissuader les Français
de travailler : le poids des prélèvements obligatoires
ne cesse d’augmenter et la durée du travail ne cesse de
diminuer.
Les dépenses publiques représentent 53 % du PIB, la dette
2/3 du PIB, les intérêts de la dette 15 % du PIB et les
prélèvements obligatoires 45 % du PIB. Cette situation
catastrophique nous met en très mauvaise position face à
nos voisins européens et à nos principaux concurrents
mondiaux qui ont un taux de prélèvement obligatoire inférieur
de 10 points au nôtre. Le diagnostic est donc clair : il faut
diminuer les dépenses publiques.
Remettre
la France au travail
Quant à la durée du travail, c’est une catastrophe.
Les Français travaillent 1463 heures par an quand les Japonais
travaillent 1980 heures et les Allemands 1700 heures. La loi des 35
heures est un handicap considérable pour notre économie.
Outre ses effets purement comptables, cette loi provoque une désaffection
pour le travail qui touche tous les milieux sociaux. Résultat
: la France est passée du 20e au 30e rang en termes de compétitivité
internationale de 2001 à 2002 !
Nos
propositions d’action au sein des régions
1 - Diminuer les taxes régionales
Pour diminuer les impôts régionaux, il conviendra de réduire
drastiquement les dépenses de l’ordre de 30 % en limitant
les subventions aux innombrables associations que personne ne contrôle
ainsi qu’aux entreprises qui n’en ont pas besoin. Ces aides
sont injustes car elles ne bénéficient qu’aux entreprises
les plus importantes et jamais aux TPE, artisans, commerçants
et professions libérales. La suppression de ces aides permettra
de réduire notablement la taxe professionnelle, réduction
qui profitera à tous ceux qui travaillent et qui créent
de la richesse.
2 - Promouvoir le travail
Promouvoir le travail et le goût de l’effort cela commence
par rompre avec l’esprit d’assistance. Or, la formation
professionnelle est aujourd’hui largement dévoyée
en direction d’une formation initiale du public jeune sans aucune
qualification. Nous recentrerons donc la formation professionnelle vers
ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être,
la formation continue des salariés. Les entreprises en avaient
été dépossédées au profit de l’éducation
nationale, bien mal qualifiée pour assumer cette fonction.
3 - Rendre notre territoire attractif
Recentrée sur ses prérogatives, la Région travaillera
à favoriser les activités en rendant le territoire plus
attractif et en l’équipant d’infrastructures de communication
: les routes, les canaux, le maillage en lignes de télécommunication
à haut débit, l’offre de formation professionnelle
sans oublier la qualité du cadre de vie.